Chronique
CHINCHILLA - TAKE NO PRISSONER / ARMAGEDDON MUSIC 2004.
Vus en 1ere partie de Saxon, ma première impression fut : ‘pas mal mais sans plus’.Puis je me suis dit : aller pourquoi pas, du heavy métal ça ne peut être mauvais, et me voici en possession du 5eme album de Chinchilla.
« The almight power » débute avec un gros son bien puissant (ça sens la grosse prod) pour un pur morceau de heavy qui fout la trique. Thomas Laasch le chanteur à une bonne voix avec un petit air de Dickinson pas dégueu. Pas le temps de se remettre que « death is a grand leveller » arrive dans un style épique à mi chemin entre Iron Maiden et Saxon. Un excellent début qui laisse présager du meilleur pour la suite.Avec « the call » c’est une véritable tempête qui s’abat : un pur titre de power speed avec quelques synthés pour accentuer le tout et un solo de basse terrible (c’est rare). Le chant de Thomas est énorme, une sacrée puissance ce bonhomme.« The ripper » (rien avoir avec Judas Priest sauf l’appartenance du style : heavy métal avec un grand HM) prend place pour un mid tempo bien sympa, limite oppressant. Cette chanson irai même jusqu'à rappeler un certain Tad Morose. Maintenant la titre track, « take no prisoners » est terrible et balance du tonnerre, avec un refrain facile à retenir. Un titre qui sur scène met le feu. Petit break avant le solo et c’est reparti, un grand moment.
« Lost control » débute calmement et se poursuit en un mid tempo presque sombre. Une nouvelle fois le refrain est super, mélodieux et marquant, pour un titre cool.
« Money talk » balance grave : le solo est cette fois ci exécuté par Stefan Leibing (ex primal fear) : ah ! quel régal ce bon heavy métal qui se prend pas la tête.
« Silent moment » est la seule ballade de l’album et débute sur une basse seule, puis l’entrée de tout le groupe. Ce titre me rappelle « Wasting love » de Maiden même si il n’y a pas énormément de rapport, mais bon moi et mes comparaisons. Un moment calme, sympatoche, avant de repartir.
« Stillborn soul » reprend le flambeau sur ce mid tempo guerrier, avec quelques breaks et quelques passages flamboyants : un titre qu’aimerai Manowar.
Voici la dernière « rich hounds ». Un heavy speed plein d’entrain pour cet album fort bien qui prouve que le heavy métal n’est pas mort et qu’il a encore de beaux jours devant lui
Conclusion un album sans surprise mais qui reste fort sympathique à écouter. Un groupe qui reste inconnu chez nous (si c’était le seul) mais qui mérite d’être découvert.
Aller, fans de heavy faite comme moi n’hésitez pas.
« The almight power » débute avec un gros son bien puissant (ça sens la grosse prod) pour un pur morceau de heavy qui fout la trique. Thomas Laasch le chanteur à une bonne voix avec un petit air de Dickinson pas dégueu. Pas le temps de se remettre que « death is a grand leveller » arrive dans un style épique à mi chemin entre Iron Maiden et Saxon. Un excellent début qui laisse présager du meilleur pour la suite.Avec « the call » c’est une véritable tempête qui s’abat : un pur titre de power speed avec quelques synthés pour accentuer le tout et un solo de basse terrible (c’est rare). Le chant de Thomas est énorme, une sacrée puissance ce bonhomme.« The ripper » (rien avoir avec Judas Priest sauf l’appartenance du style : heavy métal avec un grand HM) prend place pour un mid tempo bien sympa, limite oppressant. Cette chanson irai même jusqu'à rappeler un certain Tad Morose. Maintenant la titre track, « take no prisoners » est terrible et balance du tonnerre, avec un refrain facile à retenir. Un titre qui sur scène met le feu. Petit break avant le solo et c’est reparti, un grand moment.
« Lost control » débute calmement et se poursuit en un mid tempo presque sombre. Une nouvelle fois le refrain est super, mélodieux et marquant, pour un titre cool.
« Money talk » balance grave : le solo est cette fois ci exécuté par Stefan Leibing (ex primal fear) : ah ! quel régal ce bon heavy métal qui se prend pas la tête.
« Silent moment » est la seule ballade de l’album et débute sur une basse seule, puis l’entrée de tout le groupe. Ce titre me rappelle « Wasting love » de Maiden même si il n’y a pas énormément de rapport, mais bon moi et mes comparaisons. Un moment calme, sympatoche, avant de repartir.
« Stillborn soul » reprend le flambeau sur ce mid tempo guerrier, avec quelques breaks et quelques passages flamboyants : un titre qu’aimerai Manowar.
Voici la dernière « rich hounds ». Un heavy speed plein d’entrain pour cet album fort bien qui prouve que le heavy métal n’est pas mort et qu’il a encore de beaux jours devant lui
Conclusion un album sans surprise mais qui reste fort sympathique à écouter. Un groupe qui reste inconnu chez nous (si c’était le seul) mais qui mérite d’être découvert.
Aller, fans de heavy faite comme moi n’hésitez pas.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Site du groupe : site officiel de Chinchilla
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