Chronique
ELEKTRADRIVE - LIVING 4 / Valery Records 2009
Pour faire simple, ELEKTRADRIVE est un groupe italien formé en 1983, constitué de 4 comparses et sévissant dans un power heavy métal de toute sa splendeur. Comme à l'accoutumé, le premier contact avec un groupe dont on ne connaît ni le nom , ni les membres, est un contact visuel par le biais de leur pochette. Et cette dernière est plutôt à ranger dans la catégorie des pochettes "plus sobre que ça tu meurs". Toujours est-il que cette sobriété est souvent gage de qualité, c'est mon expérience qui me raconte ça…
Le premier morceau est assez évasif quant à son introduction, en effet chaque musicien mets un peu de son instrument pour créer une ambiance des plus planantes. Par contre dés que la batterie fait son apparition, c'est une explosion genre "poundcake" de VanHalen qui explose nos oreilles. La voix, tranchante à souhait, nous fait replonger, pour les plus nostalgiques, dans nos belles années de gloire, vous l'aurez compris, les années 80 !!!
Bref, tout y est, solis de guitares simplement aériens, rythmique en son clair avec 3 kilos de reverb, le guitariste est tout simplement habité. La basse/batterie est inconditionnellement l'une des lus grosse que mes oreilles n'ont jamais écouté, non sérieux !!
Le deuxième morceau enfonce le clou avec une rythmique ternaire des plus entraînante y compris pour son refrain très convaincant. J'avoue l'avoir écouté plusieurs fois de suite pour me re-chanter cette rengaine si bandante !! Pour le troisième morceau, c'est l'intro que j'ai du me ré écouter des centaines de fois, tant le tempo joué est lourd de chez lourd. Un véritable bonheur pour les batteurs.
N'étant pas plus que ça, fan des power ballades, le morceau "What we still don’t know" vous réconciliera avec ce style si dangereux à placer dans un album. Et dans ce cas présent c'est justement ce morceau qui met en valeur tout l'album. Cette "accalmie" si bien composée, avec ces chœurs rappelant les meilleurs Queen et ses innombrables frasques vous feront sûrement tressaillir de ravissement en entendant la voix de ce superbe chanteur à l'émotion intacte !
Toujours est-il que cet album s'écoute tout tranquillement jusqu'à la fin sans avoir eu l'impression d'avoir passé un mauvais moment, même si la fin du disque tend à nous fourguer des morceaux sans grands intérêts mais pas dégueulasse pour autant. Le son est tellement parfait qu'il pourrait nous être difficile de chercher la petite bête à ces gens là. Ces ritals sont de bons musiciens, maîtrisant leur musique à la perfection sans rien à voir à envier aux grosses têtes d'affiches de ce style a part peut-être leur notoriété…
Sois dit en passant, pour l'originalité on repassera, mais quand même ce skud vous donnera l'envie certaine d'en découvrir un peu plus sur ce sympathique combo, à écouter bien volontiers.
Tracklist :
Evil empire
Feed the ground
What we still don’t know
Living 4
Get power from the sun
Pain
Dirty war of bloody angels
The water diviner
You are always on my mind
W.Y.S.I.W.Y.G.
In a superficial way
Fake news
Son of the universe
Le premier morceau est assez évasif quant à son introduction, en effet chaque musicien mets un peu de son instrument pour créer une ambiance des plus planantes. Par contre dés que la batterie fait son apparition, c'est une explosion genre "poundcake" de VanHalen qui explose nos oreilles. La voix, tranchante à souhait, nous fait replonger, pour les plus nostalgiques, dans nos belles années de gloire, vous l'aurez compris, les années 80 !!!
Bref, tout y est, solis de guitares simplement aériens, rythmique en son clair avec 3 kilos de reverb, le guitariste est tout simplement habité. La basse/batterie est inconditionnellement l'une des lus grosse que mes oreilles n'ont jamais écouté, non sérieux !!
Le deuxième morceau enfonce le clou avec une rythmique ternaire des plus entraînante y compris pour son refrain très convaincant. J'avoue l'avoir écouté plusieurs fois de suite pour me re-chanter cette rengaine si bandante !! Pour le troisième morceau, c'est l'intro que j'ai du me ré écouter des centaines de fois, tant le tempo joué est lourd de chez lourd. Un véritable bonheur pour les batteurs.
N'étant pas plus que ça, fan des power ballades, le morceau "What we still don’t know" vous réconciliera avec ce style si dangereux à placer dans un album. Et dans ce cas présent c'est justement ce morceau qui met en valeur tout l'album. Cette "accalmie" si bien composée, avec ces chœurs rappelant les meilleurs Queen et ses innombrables frasques vous feront sûrement tressaillir de ravissement en entendant la voix de ce superbe chanteur à l'émotion intacte !
Toujours est-il que cet album s'écoute tout tranquillement jusqu'à la fin sans avoir eu l'impression d'avoir passé un mauvais moment, même si la fin du disque tend à nous fourguer des morceaux sans grands intérêts mais pas dégueulasse pour autant. Le son est tellement parfait qu'il pourrait nous être difficile de chercher la petite bête à ces gens là. Ces ritals sont de bons musiciens, maîtrisant leur musique à la perfection sans rien à voir à envier aux grosses têtes d'affiches de ce style a part peut-être leur notoriété…
Sois dit en passant, pour l'originalité on repassera, mais quand même ce skud vous donnera l'envie certaine d'en découvrir un peu plus sur ce sympathique combo, à écouter bien volontiers.
Tracklist :
Evil empire
Feed the ground
What we still don’t know
Living 4
Get power from the sun
Pain
Dirty war of bloody angels
The water diviner
You are always on my mind
W.Y.S.I.W.Y.G.
In a superficial way
Fake news
Son of the universe
Note : 7.5/10
Site du groupe : myspace officiel du groupe
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