Chronique
CANDLEMASS - PSALMS OF THE DEAD / Napalm Records 2012
Voila un groupe que l’on ne présente plus. En effet CANDLEMASS en est à son 16ème album, « Psalms of the Dead ». Cet album est le dernier que fera le chanteur Robert Lowe qui sera remplacé par le célèbre Mats Levén.
« Prophet » n’a rien de doom. C’est plutôt un bon heavy assez sombre. Riff entrainant mais soutenu, chant heavy clair légèrement éraillé quand il le faut, la recette est sympa. Le break très mélodieux rappelle le bon vieux métal des années 80. Seule la fin, lente et lourde rappelle le mouvement doom. « The Sound of Dying Demons » n’aura de bon que le solo. Ce morceau est lent, trop mou, le refrain n’est pas entrainant, plus que bof.
Pour « Dancing in the Temple (of the Mad Queen Bee) » on retrouve quelque chose de plus entrainant. Rythmique simple mais percutante, les lignes de chants sont bien trouvées, soli courts mais efficaces. Le chant de Robert est totalement maitrisé, clair, puissant. Le morceau passe à 100 à l’heure.
Baisse de régime pour « Waterwitch », chant monocorde, quoi que jolies prouesses vocales, mais pas de mélodies, juste du riff lourd. Heureusement le guitariste se lâche sur un solo dantesque qui (encore une fois) sauve la mise.
Pour « The Lights of Thebe », on commence avec une très bonne ambiance, un peu psychedelico-fantastique. Les lignes de chant, malgré l’axe doom sont assez sympathiques. Sonorité arabisantes envoutantes, ambiance réussi, le morceau passe bien. Au tour du titre éponyme de mettre le couvert. Ici on aura droit à des changements d’ambiances. On passera du doom au heavy rock, et ma foi ça s’écoute. Certaines lignes de chants sont réussies mais bon c’est pas pour autant exceptionnel.
« The Killing of the Sun » pourra rappeler à certains Muse dans le phrasé et les lignes vocales rappelleront sans aucun doute Black Sabbath. Très bon morceaux assez groove, c’est plaisant. Il en est de même pour « Siren Song » qui est dans la même veine avec ce chant heavy, ces mélodies percutantes, que seul le solo de claviers très old school, gâche un peu.
On termine avec « Black as Time » qui commence sur un discours assez pessimiste sur le temps, ce qui en fait une intro assez barrée mais tellement vrai. Un riff énervé prend la relève et donne enfin envie de se dévisser la tronche ! Certains passages plus lents sont moins appréciables, mais le morceau reste cohérent.
Bon là je dois dire que je suis dans le flou total. Certains passages et morceaux sont bons, d’autres aussi utiles qu’une couverture chauffante au Sahara en plein Août. Le point fort incontestable c’est les solos dantesques, énormes !
Pour le reste je ne peux pas dire que c’est mauvais. Un doom heavy appréciable qui plaira aux fans du genre.
« Prophet » n’a rien de doom. C’est plutôt un bon heavy assez sombre. Riff entrainant mais soutenu, chant heavy clair légèrement éraillé quand il le faut, la recette est sympa. Le break très mélodieux rappelle le bon vieux métal des années 80. Seule la fin, lente et lourde rappelle le mouvement doom. « The Sound of Dying Demons » n’aura de bon que le solo. Ce morceau est lent, trop mou, le refrain n’est pas entrainant, plus que bof.
Pour « Dancing in the Temple (of the Mad Queen Bee) » on retrouve quelque chose de plus entrainant. Rythmique simple mais percutante, les lignes de chants sont bien trouvées, soli courts mais efficaces. Le chant de Robert est totalement maitrisé, clair, puissant. Le morceau passe à 100 à l’heure.
Baisse de régime pour « Waterwitch », chant monocorde, quoi que jolies prouesses vocales, mais pas de mélodies, juste du riff lourd. Heureusement le guitariste se lâche sur un solo dantesque qui (encore une fois) sauve la mise.
Pour « The Lights of Thebe », on commence avec une très bonne ambiance, un peu psychedelico-fantastique. Les lignes de chant, malgré l’axe doom sont assez sympathiques. Sonorité arabisantes envoutantes, ambiance réussi, le morceau passe bien. Au tour du titre éponyme de mettre le couvert. Ici on aura droit à des changements d’ambiances. On passera du doom au heavy rock, et ma foi ça s’écoute. Certaines lignes de chants sont réussies mais bon c’est pas pour autant exceptionnel.
« The Killing of the Sun » pourra rappeler à certains Muse dans le phrasé et les lignes vocales rappelleront sans aucun doute Black Sabbath. Très bon morceaux assez groove, c’est plaisant. Il en est de même pour « Siren Song » qui est dans la même veine avec ce chant heavy, ces mélodies percutantes, que seul le solo de claviers très old school, gâche un peu.
On termine avec « Black as Time » qui commence sur un discours assez pessimiste sur le temps, ce qui en fait une intro assez barrée mais tellement vrai. Un riff énervé prend la relève et donne enfin envie de se dévisser la tronche ! Certains passages plus lents sont moins appréciables, mais le morceau reste cohérent.
Bon là je dois dire que je suis dans le flou total. Certains passages et morceaux sont bons, d’autres aussi utiles qu’une couverture chauffante au Sahara en plein Août. Le point fort incontestable c’est les solos dantesques, énormes !
Pour le reste je ne peux pas dire que c’est mauvais. Un doom heavy appréciable qui plaira aux fans du genre.
Critique : SBM
Note : 6/10
Site du groupe : Site officiel
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