Chronique
THE TANGENT - Down And Out In Paris And London / Inside Out 2009
Sortie du 5ème album des Anglais de The Tangent qui ont également à leur compte deux live, avec un tel CV on ne peut qu'apprécier ! C'est parti pour Down And Out In Paris And London !
Avec un début similaire à ceux que l'on peut retrouver chez Eric Clapton, Tangent nous plonge dans une atmosphère bien différente de celle que l'on trouve dans ce bon vieux heavy métal. Quelques passages dans ce premier morceau Where Are They Now ? feraient presque penser à des éléments dans Systematic Chaos de Dream Theater. UNe atmosphère jazz domine relativement majoritairement dans ce premier morceau aux teintes très parisienne...
Un morceau de près de 20 minutes aux ressources peu variées et peu diverses. La voix néanmoins n'est pas mise du tout en valeur, cela perd un peu de son charme. Pardonnez moi l'expression mais cela ressemble plus à de la musique d'ambiance qu'à autre chose par moment... Cela est très répétitif, peu de changements intéressants. La prochaine fois, être moins ambitieux sur la longeur du morceau portera certainement plus ses fruits... J'éprouve même ne certaine difficulté à arriver jusqu'au bout du morceau... On tombe vraiment dans le cliché de la musique de piano-bar américain voire de film, c'est vite soualant.
Paroxetine - 20mg se fait déjà plus courte ("seulement" 8 minutes). Le début peut paraître intéressant, mais on retrouve vite l'atmosphère gonflante et les teintes "Eric Clapton"... La voix est bien ancrée dans un timbre lassant, il est vraiment difficile d'étudier les morceaux jusqu'au bout pour le moment... 3 misérables accords de gratte aparaissent et se battent en duel mais rien de plus. Le cliché piano-bar américain intervient à nouveau. Au secours. Toujours les mêmes choses, la répétition c'est bien 1 minute, l'innovation c'est mieux !
J'espère que Perdu dans Paris sera mieux. Mais malgré mes attentes, rien n'y fait. Avec un franglais bien grotesque, on s'ennuie profondément jusqu'au bout. Je retire mes propos, je ne m'en servirai pas même pour de la musique d'ambiance pour une soirée quelconque. Près de 12 minutes ainsi, ce boulant est de plus en plus éprouvant (:-P) le heavy métal me manque terriblement lorsque j'entends ça.
The car company, avec un titre pareil, comment paraître sérieux ? Exactement le même genre que les morceaux précédents, en plus endormant que le reste. Que dire de plus ? Il n'y a rien d'innovant, toujours même chose à la mesure près, c'est infernal et pourtant je suis ouverte musicalement....... Arrêter moi ce massacre !
Encore un morceau ennuyeux pour 2 plombes : 13 minutes encore pire que les précédentes avec The Canterbury sequence volume 2, ethanol hat mail. Je ne vois pas quoi dire de plus, ça sonne parfois faux, c'est ennuyeux de A à Z, tout comme les morceaux précédents, franchement rien d'un temps soit peu intéressant. Objecitvement, toujours la même chose. Point final.
Conclusion : Fortement déconseillé pour cadeau de Noël ! Rien, Vide, pas grand chose à ajouter, je crois que l'on a compris. Dommage le CV était pas mal de prime abord !
Je parts écouter un bon Children of Bodom ou le dernier Heavenly
Avec un début similaire à ceux que l'on peut retrouver chez Eric Clapton, Tangent nous plonge dans une atmosphère bien différente de celle que l'on trouve dans ce bon vieux heavy métal. Quelques passages dans ce premier morceau Where Are They Now ? feraient presque penser à des éléments dans Systematic Chaos de Dream Theater. UNe atmosphère jazz domine relativement majoritairement dans ce premier morceau aux teintes très parisienne...
Un morceau de près de 20 minutes aux ressources peu variées et peu diverses. La voix néanmoins n'est pas mise du tout en valeur, cela perd un peu de son charme. Pardonnez moi l'expression mais cela ressemble plus à de la musique d'ambiance qu'à autre chose par moment... Cela est très répétitif, peu de changements intéressants. La prochaine fois, être moins ambitieux sur la longeur du morceau portera certainement plus ses fruits... J'éprouve même ne certaine difficulté à arriver jusqu'au bout du morceau... On tombe vraiment dans le cliché de la musique de piano-bar américain voire de film, c'est vite soualant.
Paroxetine - 20mg se fait déjà plus courte ("seulement" 8 minutes). Le début peut paraître intéressant, mais on retrouve vite l'atmosphère gonflante et les teintes "Eric Clapton"... La voix est bien ancrée dans un timbre lassant, il est vraiment difficile d'étudier les morceaux jusqu'au bout pour le moment... 3 misérables accords de gratte aparaissent et se battent en duel mais rien de plus. Le cliché piano-bar américain intervient à nouveau. Au secours. Toujours les mêmes choses, la répétition c'est bien 1 minute, l'innovation c'est mieux !
J'espère que Perdu dans Paris sera mieux. Mais malgré mes attentes, rien n'y fait. Avec un franglais bien grotesque, on s'ennuie profondément jusqu'au bout. Je retire mes propos, je ne m'en servirai pas même pour de la musique d'ambiance pour une soirée quelconque. Près de 12 minutes ainsi, ce boulant est de plus en plus éprouvant (:-P) le heavy métal me manque terriblement lorsque j'entends ça.
The car company, avec un titre pareil, comment paraître sérieux ? Exactement le même genre que les morceaux précédents, en plus endormant que le reste. Que dire de plus ? Il n'y a rien d'innovant, toujours même chose à la mesure près, c'est infernal et pourtant je suis ouverte musicalement....... Arrêter moi ce massacre !
Encore un morceau ennuyeux pour 2 plombes : 13 minutes encore pire que les précédentes avec The Canterbury sequence volume 2, ethanol hat mail. Je ne vois pas quoi dire de plus, ça sonne parfois faux, c'est ennuyeux de A à Z, tout comme les morceaux précédents, franchement rien d'un temps soit peu intéressant. Objecitvement, toujours la même chose. Point final.
Conclusion : Fortement déconseillé pour cadeau de Noël ! Rien, Vide, pas grand chose à ajouter, je crois que l'on a compris. Dommage le CV était pas mal de prime abord !
Je parts écouter un bon Children of Bodom ou le dernier Heavenly
Note : 3/10
Site du groupe : Site de The Tangent
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