Chronique
SONS OF SEASONS - GODS OF VERMIN / Napalm Records 2009
Il y a des formations assez inattendues et qui deviennent attendues. C’est le cas de ce groupe Sons Of Seasons (S.O.S) qui s’incruste dans un metal symphonique plutôt sombre. Un combo formé par Oliver Palotaï (Kamelot, Doro…) en unissant des musiciens qui ont un même idéal musical et moral. Le résultat de ces facteurs donne au combo la liste suivante : Oliver Palotai (guitares et clavier), Henning Basse (Metalium) au chant, Daniel Schild (ex Blaze) à la batterie et Jurgen Steinmetz à la basse. Le but de l’album étant de se faire plaisir tout en unissant les passions musicales propres à chacun.
L’intro « The place where I hide » donne le ton Une atmosphère sombre et pesante. Immédiatement le titre éponyme se lance et c’est dans une ambiance presque orientale où le synthé est plus que mis en avant (logique). Niveau batterie, c’est plus orienté prog avec des breaks à tout va. Pour le reste, il est évident que le côté sombre prend le dessus sur cet ambiance puissant ; sans oublier la qualité du chant de Henning. « A blind man’s resolution » débute avec vélocité et technique pour se lancer dans un tempo bien rapide avec un couplet mélodieux et une ligne de chant agressive.
On tombe avec « Fallen family » dans un univers presque dépressif avec des riffs bien secs et une double martelée. Petite surprise après le chant extrême de Henning, voilà que Simone (Epica) vient poser sa voix. Que fait-elle là ? On dira juste qu’elle est avec Oliver. Je n’en dirai pas plus, car ça cloche.
Il fallait que ça se calme un peu, et c’est « The piper » qui s’en occupe. Une intro douce à la cymbale chatouillée et au synthé pour entre dans une power ballade. Nouveau début calme pour la chanson « Wheel of guilt » mais bien évidemment le tout s’emballe dans un mid tempo technique et sombre.
Pour « Belial’s tower », l’intro se fait plus mélodique et quelle surprise… Peu de temps après le tout s’emballe dans un speed metal au chant bien agressif et pesant avec un Daniel qui se fait bien plaisir derrière ses fûts.
Une intro synthé façon Kamelot pour « Fall of Byzanz ». Un titre qui rappelle par moment la chanson et hit du combo américain Nights of Arabia sur les passages synthés. Une intro au synthé lance « Wintersmith » qui se voit être la vraie ballade de l’album avec un duo Henning – Simone. Et oui, elle est encore là !
Retour au sérieux avec « Dead man’s shadows » qui part dans une furie ravageuse et un chant extrême et glutural qui fait plaisir. Ca balance, ça cadence grave… Headbanging ! Nouvelle intro au synthé et cette fois-ci nous avons droit à un mid tempo avec « Sanatorium song » qui a la vertu d’avoir un refrain porteur qui peut faire mal sur scène. Le final de l’album se fait avec « Third moon rising » et son esprit oriental et posé. Tout comme la suite de la chanson d’ailleurs.
Conclusion : un album sympa mais qui manque grandement d’originalité. Les musiciens sont là, c’est du gros, mais la sauce a du mal à prendre. Et puis Simone… elle est ‘Bankable’ en ce moment.
L’intro « The place where I hide » donne le ton Une atmosphère sombre et pesante. Immédiatement le titre éponyme se lance et c’est dans une ambiance presque orientale où le synthé est plus que mis en avant (logique). Niveau batterie, c’est plus orienté prog avec des breaks à tout va. Pour le reste, il est évident que le côté sombre prend le dessus sur cet ambiance puissant ; sans oublier la qualité du chant de Henning. « A blind man’s resolution » débute avec vélocité et technique pour se lancer dans un tempo bien rapide avec un couplet mélodieux et une ligne de chant agressive.
On tombe avec « Fallen family » dans un univers presque dépressif avec des riffs bien secs et une double martelée. Petite surprise après le chant extrême de Henning, voilà que Simone (Epica) vient poser sa voix. Que fait-elle là ? On dira juste qu’elle est avec Oliver. Je n’en dirai pas plus, car ça cloche.
Il fallait que ça se calme un peu, et c’est « The piper » qui s’en occupe. Une intro douce à la cymbale chatouillée et au synthé pour entre dans une power ballade. Nouveau début calme pour la chanson « Wheel of guilt » mais bien évidemment le tout s’emballe dans un mid tempo technique et sombre.
Pour « Belial’s tower », l’intro se fait plus mélodique et quelle surprise… Peu de temps après le tout s’emballe dans un speed metal au chant bien agressif et pesant avec un Daniel qui se fait bien plaisir derrière ses fûts.
Une intro synthé façon Kamelot pour « Fall of Byzanz ». Un titre qui rappelle par moment la chanson et hit du combo américain Nights of Arabia sur les passages synthés. Une intro au synthé lance « Wintersmith » qui se voit être la vraie ballade de l’album avec un duo Henning – Simone. Et oui, elle est encore là !
Retour au sérieux avec « Dead man’s shadows » qui part dans une furie ravageuse et un chant extrême et glutural qui fait plaisir. Ca balance, ça cadence grave… Headbanging ! Nouvelle intro au synthé et cette fois-ci nous avons droit à un mid tempo avec « Sanatorium song » qui a la vertu d’avoir un refrain porteur qui peut faire mal sur scène. Le final de l’album se fait avec « Third moon rising » et son esprit oriental et posé. Tout comme la suite de la chanson d’ailleurs.
Conclusion : un album sympa mais qui manque grandement d’originalité. Les musiciens sont là, c’est du gros, mais la sauce a du mal à prendre. Et puis Simone… elle est ‘Bankable’ en ce moment.
Critique : Lionel
Note : 6.5/10
Site du groupe : Site de Sons Of Seasons
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