Chronique
PAT O\'MAY - BEHIND THE PICS / Keltia music 2014
Ce guitariste Français ayant roulé sa bosse dans le milieu depuis quelques années décide de se tourner vers une carrière solo lui donnant ainsi la possibilité de faire ce qui lui plaît. Aujourd'hui sort son 8ème opus qui va nous permettre de faire connaissance !
On ouvre les hostilités avec une intro symphonique du plus bel effet pour « On the moor ». Un titre assez calme d'entrée de jeu mais qui va évoluer au fur et à mesure. Une belle inspiration Pink Floyd. L'apport de l'orchestre est pas toujours égal mais quand il prend les devants ça en jette !! On rock bien plus fort sur un « No religion » bien balancé et sans concession. Par contre l'effet n'est pas immédiat : dommage !
Mid tempo à l'ambiance orientale avec « The quest » à qui il manque toujours ce petit quelque chose pour faire effet. Le son manquant cruellement de puissance n'aide pas non plus. « Michael's calling » se voit une sorte de ballade très folklorique qui nous met dans de bonnes sensations. Une instrumentale fort sympathique.
Place à la vraie ballade avec « My mate » qui s'énerve plus tard, mais malgré ses qualités ne parvient pas à m'accrocher. Le rock de « We can dance » déboîte et démontre que notre homme peut tout faire. Je pense que celle ci en live va faire effet.
Début presque à la Luca Turilli pour « Break out » qui par la suite se révèle être un mid tempo heavy qui passe bien. Un bien bon morceau que voilà. « Little a big horn » est une deuxième instrumentale très jolie avec guitare et orchestre. Une bien belle trouvaille.
On change de registre avec « The beast » qui se veut plus méchante. Un titre heavy qui passe bien et réussit son effet.
« Never turn back » débute calmement pour un moment mélodique bien exécuté. Pas transcendant mais agréable. On termine avec « Stand in the light » un rock sympa qui clôt de manière cool cet opus étrange.
Conclusion : Pat O'May nous livre un condensé de ses idées plus où moins bien réalisé. Un album particulier qui malgré l'envie de bien faire ne pas pas réellement accroché .
On ouvre les hostilités avec une intro symphonique du plus bel effet pour « On the moor ». Un titre assez calme d'entrée de jeu mais qui va évoluer au fur et à mesure. Une belle inspiration Pink Floyd. L'apport de l'orchestre est pas toujours égal mais quand il prend les devants ça en jette !! On rock bien plus fort sur un « No religion » bien balancé et sans concession. Par contre l'effet n'est pas immédiat : dommage !
Mid tempo à l'ambiance orientale avec « The quest » à qui il manque toujours ce petit quelque chose pour faire effet. Le son manquant cruellement de puissance n'aide pas non plus. « Michael's calling » se voit une sorte de ballade très folklorique qui nous met dans de bonnes sensations. Une instrumentale fort sympathique.
Place à la vraie ballade avec « My mate » qui s'énerve plus tard, mais malgré ses qualités ne parvient pas à m'accrocher. Le rock de « We can dance » déboîte et démontre que notre homme peut tout faire. Je pense que celle ci en live va faire effet.
Début presque à la Luca Turilli pour « Break out » qui par la suite se révèle être un mid tempo heavy qui passe bien. Un bien bon morceau que voilà. « Little a big horn » est une deuxième instrumentale très jolie avec guitare et orchestre. Une bien belle trouvaille.
On change de registre avec « The beast » qui se veut plus méchante. Un titre heavy qui passe bien et réussit son effet.
« Never turn back » débute calmement pour un moment mélodique bien exécuté. Pas transcendant mais agréable. On termine avec « Stand in the light » un rock sympa qui clôt de manière cool cet opus étrange.
Conclusion : Pat O'May nous livre un condensé de ses idées plus où moins bien réalisé. Un album particulier qui malgré l'envie de bien faire ne pas pas réellement accroché .
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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