Chronique
DE LE TIERRA - DE LA TIERRA / Roadrunner Records 2014
DE LA TIERRA est un groupe latino américain formé par Andréas Kisser en 2012, avec Alex González de Maná, Andrés Giménez de A.N.I.M.A.L. et Sr. Flavio de Los Fabulosos Cadillacs. Ils nous livrent donc en ce début d’année 2014 leur premier album éponyme.
Après « D.L.T », une intro acoustique très sympathique avec de bonnes sonorités latines, on rentre dans le vif du sujet avec « Somos Uno », et un riff très lourd et très gras, et effectivement, l’influence de Sepultura ou Soufly se fait radicalement ressentir. Par contre le chant d’Andrez Gimenez ne passe pas chez moi. Pas brutal mais pas calme, pas grunté mais plutôt éraillé, ça rend vraiment pas. A la limite quelques passages plus clair et aérien pourraient passer. Et musicalement c’est assez simpliste.
Même chose pour « Rostros », malgré un riff pas trop mal sur le couplet, et quelques cassures intéressantes, le morceau est pas terrible, sauf quelques lignes de chants pas dégueu sur le refrain.
On a un peu de changement avec les percussions tribales de « San Asesino » et une bonne mise en avant de la basse de Sr. Flavio. On a toujours ce son lourd, oppressant, classique chez certains groupes latins. « Detonar » sera plus enragé, plus saccadé, mais ça passe toujours pas au niveau du chant, vraiment j’essaye !
« Maldita Historia » se veut plus sombrer, presque doom par moment, mais comme je l’ai dit plus haut, musicalement c’est simple, et ça file même pas la patate, c’est presque frustrant.
On poursuit notre route avec deux titres un peu plus puissant mais toujours pas convaincant : « Fuera » et « Chaman de Manaus ». Oui c’est lourd, ça fait mur se son, mais on ressent rien, y’a pas d’émotion. On s’ennuit.
Je vais être sincère, j’ai tourné en rond longtemps sur cet album, et plusieurs écoutes ne m’aident pas. C’est mou malgré un son chargé, des textes vindicatifs et enragés. Le chant n’est pas bon, les riffs parfois montrent une inspiration, mais généralement c’est bateau. Et pour des mecs comme eux qui ont de la bouteille c’est dommage de nous sortir ce néo métal doom (je vois que ce nom là).
Après « D.L.T », une intro acoustique très sympathique avec de bonnes sonorités latines, on rentre dans le vif du sujet avec « Somos Uno », et un riff très lourd et très gras, et effectivement, l’influence de Sepultura ou Soufly se fait radicalement ressentir. Par contre le chant d’Andrez Gimenez ne passe pas chez moi. Pas brutal mais pas calme, pas grunté mais plutôt éraillé, ça rend vraiment pas. A la limite quelques passages plus clair et aérien pourraient passer. Et musicalement c’est assez simpliste.
Même chose pour « Rostros », malgré un riff pas trop mal sur le couplet, et quelques cassures intéressantes, le morceau est pas terrible, sauf quelques lignes de chants pas dégueu sur le refrain.
On a un peu de changement avec les percussions tribales de « San Asesino » et une bonne mise en avant de la basse de Sr. Flavio. On a toujours ce son lourd, oppressant, classique chez certains groupes latins. « Detonar » sera plus enragé, plus saccadé, mais ça passe toujours pas au niveau du chant, vraiment j’essaye !
« Maldita Historia » se veut plus sombrer, presque doom par moment, mais comme je l’ai dit plus haut, musicalement c’est simple, et ça file même pas la patate, c’est presque frustrant.
On poursuit notre route avec deux titres un peu plus puissant mais toujours pas convaincant : « Fuera » et « Chaman de Manaus ». Oui c’est lourd, ça fait mur se son, mais on ressent rien, y’a pas d’émotion. On s’ennuit.
Je vais être sincère, j’ai tourné en rond longtemps sur cet album, et plusieurs écoutes ne m’aident pas. C’est mou malgré un son chargé, des textes vindicatifs et enragés. Le chant n’est pas bon, les riffs parfois montrent une inspiration, mais généralement c’est bateau. Et pour des mecs comme eux qui ont de la bouteille c’est dommage de nous sortir ce néo métal doom (je vois que ce nom là).
Critique : SBM
Note : 4.5/10
Site du groupe : Site officiel
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