Chronique
DERDIAN - NEW ERA PART 3: THE APOCALYPSE / Magna Carta 2010
Voilà le retour des italiens de Derdian qui viennent nous présenter le chapitre final de leur histoire épique et mystique durant la guerre entre hommes et dieux. L’appel ayant été fait, le disque étant sortit dans les bacs, les oreilles sont grandes ouvertes pour recevoir ce repas bien complet d’epic metal.
Comme il se doit, l’ouverture de l’album se fait par une bien belle introduction « Preludio » qui met les choses bien à plat. L’album aura un son bien clair et propre, et l’ambiance chevaleresque. 9a ne loupe pas avec le premier titre de l’album « The Spell » qui fait un sacré rentre dedans. Un tempo rapide, une grosse nappe de clavier, un Joe au chant en forme accompagné sur les couplets par Lisy Stefanoni qui a une superbe voix soit-il dit en pensant. On continue avec du gros. « Battleplan » est une pièce qui se déguste avec plaisir et envie tellement tout est bon. Sans compter sur les passages un peu plus progressifs, posant des breaks ici et là histoire qu’on ne se lasse pas la musique.
Au plus on avance dans cette bataille finale et au plus on découvre un groupe qui confirme ses talents présentés principalement à nos yeux grâce à leur album précédent « War of Gods ». En effet, les chansons s’enchaînent les unes après et les autres tout en nous procurant de bonnes sensations, alternant les styles d’ouvertures pour les titres, ou le tempo tout simplement. On a des moments rapides avec de grosses lignes de claviers (un peu trop parfois peut-être) avec « Her spirit will fly again », de titres beaucoup plus posés et prenant comme « Black Rose » par exemple, d’autres plus inspirés par la musique classique mais tournés façon metal avec « Dreams » ou encore la superbe « The prophecy » qui se voit être aussi un peu nostalgique et décalée.
Avec tout ça, se trouve aussi des morceaux bien plus progressifs et ravageurs qui donnent une autre vision de cette musique. Des mid tempos qui permettent à l’auditeur de ne pas trop se perdre à travers ces déferlantes de notes à travers tous ces titres. C’est pourquoi « Divine Embrace » sera appréciée car elle apporte de la fraîcheur à cet ensemble.
A côté de ça on a droit quand même à des standards du genre avec des titres fusant et guerrier avec des chœurs qui donnent encore plus de dimension à cette musique guerrière. « Burn » en est la preuve. Sans oublier la ballade qui viendra calmer les esprits car sinon rien de va. « Forevermore », un titre apprécié pour ce genre d’exercice. En plus Lisy chante avec une telle douceur que ça en est évasif et plus qu’agréable !
Bien entendu, le final se veut être grandiose avec un « Presagio » qui annonce ouvertement la conclusion de ce chapitre et de la trilogie. Entre aspect sombre et mélodique, la musique pure et dure trouve ici sa place. « The Apocalypse » débute de façon narquoise avant de partir dans une envolée lyrique et un thème épique à souhait. Un final monstrueux qui donne à cette conclusion la dimension et la puissance souhaitée pour combler l’attente de toute personne et aussi donner au final la puissance et la sensibilité nécessaire.
Conclusion : un album supérieur au précédent, qui même sans pour autant innover procure du plaisir et fait bien vibrer. Niveau production on garde la même que sur le précédent album. On regrettera quand même par moment le trop de claviers qui peut devenir un peu lassant. L’ensemble est quand même bien bon. La suite ?
Comme il se doit, l’ouverture de l’album se fait par une bien belle introduction « Preludio » qui met les choses bien à plat. L’album aura un son bien clair et propre, et l’ambiance chevaleresque. 9a ne loupe pas avec le premier titre de l’album « The Spell » qui fait un sacré rentre dedans. Un tempo rapide, une grosse nappe de clavier, un Joe au chant en forme accompagné sur les couplets par Lisy Stefanoni qui a une superbe voix soit-il dit en pensant. On continue avec du gros. « Battleplan » est une pièce qui se déguste avec plaisir et envie tellement tout est bon. Sans compter sur les passages un peu plus progressifs, posant des breaks ici et là histoire qu’on ne se lasse pas la musique.
Au plus on avance dans cette bataille finale et au plus on découvre un groupe qui confirme ses talents présentés principalement à nos yeux grâce à leur album précédent « War of Gods ». En effet, les chansons s’enchaînent les unes après et les autres tout en nous procurant de bonnes sensations, alternant les styles d’ouvertures pour les titres, ou le tempo tout simplement. On a des moments rapides avec de grosses lignes de claviers (un peu trop parfois peut-être) avec « Her spirit will fly again », de titres beaucoup plus posés et prenant comme « Black Rose » par exemple, d’autres plus inspirés par la musique classique mais tournés façon metal avec « Dreams » ou encore la superbe « The prophecy » qui se voit être aussi un peu nostalgique et décalée.
Avec tout ça, se trouve aussi des morceaux bien plus progressifs et ravageurs qui donnent une autre vision de cette musique. Des mid tempos qui permettent à l’auditeur de ne pas trop se perdre à travers ces déferlantes de notes à travers tous ces titres. C’est pourquoi « Divine Embrace » sera appréciée car elle apporte de la fraîcheur à cet ensemble.
A côté de ça on a droit quand même à des standards du genre avec des titres fusant et guerrier avec des chœurs qui donnent encore plus de dimension à cette musique guerrière. « Burn » en est la preuve. Sans oublier la ballade qui viendra calmer les esprits car sinon rien de va. « Forevermore », un titre apprécié pour ce genre d’exercice. En plus Lisy chante avec une telle douceur que ça en est évasif et plus qu’agréable !
Bien entendu, le final se veut être grandiose avec un « Presagio » qui annonce ouvertement la conclusion de ce chapitre et de la trilogie. Entre aspect sombre et mélodique, la musique pure et dure trouve ici sa place. « The Apocalypse » débute de façon narquoise avant de partir dans une envolée lyrique et un thème épique à souhait. Un final monstrueux qui donne à cette conclusion la dimension et la puissance souhaitée pour combler l’attente de toute personne et aussi donner au final la puissance et la sensibilité nécessaire.
Conclusion : un album supérieur au précédent, qui même sans pour autant innover procure du plaisir et fait bien vibrer. Niveau production on garde la même que sur le précédent album. On regrettera quand même par moment le trop de claviers qui peut devenir un peu lassant. L’ensemble est quand même bien bon. La suite ?
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Site de Derdian
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