Chronique
TRIGGERFINGER - BY ABSENCE OF THE SUN / Verycords 2014
5ème album des Belges qui avancent petit à petit et plus loin encore. Après avoir fait sensation (il paraît) nous voici partis à leur découverte. Envers et contre tous !
Aller c'est parti dans un brouhaha avec « Game ». Le groupe pratique une sorte de stoner rock très étrange qui ne m'accroche pas des masses, seul le refrain est plaisant. On poursuit avec « Perfect match » qui lorgne vers du David Bowie. Malgré toutes les bonnes volontés je n'adhère pas à ce rock semi moderne qui manque de vie.
« By absence of the sun » semble plus envolé. Le trio nous propose un titre plus vivant. Un bon point. « Big hole » se veut plus mélodique et je ne sais pas pourquoi m'a fait penser aux travaux récents de Queensryche. Pas mal non plus, malgré tout.
On retrouve l'esprit à la Bowie le temps d'un « Off the rack » qui est sans grand plus. Les minutes défilent sans que rien ne se passe. Par contre « Black panic » qui se veut plus sombre (avec ses faux airs de U2) est plus intéressante. Dommage que ça ne décolle pas plus que ça !
Ambiance plus rythmée et moderne avec « There isn't time » qui me fait poser cette question : 'mais où veulent-ils en venir ?' A oublier. Cette fois ci c'est dans un stoner rock que nos amis Belges se lancent pour un « And there she was lying in wait » qui apporte rien de plus que de l'ennui. Dommage car on a bien l'impression qu'ils donnent tout.
« Splendor in the grass » est une sorte de rock popisant à la Oasis, qui au départ semble bien, mais lasse à force de tourner en rond. La ballade de l'album se nome « Halfway there » et nous endort paisiblement malgré sa qualité indéniable.
Cette fois ci c'est vers les 70' psychédéliques que le groupe tend lors d'un « Trail of love ». pourquoi pas mais ça semble si décalé ! On termine (enfin!!) avec « Master of all fears ». Un titre lourd et sombre qui passe bien.
Conclusion : Nos Belges ne m'auront pas enthousiasmé avec cet opus rock mais pas comme j'aime. Pas grave on peut pas tout aimer !
Aller c'est parti dans un brouhaha avec « Game ». Le groupe pratique une sorte de stoner rock très étrange qui ne m'accroche pas des masses, seul le refrain est plaisant. On poursuit avec « Perfect match » qui lorgne vers du David Bowie. Malgré toutes les bonnes volontés je n'adhère pas à ce rock semi moderne qui manque de vie.
« By absence of the sun » semble plus envolé. Le trio nous propose un titre plus vivant. Un bon point. « Big hole » se veut plus mélodique et je ne sais pas pourquoi m'a fait penser aux travaux récents de Queensryche. Pas mal non plus, malgré tout.
On retrouve l'esprit à la Bowie le temps d'un « Off the rack » qui est sans grand plus. Les minutes défilent sans que rien ne se passe. Par contre « Black panic » qui se veut plus sombre (avec ses faux airs de U2) est plus intéressante. Dommage que ça ne décolle pas plus que ça !
Ambiance plus rythmée et moderne avec « There isn't time » qui me fait poser cette question : 'mais où veulent-ils en venir ?' A oublier. Cette fois ci c'est dans un stoner rock que nos amis Belges se lancent pour un « And there she was lying in wait » qui apporte rien de plus que de l'ennui. Dommage car on a bien l'impression qu'ils donnent tout.
« Splendor in the grass » est une sorte de rock popisant à la Oasis, qui au départ semble bien, mais lasse à force de tourner en rond. La ballade de l'album se nome « Halfway there » et nous endort paisiblement malgré sa qualité indéniable.
Cette fois ci c'est vers les 70' psychédéliques que le groupe tend lors d'un « Trail of love ». pourquoi pas mais ça semble si décalé ! On termine (enfin!!) avec « Master of all fears ». Un titre lourd et sombre qui passe bien.
Conclusion : Nos Belges ne m'auront pas enthousiasmé avec cet opus rock mais pas comme j'aime. Pas grave on peut pas tout aimer !
Critique : Guillaume
Note : 5/10
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