Chronique
GZR - OHNWORK / SANCTUARY RECORDS 2005
GZR, quel est donc cette bête ? Un nouveau Terminator ? Non c’est le projet du grand Geezer Butler qui en manque de créativité dans son groupe : Black Sabbath, s’est offert un projet parallèle. Initialement créé avec Burton C Bell (chant ; Fear Factory) qui depuis est parti et a été remplacé par Clark Brown. A noter aussi la participation de Chad Smith derrière les fûts. Ohnwork 3eme album donc de GZR va donc être disséqué devant vous.
Riff très inspiré par Black Sabbath pour « Misfit » pour un titre heavy rythmé, la voix varie entre chant trash, écorché et voix calme, plus quelques passages rappés (pas le meilleur). Un début sympa. « Pardon my depression » ferait penser à du Alice In Chain avec son riff heavy et son ambiance sombre et pesante. Une sorte de Black Sabbath des années 2000, la voix de Clark passe bien alternant toujours ses chants trash et calmes qui donne une couleur à la musique. On ressent pas mal la patte de Geezer dans ses escapades heavy très chers à son ami Tony Iommy.
Par contre ça se gâte avec « Prisoner 103 » car là c’est plutôt néo métal (ah mon allergie me reprend) n’étant pas fan de ce style (plutôt mourir !) je m’abstiendrais d’en parler : suite.
Ambiance acoustique pour « I believe » étrange même, un esprit Soundgarden voir Soulfly plane sur les passages calmes, puis le refrain métal, heavy et moderne donne le change. Pas mal.
Gros passage bourrin pour « Aural sects » qui lorgnerais vers un Soilwork (l’esprit suédois en moins) qui ne m’accroche pas. Un titre tout en violence pour amateur de pogo à gogo. Les passages calmes pour ramasser ceux qui sont tombés et on repart !
Voix féminine pour « pseudocide » avec toujours ce coté Soilwork, il est vrai que Clark ferait penser à Bjorn Strid. La demoiselle vient se frotter aux vocaux hargneux de Clark (pour quelle raison ?) dans un titre dévastateur bien sympa. « Pull the strings » agrhh !!!!! On retrouve notre néo métal (il était réellement obligé) mais heureusement le refrain mélodieux est très cool ; mais désolé j’y arrive pas.
« Alone » débute très lourdement et sombrement (du pur Sabbath). La voix est proche de celle de Marilyn Manson dans un grand moment de dépression. Une chanson malsaine sur laquelle rode la mort. L’atmosphère très confite vous étouffe et cette voix tantôt planante tantôt trash ne vous console pas. Sûrement l’un des meilleurs titre de l’album.
« Dogs of whore » me tente pas, son style Pantera ne colle pas, sauf à la rigueur le refrain mélodieux qui est sympa mais trop court. Désolé une nouvelle fois pas mon truc.
Pour finir « Don’t you know » lorgne vers le métal US sympa sans plus mais bon tout cela me dépasse. Pas grand-chose à dire (si c’était mieux au début).
Conclusion : un album qui ne m’a pas totalement accroché par son style mais il faut reconnaître la volonté de Geezer d’aller de l’avant et d’avoir fait naître un bon groupe. Réservé aux jeunes métalleux et aux fans de Black Sabbath, accouplé à Pantera.
Riff très inspiré par Black Sabbath pour « Misfit » pour un titre heavy rythmé, la voix varie entre chant trash, écorché et voix calme, plus quelques passages rappés (pas le meilleur). Un début sympa. « Pardon my depression » ferait penser à du Alice In Chain avec son riff heavy et son ambiance sombre et pesante. Une sorte de Black Sabbath des années 2000, la voix de Clark passe bien alternant toujours ses chants trash et calmes qui donne une couleur à la musique. On ressent pas mal la patte de Geezer dans ses escapades heavy très chers à son ami Tony Iommy.
Par contre ça se gâte avec « Prisoner 103 » car là c’est plutôt néo métal (ah mon allergie me reprend) n’étant pas fan de ce style (plutôt mourir !) je m’abstiendrais d’en parler : suite.
Ambiance acoustique pour « I believe » étrange même, un esprit Soundgarden voir Soulfly plane sur les passages calmes, puis le refrain métal, heavy et moderne donne le change. Pas mal.
Gros passage bourrin pour « Aural sects » qui lorgnerais vers un Soilwork (l’esprit suédois en moins) qui ne m’accroche pas. Un titre tout en violence pour amateur de pogo à gogo. Les passages calmes pour ramasser ceux qui sont tombés et on repart !
Voix féminine pour « pseudocide » avec toujours ce coté Soilwork, il est vrai que Clark ferait penser à Bjorn Strid. La demoiselle vient se frotter aux vocaux hargneux de Clark (pour quelle raison ?) dans un titre dévastateur bien sympa. « Pull the strings » agrhh !!!!! On retrouve notre néo métal (il était réellement obligé) mais heureusement le refrain mélodieux est très cool ; mais désolé j’y arrive pas.
« Alone » débute très lourdement et sombrement (du pur Sabbath). La voix est proche de celle de Marilyn Manson dans un grand moment de dépression. Une chanson malsaine sur laquelle rode la mort. L’atmosphère très confite vous étouffe et cette voix tantôt planante tantôt trash ne vous console pas. Sûrement l’un des meilleurs titre de l’album.
« Dogs of whore » me tente pas, son style Pantera ne colle pas, sauf à la rigueur le refrain mélodieux qui est sympa mais trop court. Désolé une nouvelle fois pas mon truc.
Pour finir « Don’t you know » lorgne vers le métal US sympa sans plus mais bon tout cela me dépasse. Pas grand-chose à dire (si c’était mieux au début).
Conclusion : un album qui ne m’a pas totalement accroché par son style mais il faut reconnaître la volonté de Geezer d’aller de l’avant et d’avoir fait naître un bon groupe. Réservé aux jeunes métalleux et aux fans de Black Sabbath, accouplé à Pantera.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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