Chronique
VIRGIN STEELE - THE BLACK LIGHT BACCHANALIA / Spv 2010
David DeFeis nous revient quatre ans après un très ambitieux concept album sur la religion. Toujours armé de sa recette miracle et de ses arguments qui ont fait de lui l'homme respecté qu'il est, il nous sort aujourd'hui' son douzième album, une preuve de plus.
On se lance dans l'aventure avec « By the hammer of zeus », qui pulse bien. Première constatation le son général est meilleur que celui de son prédécesseur, la guitare est plus mordante et la batterie moins boite à rythmes. Ceux qui connaissent le groupe retrouveront tous les points forts, dont un David toujours aussi envoutant ! Comme on s'y est habitué les titres sont très longs et truffés d'arrangements. On change de registre avec un « Pagan heart » plutôt étonnant, qui passe bien et enjoue l'auditeur, ravi de retrouver ces héros.
« The bread of wickedness », dans une veine des plus habituelles, envoie des pieds. Un titre un peu trop conventionnel même si on se laisse prendre au jeu, Virgin Steele est tellement unique. A noter un très bon refrain ! Une intro symphonique puis « In a dream of fire » se lance dans sur un métal mélodique convainquant.
Une intro au piano « Nepenthe (I love tomorrow) » est la première ballade de notre opus. Un passage un peu lourdaud qui n'apporte pas grand chose. On retrouve du rythme avec « The orpheus taboo » qui bizarrement ne relève pas l'ambiance. Seul le refrain est intéressant, mais à nouveau une certaine lourdeur se fait sentir!
Place au titre épique de 11 minutes avec « The crown them with halos part 1 & 2 », qui comme prévu change de rythme au gré des minutes. Un bon moment où quelques longueurs se font ressentir par moment. Après un tel moment la title track prend place de manière bien plus agressive! « The black light bacchanalia » relève le niveau sans pour autant exciter plus que ça. Seul à nouveau le refrain posé fait effet.
« The torture's of the damned » nous redonne enfin de l'émouvant. Une sorte de ballade qui prend aux tripes avec un David DeFeis viscéral. Un très grand moment de l'album ! « Necropolis » se fait plus rythmé sur un suave chant posé et maitrisé. Un titre étonnant avec un refrain speedé efficace.
On termine avec « Eternal regret » qui débute tout doucement sur un piano voix envoutant. Petit à petit les choses évoluent pour conclure sur une note plutôt sombre cet album.
Conclusion : Virgin Steele nous a à nouveau sorti un album ambitieux qui malgré quelques faiblesses tient la route. Il manque juste un peu plus d'engouement pour nous refaire vibrer comme à la grande époque.
On se lance dans l'aventure avec « By the hammer of zeus », qui pulse bien. Première constatation le son général est meilleur que celui de son prédécesseur, la guitare est plus mordante et la batterie moins boite à rythmes. Ceux qui connaissent le groupe retrouveront tous les points forts, dont un David toujours aussi envoutant ! Comme on s'y est habitué les titres sont très longs et truffés d'arrangements. On change de registre avec un « Pagan heart » plutôt étonnant, qui passe bien et enjoue l'auditeur, ravi de retrouver ces héros.
« The bread of wickedness », dans une veine des plus habituelles, envoie des pieds. Un titre un peu trop conventionnel même si on se laisse prendre au jeu, Virgin Steele est tellement unique. A noter un très bon refrain ! Une intro symphonique puis « In a dream of fire » se lance dans sur un métal mélodique convainquant.
Une intro au piano « Nepenthe (I love tomorrow) » est la première ballade de notre opus. Un passage un peu lourdaud qui n'apporte pas grand chose. On retrouve du rythme avec « The orpheus taboo » qui bizarrement ne relève pas l'ambiance. Seul le refrain est intéressant, mais à nouveau une certaine lourdeur se fait sentir!
Place au titre épique de 11 minutes avec « The crown them with halos part 1 & 2 », qui comme prévu change de rythme au gré des minutes. Un bon moment où quelques longueurs se font ressentir par moment. Après un tel moment la title track prend place de manière bien plus agressive! « The black light bacchanalia » relève le niveau sans pour autant exciter plus que ça. Seul à nouveau le refrain posé fait effet.
« The torture's of the damned » nous redonne enfin de l'émouvant. Une sorte de ballade qui prend aux tripes avec un David DeFeis viscéral. Un très grand moment de l'album ! « Necropolis » se fait plus rythmé sur un suave chant posé et maitrisé. Un titre étonnant avec un refrain speedé efficace.
On termine avec « Eternal regret » qui débute tout doucement sur un piano voix envoutant. Petit à petit les choses évoluent pour conclure sur une note plutôt sombre cet album.
Conclusion : Virgin Steele nous a à nouveau sorti un album ambitieux qui malgré quelques faiblesses tient la route. Il manque juste un peu plus d'engouement pour nous refaire vibrer comme à la grande époque.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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