Chronique
BLACK COUNTRY COMMUNION - BLACK COUNTRY COMMUNION / Provogue 2010
Qui se cache sous se patronyme ? Et bien rien qu'un all star band comprenant The voice of rock, Glenn Hughes, Joe Bonamassa guitariste de blues qui ne cesse de monter, Jason Bonham (Ufo, Foreigner) et Derek Sherinian (Dream Theater, Planet X), le tout produit par Kevin Shirley (Dream Theater, Iron Maiden). Alors à quoi doit-on s'attendre avec cette formation exceptionnelle ? Réponse de suite !
On débute sur une bonne grosse basse pour un « Black country » rentre dedans ! Glenn d'entrée démontre que sa voix est toujours aussi puissante et atomise l'auditeur. Musicalement le groupe développe un hard 70's avec un son moderne et nous remémore les grands noms de l'Angleterre. Mr Bonamassa quant à lui envoit du lourd dans un jeu plus dur mais pas dénué de feeling blues. « One last soul » prend le relai pour un titre plus soft, où à nouveau Joe fait étal de son talent de 6 cordistes et Mr Hughes chante comme ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas entendu !
Un peu de mélodie avec le mid tempo « Great divine » qui porte très bien son nom tant cette pièce musicale est splendide! Je le répète encore mais Glenn Hughes est tellement en voix qu'il transcende chaque morceau ! On continue sur un mid tempo mais celui ci plus groovy avec « Down again » qui fait un bien fou ! Depuis le début c'est du sans faute !
Avec « Beggarman » on reprend du bon rythme sans pour autant oublier le groove si cher à notre quatuor. Putain que c'est trop bon !! Place à la ballade « Song of yesterday » chantée par Joe Bonamassa. Un exercice des plus réussit, qui apporte son lot d'émotions et de feeling intenses avec son solo final spectaculaire !
« No time » fait presque pale figure à côté du morceau qu'on vient de se taper. Mais rassurez-vous la magie est toujours bel et bien là ! Une petite reprise vient à nos oreilles avec la sublime « Meduza » de Trapeze, premier groupe de Glenn Hughes. Plus de 35 ans après elle est toujours aussi exquise.
On retrouve Joe au chant pour un groovy « The revolution in me », qui passe très bien avant la bluesy « Stand (At the burning tree) », qui transpire à fond l'Angleterre des 70's. A noter qu'on entend enfin un solo de Derek Sherinian très discret.
On s'approche de la fin et « Sista jane » nous donne un titre rock au refrain percutant proche d'un Ac/Dc. Le duo Joe/Glenn est super et apporte un plus à cette sacrée chanson. On termine avec « Too late for the sun » qui donne dans l'apothéose, avec une pièce de 11 minutes qui finie en démonstration personnelle. Oui du grand art.
Conclusion : voilà une sacrée gifle. Comme Chikenfoot Black Country Communion n'invente rien mais il le fait si bien que ça en devient orgasmique. Quoi que touche Glenn Hughes c'est extra, et en voilà une énième preuve. Un album plein de feeling et d'envie qui font un bien fou dans ce monde si formaté. Merci les gars et j'espère qu'il y en aura d'autres comme ça !!
On débute sur une bonne grosse basse pour un « Black country » rentre dedans ! Glenn d'entrée démontre que sa voix est toujours aussi puissante et atomise l'auditeur. Musicalement le groupe développe un hard 70's avec un son moderne et nous remémore les grands noms de l'Angleterre. Mr Bonamassa quant à lui envoit du lourd dans un jeu plus dur mais pas dénué de feeling blues. « One last soul » prend le relai pour un titre plus soft, où à nouveau Joe fait étal de son talent de 6 cordistes et Mr Hughes chante comme ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas entendu !
Un peu de mélodie avec le mid tempo « Great divine » qui porte très bien son nom tant cette pièce musicale est splendide! Je le répète encore mais Glenn Hughes est tellement en voix qu'il transcende chaque morceau ! On continue sur un mid tempo mais celui ci plus groovy avec « Down again » qui fait un bien fou ! Depuis le début c'est du sans faute !
Avec « Beggarman » on reprend du bon rythme sans pour autant oublier le groove si cher à notre quatuor. Putain que c'est trop bon !! Place à la ballade « Song of yesterday » chantée par Joe Bonamassa. Un exercice des plus réussit, qui apporte son lot d'émotions et de feeling intenses avec son solo final spectaculaire !
« No time » fait presque pale figure à côté du morceau qu'on vient de se taper. Mais rassurez-vous la magie est toujours bel et bien là ! Une petite reprise vient à nos oreilles avec la sublime « Meduza » de Trapeze, premier groupe de Glenn Hughes. Plus de 35 ans après elle est toujours aussi exquise.
On retrouve Joe au chant pour un groovy « The revolution in me », qui passe très bien avant la bluesy « Stand (At the burning tree) », qui transpire à fond l'Angleterre des 70's. A noter qu'on entend enfin un solo de Derek Sherinian très discret.
On s'approche de la fin et « Sista jane » nous donne un titre rock au refrain percutant proche d'un Ac/Dc. Le duo Joe/Glenn est super et apporte un plus à cette sacrée chanson. On termine avec « Too late for the sun » qui donne dans l'apothéose, avec une pièce de 11 minutes qui finie en démonstration personnelle. Oui du grand art.
Conclusion : voilà une sacrée gifle. Comme Chikenfoot Black Country Communion n'invente rien mais il le fait si bien que ça en devient orgasmique. Quoi que touche Glenn Hughes c'est extra, et en voilà une énième preuve. Un album plein de feeling et d'envie qui font un bien fou dans ce monde si formaté. Merci les gars et j'espère qu'il y en aura d'autres comme ça !!
Critique : Guillaume
Note : 9/10
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