Chronique
THUNDER - THE MAGNIFICIENT SEVENTH / FRONTIERS RECORDS 2005
Groupe anglais fondé en 1989 Tunder sort là son 7eme opus toujours inspiré de l’essence même du rock et du hard rock.
Intro typé Rolling stone suivit d’un riff très Ac/dc pour « i love you more than rock n roll » qui débute bien comme il faut cet album. La voix de Danny Bowes est pure et excellente dans ce style, un bon mid tempo qui met les pendules à l’heure.
« The god of love » débute sur une guitare Wah wah, puis s’envole dans un pur hard à la UFO. Un titre qui confirme la bonne tenue de l’album. A noter quelque chose d’indescriptible : c’est la magie qui entoure ce groupe. Une pure merveille, ces mecs là savent faire du hard.C’est sur ça va faire mal. « Monkey see monkey do » commence sur des sitars et armé de quelques orchestrations orientales ce titre me rappelle ‘taste of india’ d’Aerosmith mais garde quand même son identité.Un mid tempo super enivrant, un voyage entre les indes et le pays du hard : merveilleux.
La 1ere ballade se nomme « i’m dreaming again ». Un titre à la guitare sèche, sensible et bien jolie grâce à la magnifique voix plus la belle mélodie vocale de Danny qui font imparablement mouche : quel groupe, quel groupe !! Douce et sensuelle, la pure ballade pour faire fondre les durs.
Aller on sèche ses larmes et on repart conquérant, pour « Amy’S on the run » la rock semi acoustique est bien bonne juste ce qu’il faut après cette ballade. Un titre gai enjoué à mille lieu de te prendre la tête.
Le brûlot « the pride » un heavy rock à la Aerosmith tonitruante ; ce titre vous scotche sur place, bien aidé par les guitares de Ben Matthews et Luke Morley. Un grand moment qui se passe de commentaire. « Fade into the sun » est un morceau un peu plus hard FM mais diablement bon. Quel pied ! Et cette voix qui se marie super bien à n’importe quel moment, il faut l’entendre pour comprendre le plaisir procuré.
Attention voici la 2eme ballade « together or apart » alors là c’est l’hécatombe : une pure merveille sur la quel l’organe affûter de Danny vous transperce un véritable moment de jouissance accentuée par son sublime refrain et aussi avec ses véritables parties rock et sa fin ; un moment solitaire de Luke qui fait souffrir sa guitare pour notre plus grand plaisir. L’érection de l’année (ou du moins une bien belle déjà).
Après quelques glaçons pour faire redescendre la pression on se prend « you can’t keep a good man down » avec son riff qui ressemble à ‘only you can rock me ‘ d’UFO. Un pur titre qui te fait décoller de ta léthargie entre Lynyrd Skynyrd et UFO, une petite bombe.
« One foot in the grave » nous envoie dans l’Amérique profonde : guitare acoustique et harmonica pour commencer et déchaînement électrique pour continuer. Ah la la, je vois les champs de cotons bouger comme jamais. Et pour malheureusement finir « one fatal kiss » se la joue titre FM un poil funky avec sa ligne de basse. Encore un titre énorme sur un album où aucune faute de goût est venue se glisser. Chaud bouillant. Cette chanson te poursuit bien au delà de sa durée initiale.
Conclusion un grand groupe, qui nous sort là un excellent album de Hard avec un grand H, un pur bonheur cuvé 2005, à consommer sans modération. Comme quoi le bon vieux hard tient toujours méchamment bien la route même 37 ans après.
Ah que c’est bon de réentendre d’aussi bons groupes. Merci les gars.
Intro typé Rolling stone suivit d’un riff très Ac/dc pour « i love you more than rock n roll » qui débute bien comme il faut cet album. La voix de Danny Bowes est pure et excellente dans ce style, un bon mid tempo qui met les pendules à l’heure.
« The god of love » débute sur une guitare Wah wah, puis s’envole dans un pur hard à la UFO. Un titre qui confirme la bonne tenue de l’album. A noter quelque chose d’indescriptible : c’est la magie qui entoure ce groupe. Une pure merveille, ces mecs là savent faire du hard.C’est sur ça va faire mal. « Monkey see monkey do » commence sur des sitars et armé de quelques orchestrations orientales ce titre me rappelle ‘taste of india’ d’Aerosmith mais garde quand même son identité.Un mid tempo super enivrant, un voyage entre les indes et le pays du hard : merveilleux.
La 1ere ballade se nomme « i’m dreaming again ». Un titre à la guitare sèche, sensible et bien jolie grâce à la magnifique voix plus la belle mélodie vocale de Danny qui font imparablement mouche : quel groupe, quel groupe !! Douce et sensuelle, la pure ballade pour faire fondre les durs.
Aller on sèche ses larmes et on repart conquérant, pour « Amy’S on the run » la rock semi acoustique est bien bonne juste ce qu’il faut après cette ballade. Un titre gai enjoué à mille lieu de te prendre la tête.
Le brûlot « the pride » un heavy rock à la Aerosmith tonitruante ; ce titre vous scotche sur place, bien aidé par les guitares de Ben Matthews et Luke Morley. Un grand moment qui se passe de commentaire. « Fade into the sun » est un morceau un peu plus hard FM mais diablement bon. Quel pied ! Et cette voix qui se marie super bien à n’importe quel moment, il faut l’entendre pour comprendre le plaisir procuré.
Attention voici la 2eme ballade « together or apart » alors là c’est l’hécatombe : une pure merveille sur la quel l’organe affûter de Danny vous transperce un véritable moment de jouissance accentuée par son sublime refrain et aussi avec ses véritables parties rock et sa fin ; un moment solitaire de Luke qui fait souffrir sa guitare pour notre plus grand plaisir. L’érection de l’année (ou du moins une bien belle déjà).
Après quelques glaçons pour faire redescendre la pression on se prend « you can’t keep a good man down » avec son riff qui ressemble à ‘only you can rock me ‘ d’UFO. Un pur titre qui te fait décoller de ta léthargie entre Lynyrd Skynyrd et UFO, une petite bombe.
« One foot in the grave » nous envoie dans l’Amérique profonde : guitare acoustique et harmonica pour commencer et déchaînement électrique pour continuer. Ah la la, je vois les champs de cotons bouger comme jamais. Et pour malheureusement finir « one fatal kiss » se la joue titre FM un poil funky avec sa ligne de basse. Encore un titre énorme sur un album où aucune faute de goût est venue se glisser. Chaud bouillant. Cette chanson te poursuit bien au delà de sa durée initiale.
Conclusion un grand groupe, qui nous sort là un excellent album de Hard avec un grand H, un pur bonheur cuvé 2005, à consommer sans modération. Comme quoi le bon vieux hard tient toujours méchamment bien la route même 37 ans après.
Ah que c’est bon de réentendre d’aussi bons groupes. Merci les gars.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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