Chronique
STARSHIP - LOVELESS FASCINATION / Loud & proud records 2013
Où là, mais qu'est ce qui débarque aujourd'hui !? Mickey Thomas, l'ancien chanteur du Jefferson Starship revient avec un nouveau projet (groupe) et l'aide d'un certain Jeff Pilson (Dokken, T&N,)
alors à quoi doit on s'attendre d'un tel come back?
On commence avec « It's not a shame as love » qui est bien sympathique du bon rock mélodique bien servi par un Mickey toujours en voix. Un départ convaincant. « How do you sleep? » casse déjà l'ambiance avec une ballade typée qui arrive bien trop tôt.
On poursuit avec la title track qui n'effraiera personne avec son rock soft au possible ! Ça sent le roussi ! J'espère que « What did i ever do? » va sauver les meubles ? Et bien non une ballade folklorique certes agréable mais qui ne fait pas décoller cet album scotché au tarmac.
Je pense qu'il n'y aura plus rien à sauver dans cet album. Mais voilà que débarque « Technicolor black and white » bien rock avec des faux airs bluesy qui détonnent !! Et bien on ne l'attendait plus celle là !!
Tout cela ne pouvait pas durer et « Where did we go wrong ? » refait tomber la pression, qui venait à peine de trouver sa route vers le haut, avec une énième ballade, certes encore une fois bien faite mais qui casse un rythme déjà méchamment absent !! Nouvelle question mise à votre disposition (et bien il en a un paquet à nous poser) pour « How will i get by ? » qui est mièvre au possible et me fait craquer nerveusement !! Putain quel supplice !!
« You never know » poursuit sur les mêmes bases d'un pop rock Aor sans âme et sans intérêt qui me fait dire : 'Pourquoi es tu revenu !!'. Encore un peu plus de torture avec « You deny me » qui donne envie de se tirer une balle dans la tête !! On finit enfin !!! Avec « Nothin' can keep me from you » et sa chorale gospel sympa mais ça dure pas. Une dernière ballade à gerber qui me fait dire, voilà une belle perte de temps !!
Conclusion : Un album plus que passable, où rien ne vient vraiment nous surprendre ou nous interpeller. Un bien beau gâchis qui inonde encore un peu plus le marché déjà sursaturé de la musique. A oublier très vite
alors à quoi doit on s'attendre d'un tel come back?
On commence avec « It's not a shame as love » qui est bien sympathique du bon rock mélodique bien servi par un Mickey toujours en voix. Un départ convaincant. « How do you sleep? » casse déjà l'ambiance avec une ballade typée qui arrive bien trop tôt.
On poursuit avec la title track qui n'effraiera personne avec son rock soft au possible ! Ça sent le roussi ! J'espère que « What did i ever do? » va sauver les meubles ? Et bien non une ballade folklorique certes agréable mais qui ne fait pas décoller cet album scotché au tarmac.
Je pense qu'il n'y aura plus rien à sauver dans cet album. Mais voilà que débarque « Technicolor black and white » bien rock avec des faux airs bluesy qui détonnent !! Et bien on ne l'attendait plus celle là !!
Tout cela ne pouvait pas durer et « Where did we go wrong ? » refait tomber la pression, qui venait à peine de trouver sa route vers le haut, avec une énième ballade, certes encore une fois bien faite mais qui casse un rythme déjà méchamment absent !! Nouvelle question mise à votre disposition (et bien il en a un paquet à nous poser) pour « How will i get by ? » qui est mièvre au possible et me fait craquer nerveusement !! Putain quel supplice !!
« You never know » poursuit sur les mêmes bases d'un pop rock Aor sans âme et sans intérêt qui me fait dire : 'Pourquoi es tu revenu !!'. Encore un peu plus de torture avec « You deny me » qui donne envie de se tirer une balle dans la tête !! On finit enfin !!! Avec « Nothin' can keep me from you » et sa chorale gospel sympa mais ça dure pas. Une dernière ballade à gerber qui me fait dire, voilà une belle perte de temps !!
Conclusion : Un album plus que passable, où rien ne vient vraiment nous surprendre ou nous interpeller. Un bien beau gâchis qui inonde encore un peu plus le marché déjà sursaturé de la musique. A oublier très vite
Critique : Guillaume
Note : 4/10
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