Chronique
AEON ZEN - THE FACE OF THE UNKNOWN / Time Divide Records 2010
Aeon Zen nous vient tout droit du Royaume Uni et est a vu le jour grâce à Rich Hinks, un jeune musicien de 21ans. Pour ce second volume, notre jeune artiste a tout enregistré au niveau des instruments.
Pour ce qui est du chant, plusieurs invités sont au rendez-vous. Et bien évidemment, ce ne sont pas des casseroles. On a droit à Michael Eriksen de Circus Maximus, Andi Kravijaca de Silent Call, Nick D’Virgilio de Spock’s Beard et Genesis, Jem Godfrey de Frost, et Jonny Tatum d’Eumeria. Sans oublier la participation au niveau vocal de Rich himself, le garçon ultra polyvalent.
Le premier titre « Salvation » est très certainement celui qui m’a le plus marqué dans l’album. D’une part parce que c’est Michael Eriksen au chant et que je suis fan de Circus Maximus, mais aussi parce que c’est le morceau le plus long de l’album avec ses 10:31 minutes. Un morceau bien technique et varié qui alterne à travers un son moderne et propre une rythmique calme et endiablée. Au niveau du chant, la performance de Michael est impressionnante, changeant de tonalité avec aisance et légèreté. Du vrai bonheur à travers ces mélodies musicales et vocales, entre un bon solo clavier ou guitare.
Un tempo beaucoup plus rapide se met en place pour « Visions » qui a pour chanteur Andi Kravijaca. Une voix plus roque et plus agressive qui donne plus de mouvance et de dimension à ce titre inspiré par les américains de Symphony X. Ici aussi la performance vocale est bonne, tout comme le jeu au niveau des instruments pour Rich.
Un peu plus de douceur pour lancer « The heart of the sun » qui se voit être plus complexe au niveau de la structure. Qui de mieux alors pour chanter que Micheal Eriksen. Un nouveau délice qui agrémente parfaitement ce titre encore bien long de 7minutes, avec des longs passages instrumentaux bien barrés et travaillés.
Retour vers le passé avec « Crystal Skies », qui se voit être mené par Nick D’Virgilio. Un morceau calme et mélodique, avec une envolée au moment du refrain. Nick est comme un poisson dans l’eau, le morceau se rapprochant fortement du style musical de Spock’s Beard. Ici encore on aura droit à un super solo au synthé.
Départ pour une ambiance plus rock et agressive sur « Natural selection », dirigé par Jem Godfrey au chant. La guitare prend le dessus sur le clavier même si ce dernier reste omni-présent en fond. Un mid tempo aux riffs un peu ‘étranges’ et sombres. Pour le titre éponyme « The face of the unkown » c’est Andi Kravijaca qui revient au chant. Après une intro douce et légère, la mélodie prend de l’ampleur et Rich se lance dans un duel guitare / synthé avant un break et l’arrivée d’Andi au chant qui avec sa voix roque nous plonge dans un univers musical passionnant et percutant de haute volée.
Intro au synthé pour « You’re not alone ». Ici, Rich fait tout de A à Z. Sa voix fluette donne une souplesse à ce morceau posé et empreint de mélodies, avec des lignes de chants douces et posées. « My sacrifice » arrive de façon plus futuriste et pour la première et seule fois dans l’album, ce sera un duo au niveau chant : Jonny Tatum et Rich Hinks. Coté musique : une ambiance lente et sombre, une sorte de requiem moderne où le duo donne une dimension paradoxale entre intensité et légèreté, et douceur et noirceur.
Nouvelle intro au synthé pour la ballade de l’album intitulée "Start over", qui se voit être chantée par Rich. Entre piano et orchestrations, un titre doux et porteur mais qui ne sera pas exceptionnel, manquant un peu d’originalité.
Pour terminer cet album, c’est Jonny Tatum qui sera au chant sur « Redemption’s Shadow ». Un début rappelant Symphony X. Un prog racé et puissant avec de bonnes nappes de claviers. Seule la voix de Jonny plus claire que celle de Russel Allen. Un final bien agréable.
