Chronique
ELVENKING - ERA / Afm Records 2012
Les italiens fans de folk metal reviennent deux ans après leur très bon « Red Silent Tides » qui m’avait réconcilié avec le groupe, qui au passage continue de proposer des pochettes étranges dont je suis loin d’être fan.
L’album débute avec « The loser » qui met les choses en place : le folk metal est bien de retour et même en force. Damna est toujours saisissant niveau chant. Ce morceau poursuit l’évolution logique de l’album précédent mais en rajoutant plus d’ambiance folk histoire de revenir aux sources du groupe. « I am the monster » se présente avec sérénité et soudainement une nouvelle voix vient se greffer le temps d’une paire de couplet : il s’agit de Jon Oliva. Ce mid tempo poursuit sa lancée surement pour nous plonger dans cet univers folk. « Midnight skies, Winters sights » débute dans la gaieté et la légèreté avant de nous immerger dans une ambiance racée et un peu popisée, surtout au moment du refrain qui est des plus accrocheurs et des plus plaisants. Changement d’ambiance, avec « A song for the people », c’est ambiance celtique avec une chanteuse en lead (son nom n’est pas précisé dans la bio de l’album). Léger et clinquant, juste avant de rentrer dans le prenant « We, animals » qui avec aisance nous plonge dans cet univers pop folk qui avait marqué les esprits dans l’album « Red Silent Tides ». Ambiance folk et toujours aussi joviale pour ce « Through Wolf’s eyes » qui surement nous immerge dans un morceau rêveur nous donnant envie d’être autour d’un feu de camp, à danser et à siroter de bonnes bières / cervoises. Changement de registre sur « Walking dead ».
Place à l’énergie maintenant et finit les rêveries. Elvenking prouvent qu’ils peuvent jouer différents types de metal et ce en le faisant correctement. Une bonne claque qu’est ce titre. Après cette vague assassine, c’est au tour de la ballade de prendre place. « Forget me not » se pointe sur les chapeaux de roue et c’est à nouveau Jon Oliva qui fait son apparition, ainsi que la fameuse et secrète chanteuse pour une chanson de toute beauté. Retour aux sources avec « Poor little Baroness ». Du Elevenking de la première période comme on l’aime. C’est racé, folk, prenant et original ; et on aime. Sans oublier cette alternance passages posés et mélodiques avec des passages plus envolés et porteurs. Le titre de l’album très certainement. Retour maintenant dans une atmosphère plus proche d’un Blackmore’s Night avec « The time of your life » : délicat et léger, un pseudo ballade berçante que l’on aimera immédiatement. « Chronicles of a Frozen Era » revient sur les bases du groupe dans un titre épique où tout y est : metal, folk, mélodies, légèreté, puissance, délicatesse ; le tout pendant ces quasi sept minutes : bonheur assuré. Pour terminer cette rondelle quoi de mieux qu’un titre instrumental "Ophale" de toute beauté : flûte de pan et guitare acoustique suffisent pour créer la magie.
Conclusion : Elvenking continue son avancée et nous offre un nouvel album varié et saisissant qui ravira les fans du groupe comme les novices.
L’album débute avec « The loser » qui met les choses en place : le folk metal est bien de retour et même en force. Damna est toujours saisissant niveau chant. Ce morceau poursuit l’évolution logique de l’album précédent mais en rajoutant plus d’ambiance folk histoire de revenir aux sources du groupe. « I am the monster » se présente avec sérénité et soudainement une nouvelle voix vient se greffer le temps d’une paire de couplet : il s’agit de Jon Oliva. Ce mid tempo poursuit sa lancée surement pour nous plonger dans cet univers folk. « Midnight skies, Winters sights » débute dans la gaieté et la légèreté avant de nous immerger dans une ambiance racée et un peu popisée, surtout au moment du refrain qui est des plus accrocheurs et des plus plaisants. Changement d’ambiance, avec « A song for the people », c’est ambiance celtique avec une chanteuse en lead (son nom n’est pas précisé dans la bio de l’album). Léger et clinquant, juste avant de rentrer dans le prenant « We, animals » qui avec aisance nous plonge dans cet univers pop folk qui avait marqué les esprits dans l’album « Red Silent Tides ». Ambiance folk et toujours aussi joviale pour ce « Through Wolf’s eyes » qui surement nous immerge dans un morceau rêveur nous donnant envie d’être autour d’un feu de camp, à danser et à siroter de bonnes bières / cervoises. Changement de registre sur « Walking dead ».
Place à l’énergie maintenant et finit les rêveries. Elvenking prouvent qu’ils peuvent jouer différents types de metal et ce en le faisant correctement. Une bonne claque qu’est ce titre. Après cette vague assassine, c’est au tour de la ballade de prendre place. « Forget me not » se pointe sur les chapeaux de roue et c’est à nouveau Jon Oliva qui fait son apparition, ainsi que la fameuse et secrète chanteuse pour une chanson de toute beauté. Retour aux sources avec « Poor little Baroness ». Du Elevenking de la première période comme on l’aime. C’est racé, folk, prenant et original ; et on aime. Sans oublier cette alternance passages posés et mélodiques avec des passages plus envolés et porteurs. Le titre de l’album très certainement. Retour maintenant dans une atmosphère plus proche d’un Blackmore’s Night avec « The time of your life » : délicat et léger, un pseudo ballade berçante que l’on aimera immédiatement. « Chronicles of a Frozen Era » revient sur les bases du groupe dans un titre épique où tout y est : metal, folk, mélodies, légèreté, puissance, délicatesse ; le tout pendant ces quasi sept minutes : bonheur assuré. Pour terminer cette rondelle quoi de mieux qu’un titre instrumental "Ophale" de toute beauté : flûte de pan et guitare acoustique suffisent pour créer la magie.
Conclusion : Elvenking continue son avancée et nous offre un nouvel album varié et saisissant qui ravira les fans du groupe comme les novices.
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site d'Elvenking
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