Chronique
HARDLINE - LIVING THE END OPEN / Frontiers records 2009
Voilà un album que j’attendais : celui d’Hardline. Cette formation des années 90, était une des plus intéressantes. Et oui le groupe fondé par Neal Schon (Journey) avait sorti un petit bijou ‘Double eclipse’ et s’était éteint jusqu’en 2002 avec un agréable ‘II’.
Aujourd’hui, ils nous reviennent toujours accompagnés de l’excellent Johnny Geoli (Axel Rudi Pell) mais toujours sans Neal Schon, bien trop occupé à faire tourner Journey. Allons vite voir si ce retour est gagnant.
Un petit « Voices » pour nous lancer et première constatation le groupe a pas mal évolué. On a du mal à reconnaître le hard Fm des débuts, mais rassurez-vous celui-ci reste toujours mélodique surtout lors de son refrain. Au moins le groupe a décidé d’aller de l’avant et de moderniser sa musique. Une première chanson étonnante portée par un très joli refrain, qui me surprend. Voyons voir la suite. « Falling free » est donc celle-ci. Un peu plus proche du Hardline que je connais, cela me rassure. Johnny toujours aussi envoûtant et encore une fois le grand plus de ce groupe et Josh Ramos tient très bien son rôle en tant que 6 cordistes.
« Start again » est le premier moment calme de l’album. Ultra agréable à écouter elle nous remémore les doux instants qu’on a passés. Une ballade simple, mais tellement prenante, sublimée par le timbre éraillé de Johnny. Après ce calme bienfaiteur « Pieces of puzzles » continue avec un hard groovy, qui te fait taper du pied, comme un damné. Une nouvelle fois les refrains sont bien ficelés, dans du coton, pour entrer tout en douceur dans la tête.
Deuxième moment calme avec « Bittersweet ». Un peu trop convenue, et passe partout, elle ne laissera pas de trace indélébile. Un petit moins bien. On rattrape le coup avec « She sleeps in madness » un mid tempo, plutôt musclé, qui surprend mais fait son effet. Une petite montée en intensité avant le refrain, qui malheureusement tombe à plat. Une bien bonne chanson comme le groupe en a composé très peu et qui mérite d’être réédité.
Troisième ballade (et oui le groupe aime ça) avec la magnifique « In this moment ». Un piano / voix qui fout la chair de poule ! Les larmes vous monteront même, et si vous êtes vraiment sensible elles couleront. Un moment digne des plus beaux de Bon Jovi, avec ce Johnny tout simplement grandiose. Maintenant que vous avez bien chialé, « Give in to this love » va te défoncer ta gueule ! Enfin voilà le style de titre que j’attendais du groupe. Un pur tube de hard Fm comme on les avait sur ‘Double eclipse’, car voilà ce qui manque à cet album des tubes rentre dedans !
Ah c’est tout heureux que je m’écoute ce « Before this ». Un petit moment mélodique qui passe comme une lettre à la poste et qui avec son refrain un peu plus catchy, donne que d’intérêt à celle-ci. Depuis 3 titres c’est le bonheur. Par contre j’accroche moins à « Hole in my head ». Un nouveau mid tempo, moderne qui explose lors d’un refrain superbe. Mais voilà c’est la seule bonne chose à retenir ici.
On termine par notre title track. « Leaving the end open ». Une dernière ballade qui finit calmement l’album sans forcément apporter plus à l’ensemble. Sympa sans plus (mais encore une fois quel refrain !!).
Conclusion : ce troisième album est bien bon, une attente qui se conclue bien, même si je regrette certaines petites choses. Espérons en tout cas au vu de ses qualités qu’Hardline revienne plus souvent.
Aujourd’hui, ils nous reviennent toujours accompagnés de l’excellent Johnny Geoli (Axel Rudi Pell) mais toujours sans Neal Schon, bien trop occupé à faire tourner Journey. Allons vite voir si ce retour est gagnant.
Un petit « Voices » pour nous lancer et première constatation le groupe a pas mal évolué. On a du mal à reconnaître le hard Fm des débuts, mais rassurez-vous celui-ci reste toujours mélodique surtout lors de son refrain. Au moins le groupe a décidé d’aller de l’avant et de moderniser sa musique. Une première chanson étonnante portée par un très joli refrain, qui me surprend. Voyons voir la suite. « Falling free » est donc celle-ci. Un peu plus proche du Hardline que je connais, cela me rassure. Johnny toujours aussi envoûtant et encore une fois le grand plus de ce groupe et Josh Ramos tient très bien son rôle en tant que 6 cordistes.
« Start again » est le premier moment calme de l’album. Ultra agréable à écouter elle nous remémore les doux instants qu’on a passés. Une ballade simple, mais tellement prenante, sublimée par le timbre éraillé de Johnny. Après ce calme bienfaiteur « Pieces of puzzles » continue avec un hard groovy, qui te fait taper du pied, comme un damné. Une nouvelle fois les refrains sont bien ficelés, dans du coton, pour entrer tout en douceur dans la tête.
Deuxième moment calme avec « Bittersweet ». Un peu trop convenue, et passe partout, elle ne laissera pas de trace indélébile. Un petit moins bien. On rattrape le coup avec « She sleeps in madness » un mid tempo, plutôt musclé, qui surprend mais fait son effet. Une petite montée en intensité avant le refrain, qui malheureusement tombe à plat. Une bien bonne chanson comme le groupe en a composé très peu et qui mérite d’être réédité.
Troisième ballade (et oui le groupe aime ça) avec la magnifique « In this moment ». Un piano / voix qui fout la chair de poule ! Les larmes vous monteront même, et si vous êtes vraiment sensible elles couleront. Un moment digne des plus beaux de Bon Jovi, avec ce Johnny tout simplement grandiose. Maintenant que vous avez bien chialé, « Give in to this love » va te défoncer ta gueule ! Enfin voilà le style de titre que j’attendais du groupe. Un pur tube de hard Fm comme on les avait sur ‘Double eclipse’, car voilà ce qui manque à cet album des tubes rentre dedans !
Ah c’est tout heureux que je m’écoute ce « Before this ». Un petit moment mélodique qui passe comme une lettre à la poste et qui avec son refrain un peu plus catchy, donne que d’intérêt à celle-ci. Depuis 3 titres c’est le bonheur. Par contre j’accroche moins à « Hole in my head ». Un nouveau mid tempo, moderne qui explose lors d’un refrain superbe. Mais voilà c’est la seule bonne chose à retenir ici.
On termine par notre title track. « Leaving the end open ». Une dernière ballade qui finit calmement l’album sans forcément apporter plus à l’ensemble. Sympa sans plus (mais encore une fois quel refrain !!).
Conclusion : ce troisième album est bien bon, une attente qui se conclue bien, même si je regrette certaines petites choses. Espérons en tout cas au vu de ses qualités qu’Hardline revienne plus souvent.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
Vues : 5743 fois