Chronique
DELAIN - WE ARE THE OTHERS / Roadrunner Records 2012
Les hollandais reviennent avec leur nouvel et troisième opus, succédant au surprenant « April Rain ». Premier point la pochette : couleurs et ambiance assez spéciale, mais toujours avec la présence de Charlotte (en version dessinée).
Aller, c’est partit pour l’écoute.
Des bruitages, et on a l’impression de rentrer dans un univers ténébreux jusqu’au moment où la musique débarque et nous propulse dans une atmosphère sombre, avec une impression d’entendre Nightwish nouvelle version. Ce « Mother machine » est bon mais laisse septique niveau originalité. « Electricity » remet les choses au clair. Delain reprend ses marques et nous plonge dans un metal mélodique et atmosphérique, avec une Charlotte en forme, où le refrain prouvera que ce morceau fera mal sur scène. Au tour du titre éponyme « We are the others ». Tout simplement un titre explosif. Nappe de clavier, puis bim entre délicatesse et puissance la sauce prend sans problèmes pour nous plonger dans trois minutes de bonheur. Un peu de son électronique et c’est partit pour « Milk and honey », un mid tempo agréable mais qui ne casse pas des briques quand même.
« Hit me with your best shot » pourrait être une reprise… Mais non, c’est un titre mélodique, agrémenté de quelques passages un peu plus rock. C’est porteur et sympa. « I want you »… Le chant pour ouvrir, le piano, les chœurs, et c’est partit pour un titre façon Muse. Un rock popisé et mitigé. On revient dans un univers toujours aux sonorités électriques avec ce « Where is the blood » avec un invité dessus : Burton C Bell, rappelant le duo de Within Temptation « Stand my ground » avec Keith Caputo. « Generation me » par contre revient te mettre une bonne dose d’énergie. C’est le Delain comme on l’aime. C’est frais, dynamique et ça bien plaisir. Et pour ne pas se ramollir, le groupe nous propose « Babylon », posé mais qui te donne une seule envie : celle de s’immerger dans sa musique. « Are you done with me » se présente avec un peu plus de délicatesse mais tout en gardant cette puissance niveau plaisir, pour nous offrir tout simplement le hit de l’album. On revient maintenant dans un univers plus rock et agressif avec « Get the devil out of me ». Un titre qui va déchainer les foules sur scène. Pour terminer cet album, le groupe nous propose « Not enough ». Une intro douce qui se transforme rapidement en un titre mélodique et claquant.
Conclusion : une troisième rondelle agréable, parfois un peu trop inspirée par certains groupes mais au final se laissera écouter facilement.
Aller, c’est partit pour l’écoute.
Des bruitages, et on a l’impression de rentrer dans un univers ténébreux jusqu’au moment où la musique débarque et nous propulse dans une atmosphère sombre, avec une impression d’entendre Nightwish nouvelle version. Ce « Mother machine » est bon mais laisse septique niveau originalité. « Electricity » remet les choses au clair. Delain reprend ses marques et nous plonge dans un metal mélodique et atmosphérique, avec une Charlotte en forme, où le refrain prouvera que ce morceau fera mal sur scène. Au tour du titre éponyme « We are the others ». Tout simplement un titre explosif. Nappe de clavier, puis bim entre délicatesse et puissance la sauce prend sans problèmes pour nous plonger dans trois minutes de bonheur. Un peu de son électronique et c’est partit pour « Milk and honey », un mid tempo agréable mais qui ne casse pas des briques quand même.
« Hit me with your best shot » pourrait être une reprise… Mais non, c’est un titre mélodique, agrémenté de quelques passages un peu plus rock. C’est porteur et sympa. « I want you »… Le chant pour ouvrir, le piano, les chœurs, et c’est partit pour un titre façon Muse. Un rock popisé et mitigé. On revient dans un univers toujours aux sonorités électriques avec ce « Where is the blood » avec un invité dessus : Burton C Bell, rappelant le duo de Within Temptation « Stand my ground » avec Keith Caputo. « Generation me » par contre revient te mettre une bonne dose d’énergie. C’est le Delain comme on l’aime. C’est frais, dynamique et ça bien plaisir. Et pour ne pas se ramollir, le groupe nous propose « Babylon », posé mais qui te donne une seule envie : celle de s’immerger dans sa musique. « Are you done with me » se présente avec un peu plus de délicatesse mais tout en gardant cette puissance niveau plaisir, pour nous offrir tout simplement le hit de l’album. On revient maintenant dans un univers plus rock et agressif avec « Get the devil out of me ». Un titre qui va déchainer les foules sur scène. Pour terminer cet album, le groupe nous propose « Not enough ». Une intro douce qui se transforme rapidement en un titre mélodique et claquant.
Conclusion : une troisième rondelle agréable, parfois un peu trop inspirée par certains groupes mais au final se laissera écouter facilement.
Critique : Lionel
Note : 7/10
Site du groupe : Site de Delain
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