Conclusion : Rich Hinks nous offre là une bien bonne rondelle que ce soit sur le plan musical comme sur le plan vocal. Tous les fans de prog metal y trouveront leur bonheur, et ce pour toutes les générations.
Pour ce qui est du chant, plusieurs invités sont au rendez-vous. Et bien évidemment, ce ne sont pas des casseroles. On a droit à Michael Eriksen de Circus Maximus, Andi Kravijaca de Silent Call, Nick D’Virgilio de Spock’s Beard et Genesis, Jem Godfrey de Frost, et Jonny Tatum d’Eumeria. Sans oublier la participation au niveau vocal de Rich himself, le garçon ultra polyvalent.
Le premier titre « Salvation » est très certainement celui qui m’a le plus marqué dans l’album. D’une part parce que c’est Michael Eriksen au chant et que je suis fan de Circus Maximus, mais aussi parce que c’est le morceau le plus long de l’album avec ses 10:31 minutes. Un morceau bien technique et varié qui alterne à travers un son moderne et propre une rythmique calme et endiablée. Au niveau du chant, la performance de Michael est impressionnante, changeant de tonalité avec aisance et légèreté. Du vrai bonheur à travers ces mélodies musicales et vocales, entre un bon solo clavier ou guitare.
Un tempo beaucoup plus rapide se met en place pour « Visions » qui a pour chanteur Andi Kravijaca. Une voix plus roque et plus agressive qui donne plus de mouvance et de dimension à ce titre inspiré par les américains de Symphony X. Ici aussi la performance vocale est bonne, tout comme le jeu au niveau des instruments pour Rich.
Un peu plus de douceur pour lancer « The heart of the sun » qui se voit être plus complexe au niveau de la structure. Qui de mieux alors pour chanter que Micheal Eriksen. Un nouveau délice qui agrémente parfaitement ce titre encore bien long de 7minutes, avec des longs passages instrumentaux bien barrés et travaillés.
Retour vers le passé avec « Crystal Skies », qui se voit être mené par Nick D’Virgilio. Un morceau calme et mélodique, avec une envolée au moment du refrain. Nick est comme un poisson dans l’eau, le morceau se rapprochant fortement du style musical de Spock’s Beard. Ici encore on aura droit à un super solo au synthé.
Départ pour une ambiance plus rock et agressive sur « Natural selection », dirigé par Jem Godfrey au chant. La guitare prend le dessus sur le clavier même si ce dernier reste omni-présent en fond. Un mid tempo aux riffs un peu ‘étranges’ et sombres. Pour le titre éponyme « The face of the unkown » c’est Andi Kravijaca qui revient au chant. Après une intro douce et légère, la mélodie prend de l’ampleur et Rich se lance dans un duel guitare / synthé avant un break et l’arrivée d’Andi au chant qui avec sa voix roque nous plonge dans un univers musical passionnant et percutant de haute volée.
Intro au synthé pour « You’re not alone ». Ici, Rich fait tout de A à Z. Sa voix fluette donne une souplesse à ce morceau posé et empreint de mélodies, avec des lignes de chants douces et posées. « My sacrifice » arrive de façon plus futuriste et pour la première et seule fois dans l’album, ce sera un duo au niveau chant : Jonny Tatum et Rich Hinks. Coté musique : une ambiance lente et sombre, une sorte de requiem moderne où le duo donne une dimension paradoxale entre intensité et légèreté, et douceur et noirceur.
Nouvelle intro au synthé pour la ballade de l’album intitulée "Start over", qui se voit être chantée par Rich. Entre piano et orchestrations, un titre doux et porteur mais qui ne sera pas exceptionnel, manquant un peu d’originalité.
Pour terminer cet album, c’est Jonny Tatum qui sera au chant sur « Redemption’s Shadow ». Un début rappelant Symphony X. Un prog racé et puissant avec de bonnes nappes de claviers. Seule la voix de Jonny plus claire que celle de Russel Allen. Un final bien agréable.
Conclusion : Rich Hinks nous offre là une bien bonne rondelle que ce soit sur le plan musical comme sur le plan vocal. Tous les fans de prog metal y trouveront leur bonheur, et ce pour toutes les générations.
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Site officiel de Aeon Zen
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