Chronique
DREAM THEATER - BLACK CLOUDS AND SILVER LINING / Roadrunner 2009
Le leader incontesté du prog est de retour pour son dixième album, que je pense décisif pour l’avenir du groupe après un mitigé Systematic Chaos. Alors est-ce que DT a encore des idées bien à lui, ou va-t-il encore se contenter de copier ses influences ?
On entre dans le vif du sujet avec une certaine pression pour « A nightmare to remember » qui démarre de façon bien sombre et plutôt proche de ce que le groupe nous propose ces derniers temps. Avant de tirer une quelconque conclusion attendons de voir la suite ! Même si l’on reste dans cet univers métal à la Metallica, j’avoue bien volontiers que c’est mieux pensé que sur son album précédent. Très progressif et changeant avec une très belle partie calme, cette première chanson laisse un avis mitigé tant on pense à d’autres titres du combo ! Premier point moyen… on poursuit avec le premier single « A rite of passage » où la on retrouve notre DT inspiré !! Oui, ça semble presque irréaliste mais on a droit à un titre qui semblerait sorti de Falling into infinity . James Labrie chante d’une façon très sombre et rappelle presque Marilyn Manson. Quel plaisir de réentendre enfin du DT inspiré. A noté un beau duel Petrucci/Rudess. Bon je commence à reprendre espoir.
« Wither » est la ballade de l’album ; qui même si elle est rapidement arrivée, elle ne gâche en rien le plaisir, surtout que voilà : quelle ballade ! A nouveau James Labrie est extraordinaire, il a beau être de plus en plus critiqué, je persiste à dire que c’est toujours le meilleur ! Bref un troisième titre en forme de nouvelle réussite !! Tout simplement sublime ! Malgré, l’ambiance très mélancolique qui vient de s’abattre sur vous « The shatterd fortress » va vous botter le cul très fort ! Dernière pièce de la suite crée par Mike Portnoy sur ses problèmes d’alcool débuté il y a déjà 7 ans avec The glass prison, voici donc le final, en forme d’apothéose, puisque cette chanson est un mix des 4 premières savamment mélangées avec tout le talent de ces 5 musiciens de génie. Tout bonnement prodigieux !! Au passage histoire d’en remettre une couche James Labrie réalise un travail véritablement colossal !!
On continue dans les déboires de notre batteur de génie, puisque « The best of time » parle du décès de son père. Proche dans son approche de A change of season qui traité du décès de sa mère, cette pièce épique nous démontre à nouveau de très belles idées. Une très belle intro déchirante au piano, puis nous montons progressivement sur un pur titre de prog mélodique, où l’émotion est toujours présente. A noter, il faut vraiment le préciser, un superbe solo de John Petrucci comme il en avait plus fait depuis un bail. Un très, très grand titre. Mr Portnoy vous pouvez être très fier de votre fils ! Nous arrivons déjà à la fin, « The count of tuscany » et ses presque 20 minutes, nous accueille donc pour un festival de musique technique mais jamais stérile. Une très longue intro puis c’est partie pour du pur metal prog sans concurrence. Un titre qui nous démontre à nouveau que Dream Theater a repris les reines de sa musique ! Un grand ouf de soulagement à l’écoute d’un tel morceau, qui se clôture de manière douce et sublime. Tout bonnement parfait !
Conclusion : merci Dream Theater d’avoir relevé le défi avec brio ! Un dixième album en forme de réussite avec enfin un groupe inspiré qui remet d’abord sa musique en avant !! Finalement DT reste le plus grand et ce je suppose pour encore bien longtemps. 20 ans après son premier album DT est toujours au sommet de sa forme et c’est tant mieux !!
On entre dans le vif du sujet avec une certaine pression pour « A nightmare to remember » qui démarre de façon bien sombre et plutôt proche de ce que le groupe nous propose ces derniers temps. Avant de tirer une quelconque conclusion attendons de voir la suite ! Même si l’on reste dans cet univers métal à la Metallica, j’avoue bien volontiers que c’est mieux pensé que sur son album précédent. Très progressif et changeant avec une très belle partie calme, cette première chanson laisse un avis mitigé tant on pense à d’autres titres du combo ! Premier point moyen… on poursuit avec le premier single « A rite of passage » où la on retrouve notre DT inspiré !! Oui, ça semble presque irréaliste mais on a droit à un titre qui semblerait sorti de Falling into infinity . James Labrie chante d’une façon très sombre et rappelle presque Marilyn Manson. Quel plaisir de réentendre enfin du DT inspiré. A noté un beau duel Petrucci/Rudess. Bon je commence à reprendre espoir.
« Wither » est la ballade de l’album ; qui même si elle est rapidement arrivée, elle ne gâche en rien le plaisir, surtout que voilà : quelle ballade ! A nouveau James Labrie est extraordinaire, il a beau être de plus en plus critiqué, je persiste à dire que c’est toujours le meilleur ! Bref un troisième titre en forme de nouvelle réussite !! Tout simplement sublime ! Malgré, l’ambiance très mélancolique qui vient de s’abattre sur vous « The shatterd fortress » va vous botter le cul très fort ! Dernière pièce de la suite crée par Mike Portnoy sur ses problèmes d’alcool débuté il y a déjà 7 ans avec The glass prison, voici donc le final, en forme d’apothéose, puisque cette chanson est un mix des 4 premières savamment mélangées avec tout le talent de ces 5 musiciens de génie. Tout bonnement prodigieux !! Au passage histoire d’en remettre une couche James Labrie réalise un travail véritablement colossal !!
On continue dans les déboires de notre batteur de génie, puisque « The best of time » parle du décès de son père. Proche dans son approche de A change of season qui traité du décès de sa mère, cette pièce épique nous démontre à nouveau de très belles idées. Une très belle intro déchirante au piano, puis nous montons progressivement sur un pur titre de prog mélodique, où l’émotion est toujours présente. A noter, il faut vraiment le préciser, un superbe solo de John Petrucci comme il en avait plus fait depuis un bail. Un très, très grand titre. Mr Portnoy vous pouvez être très fier de votre fils ! Nous arrivons déjà à la fin, « The count of tuscany » et ses presque 20 minutes, nous accueille donc pour un festival de musique technique mais jamais stérile. Une très longue intro puis c’est partie pour du pur metal prog sans concurrence. Un titre qui nous démontre à nouveau que Dream Theater a repris les reines de sa musique ! Un grand ouf de soulagement à l’écoute d’un tel morceau, qui se clôture de manière douce et sublime. Tout bonnement parfait !
Conclusion : merci Dream Theater d’avoir relevé le défi avec brio ! Un dixième album en forme de réussite avec enfin un groupe inspiré qui remet d’abord sa musique en avant !! Finalement DT reste le plus grand et ce je suppose pour encore bien longtemps. 20 ans après son premier album DT est toujours au sommet de sa forme et c’est tant mieux !!
Critique : Guillaume
Note : 9/10
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