Chronique
DALTON - PIT STOP / Frontiers Records 2014
Deux albums sortis dans les années 80 et voilà que les suédois se séparent. Vingt ans plus tard, Frontiers Records dépoussière le groupe et leur offre la possibilité de faire leur troisième album. Le Deal accepté, voilà que PIT STOP débarque.
Après vingt années de silence, la question est de savoir ce que le groupe peu encore avoir dans le ventre car dieu sait que les re-formations de ce label ne sont parfois pas nécessaires, et procurent une déception assez conséquente.
Les premières notes lancées, un relant de connu retentit puis nos suédois nous plonge dans un rock mélodique de haute volée, menés par Bo Lindmark au chant, et aussi les claviers de Ola Lindstrom qui mènent le bal. Ce « Ready or Not » n’ira pas sans rappeler Bon Jovi ou encore les Motley Crue. « Hey you » joyeux et entraînant continue de nous plonger dans cet univers musical disparu, mais le fait de la plus belle des façons avec un titre puissant et accrocheur. C’est carré, taillé pour le grand public mais c’est bien bon. Le titre suivant, « Don’t tell me lies » démarre comme la pop song traditionnelle : clavier, tempo lent, ambiance joyeuse et loveuse histoire d’accrocher les nanas et de faire mouche à coup sur. Changement d’atmosphère avec cette fois-ci un titre power acoustique. Du plus bel effet, « Follow your dreams » monte en intensité rapidement et nous laisse rêveur. On prend un virage à 360 degrés et voilà « Up & Down » qui arrive clamant haut et fort qu’il est un titre qui fera mouche à la radio et au près du public : chœurs, ligne de chant accrocheuse et chantante, clavier retentissant et riff guitare simple et efficace. On va à l’essentiel et ça fonctionne. L’avancée se poursuit avec « Bad love », rock et rageuse, où Bo nous la régale.
Retour maintenant au rock mélodique très orienté années 80 avec la ligne de clavier omni présente et soir air guilleret avec « One voice » qui ne révolutionnera rien mais qui reste bien plaisant. « Here we are » s’annonce toujours claviers devants, et prolonge cette ambiance mélodique et pop tout en gardant une petite touche rock ici et là histoire de mettre un peu plus de piment. L’ambiance monte d’un ton sur « Something for the pain », un peu plus musclée que le reste, mais gardant cette dominante clavier propre à ce style musical, sans pour autant tourner en rond et être inutile. « 50/50 » porte bien son nom. C’est bien, mais rappelle trop ce que l’on vient d’entendre, et arrive à se démarquer avec un refrain porteur. Le final se fera avec la monstrueuse « TGIF », rock, envoûtante et racée où Bo se lâche complètement et nous offre une performance haute de gamme sur ce hard rock mélodique.
Conclusion : certes les influences comme Motley Crüe, Def Leppard, Bon Jovi ou encore Survivor se ressentent, mais le groupe arrive quand même après vingt ans d’absence à nous offrir un album de rock mélodique qui dépote, auquel on prend un plaisir à écouter.
Après vingt années de silence, la question est de savoir ce que le groupe peu encore avoir dans le ventre car dieu sait que les re-formations de ce label ne sont parfois pas nécessaires, et procurent une déception assez conséquente.
Les premières notes lancées, un relant de connu retentit puis nos suédois nous plonge dans un rock mélodique de haute volée, menés par Bo Lindmark au chant, et aussi les claviers de Ola Lindstrom qui mènent le bal. Ce « Ready or Not » n’ira pas sans rappeler Bon Jovi ou encore les Motley Crue. « Hey you » joyeux et entraînant continue de nous plonger dans cet univers musical disparu, mais le fait de la plus belle des façons avec un titre puissant et accrocheur. C’est carré, taillé pour le grand public mais c’est bien bon. Le titre suivant, « Don’t tell me lies » démarre comme la pop song traditionnelle : clavier, tempo lent, ambiance joyeuse et loveuse histoire d’accrocher les nanas et de faire mouche à coup sur. Changement d’atmosphère avec cette fois-ci un titre power acoustique. Du plus bel effet, « Follow your dreams » monte en intensité rapidement et nous laisse rêveur. On prend un virage à 360 degrés et voilà « Up & Down » qui arrive clamant haut et fort qu’il est un titre qui fera mouche à la radio et au près du public : chœurs, ligne de chant accrocheuse et chantante, clavier retentissant et riff guitare simple et efficace. On va à l’essentiel et ça fonctionne. L’avancée se poursuit avec « Bad love », rock et rageuse, où Bo nous la régale.
Retour maintenant au rock mélodique très orienté années 80 avec la ligne de clavier omni présente et soir air guilleret avec « One voice » qui ne révolutionnera rien mais qui reste bien plaisant. « Here we are » s’annonce toujours claviers devants, et prolonge cette ambiance mélodique et pop tout en gardant une petite touche rock ici et là histoire de mettre un peu plus de piment. L’ambiance monte d’un ton sur « Something for the pain », un peu plus musclée que le reste, mais gardant cette dominante clavier propre à ce style musical, sans pour autant tourner en rond et être inutile. « 50/50 » porte bien son nom. C’est bien, mais rappelle trop ce que l’on vient d’entendre, et arrive à se démarquer avec un refrain porteur. Le final se fera avec la monstrueuse « TGIF », rock, envoûtante et racée où Bo se lâche complètement et nous offre une performance haute de gamme sur ce hard rock mélodique.
Conclusion : certes les influences comme Motley Crüe, Def Leppard, Bon Jovi ou encore Survivor se ressentent, mais le groupe arrive quand même après vingt ans d’absence à nous offrir un album de rock mélodique qui dépote, auquel on prend un plaisir à écouter.
Critique : Lionel
Note : 7.5/10
Site du groupe : Page Facebook de Dalton
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