Chronique
HELLOWEEN - 7 SINNERS / Sony Music 2010
Après un bien bon « Gambling with the devil » et une grosse tournée mondiale, les allemands nous avaient proposé une compil avec leurs plus gros titres revisités à leur sauce. Autant dire, très particulier et peu enchanteur. Maintenant, les choses changent et l’équipe à Andi Deris débarque pour Halloween avec ses « 7 sinners ».
L’album débute avec une bonne ambiance percutée et un bon riff avec « Where the sinners go », le tout dans un esprit sombre et posé, non loin de l’album The Dark Ride mais avec encore plus de maturité. Un premier titre accrocheur qui laisse présager de bonnes choses pour la suite de l’album. On poursuit avec le premier single extrait de cet album « Are you metal ? ». Un hymne complétant celui de leurs confrères Gamma Ray et de leur « To The Metal ». Une bonne nappe de synthé et le tout s’envole vers un horizon musical puissant et racé, le tout bien cadré pour être un single et une bombe sur scène avec ce refrain simple mais boosté, et un pré refrain enchanteur dirigé par la voix d’Andi.
« Who is Mr Madman » rappelle étrangement certains titres du groupe période Keepers avec cette intro au synthé suivie d’une accélération brutale pour se poser dans un mid tempo appuyé par un riff énorme. Sascha nous fait plaisir et le refrain une nouvelle fois fait mouche et nous transporte dans cet univers si particulier qu’est celui de Helloween. On accélère les choses avec « Raise the noise » qui fait fuser les notes et donne une variation non négligeable pour l’intensité de la rondelle. Au tour de « World of fantasy » qui est certainement pour moi le meilleur morceau de l’album. Un son bien clair au niveau de la guitare, un riff heavy, et une ligne de chant monstrueuse où Andi nous la régale sur les couplets et aussi sur le refrain, où il est appuyé par des chœurs. Enorme !
Changement de registre, cette fois-ci on fait péter la double pour lancer « Long live the king ». Un titre endiablé qui fera éclater quelques citrouilles de part sa dynamique et tous ces fûts martelés. Place à la ballade de l’album qui vient calmer les esprits. « The smile of the sun » se voit être bien agréable et douce tout en gardant cet aspect musical sombre et lourd. Fini le repos et retour à la violence avec « You stupid mankind » qui cette fois ci se voit être bombarbée de riffs à la basse et d’un Andi qui monte bien haut dans les notes.
« If a mountain could talk » n’a rien d’une romance. En effet les notes fusent et on à droit à du bon speed teuton. C'est-à-dire, vitesse et agressivité avec une touche de légèreté et bien sur un refrain épic qui se rapproche par moment d’Avantasia.
Le côté sombre de la musique prend le dessus une nouvelle fois et c’est « The sage, the fool, the sinner » qui en fait ‘les frais’. Mais ces frais sont bien subis et nous procurent une bonne dose de plaisir, avec une nouvelle fois un refrain simple mais efficace.
Un peu plus de mélodies pour débuter « My sacrifice » avant de tomber dans cette mascarade et de plonger dans un univers non pas lent mais presque progressif et envolés au moment du refrain. « Not yet today » est un interlude qui fait penser au chant des Elfes dans ‘Le seigneur des anneaux’. Une sorte de complainte avant de rentrer dans le morceau final « Far in the future ». Le titre le plus long de l’album avec ses quasi 8minutes. Autant vous dire que l’intensité musicale et les sensations procurées par cette chanson sont très variées. Un début un peu surprenant de part son côté posé et peut être un peu trop déjà-entendu façon metal opéra. La suite se rapproche grandement de leur hymne « Halloween » au niveau de la structure et parfois même copié sur cette dernière.
Conclusion : Helloween nous offre là une sacrée rondelle qui fait du bien par où elle passe. L’attente a été justifiée. Le côté sombre de la musique est décidément un des points fort pour la voix d’Andi. Happy Happy Helloween, Halloween…. Oh oh, oh oh
L’album débute avec une bonne ambiance percutée et un bon riff avec « Where the sinners go », le tout dans un esprit sombre et posé, non loin de l’album The Dark Ride mais avec encore plus de maturité. Un premier titre accrocheur qui laisse présager de bonnes choses pour la suite de l’album. On poursuit avec le premier single extrait de cet album « Are you metal ? ». Un hymne complétant celui de leurs confrères Gamma Ray et de leur « To The Metal ». Une bonne nappe de synthé et le tout s’envole vers un horizon musical puissant et racé, le tout bien cadré pour être un single et une bombe sur scène avec ce refrain simple mais boosté, et un pré refrain enchanteur dirigé par la voix d’Andi.
« Who is Mr Madman » rappelle étrangement certains titres du groupe période Keepers avec cette intro au synthé suivie d’une accélération brutale pour se poser dans un mid tempo appuyé par un riff énorme. Sascha nous fait plaisir et le refrain une nouvelle fois fait mouche et nous transporte dans cet univers si particulier qu’est celui de Helloween. On accélère les choses avec « Raise the noise » qui fait fuser les notes et donne une variation non négligeable pour l’intensité de la rondelle. Au tour de « World of fantasy » qui est certainement pour moi le meilleur morceau de l’album. Un son bien clair au niveau de la guitare, un riff heavy, et une ligne de chant monstrueuse où Andi nous la régale sur les couplets et aussi sur le refrain, où il est appuyé par des chœurs. Enorme !
Changement de registre, cette fois-ci on fait péter la double pour lancer « Long live the king ». Un titre endiablé qui fera éclater quelques citrouilles de part sa dynamique et tous ces fûts martelés. Place à la ballade de l’album qui vient calmer les esprits. « The smile of the sun » se voit être bien agréable et douce tout en gardant cet aspect musical sombre et lourd. Fini le repos et retour à la violence avec « You stupid mankind » qui cette fois ci se voit être bombarbée de riffs à la basse et d’un Andi qui monte bien haut dans les notes.
« If a mountain could talk » n’a rien d’une romance. En effet les notes fusent et on à droit à du bon speed teuton. C'est-à-dire, vitesse et agressivité avec une touche de légèreté et bien sur un refrain épic qui se rapproche par moment d’Avantasia.
Le côté sombre de la musique prend le dessus une nouvelle fois et c’est « The sage, the fool, the sinner » qui en fait ‘les frais’. Mais ces frais sont bien subis et nous procurent une bonne dose de plaisir, avec une nouvelle fois un refrain simple mais efficace.
Un peu plus de mélodies pour débuter « My sacrifice » avant de tomber dans cette mascarade et de plonger dans un univers non pas lent mais presque progressif et envolés au moment du refrain. « Not yet today » est un interlude qui fait penser au chant des Elfes dans ‘Le seigneur des anneaux’. Une sorte de complainte avant de rentrer dans le morceau final « Far in the future ». Le titre le plus long de l’album avec ses quasi 8minutes. Autant vous dire que l’intensité musicale et les sensations procurées par cette chanson sont très variées. Un début un peu surprenant de part son côté posé et peut être un peu trop déjà-entendu façon metal opéra. La suite se rapproche grandement de leur hymne « Halloween » au niveau de la structure et parfois même copié sur cette dernière.
Conclusion : Helloween nous offre là une sacrée rondelle qui fait du bien par où elle passe. L’attente a été justifiée. Le côté sombre de la musique est décidément un des points fort pour la voix d’Andi. Happy Happy Helloween, Halloween…. Oh oh, oh oh
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site officiel de Helloween
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