Chronique
FINSTERFORST - MACH DICH FREI / Napalm Records 2015
Bon je viens de me prendre un cacheton de paracétamol, je suis enfin prêt pour chroniquer FINSTERFORST… Après un assez bon mais très (trop) long et (ou) complexe « Ratlos », le groupe revient avec « Mach Dich Frei ».
Quand je vois un morceau de 14 minutes je me dis que je vais souffrir, mais juste après j’en vois un de 23… finalement 14 c’est pas si terrible… Allez zou je me lance !
« Abfahrt » sert d’intro, très… hivernal et asiatique. Du vent et une flûte. Rien de méchant.
Le pavé numéro un arrive ! Putain d’entrée de jeu quoi !! Bon ce « Schicksals End’ » commence par un riff appuyé mais pas trop gras, assez rock finalement. Et après 3 minutes, le chant déboule sur un couplet accompagné de pompeuses orchestrations qui passe très bien. Le tout se veut assez lent, assez prog. Après un long break le symphonique revient le temps d’un couplet plus véloce cette fois. Et le schéma se répètera pendant tout le morceau. Seul le énième break à 12 minutes apporte un peu de fraicheur avec sa guitare sèche et son accordéon.
« Zeit Für Hass », long de « seulement » 9 minutes démarre en grande pompe avec de belles orchestrations puis quelques chœurs. Le chant black n’est pas mauvais, bien au contraire, mais trop peu mélodieux par moments. Le refrain en chant clair, tout en chœur offre une bouffée d’air frais même s’il est loin d’être parfait. Bon après c’est du déjà vu, et ça traine donc je passe. Comme toujours il y des idées, mais c’est pas tout le monde qui sait assembler ça sur de longues pistes. Court interlude « Im Auge Des Sturms » reprend un peu le type de sonorités asiatiques de l’intro. Très beau et envoutant, je sens que ça restera un des meilleurs moments de l’album.
« Mach Dich Frei ! » sera plus court et donc direct que ses cousins. Mais malgré tout : Intro plus deux couplets et un refrain sur cinq minutes… TROPLONG PUTAIN !!! Même si le break et pêchu avec ce qui se rapprocherai d’un solo, ça sauve pas un morceau.
« Man Gegen Mensch » sera comme les autres, long, quelques orchestrations sur les couplets, du chant clair sur le refrain, bref déjà entendu. Le solo est, cela dit, bon, mais c’est tout.
Pour « Finsterforst » et ses 23 minutes comment dire… euh… Intro acoustique typé Western : j’aime, surtout avec la gratte, l’orchestre et les chœurs qui déboulent après. Bon ça fait déjà 5 minutes tout ça !!! Ensuite 10 minutes de black prog, assez linéaire : j’aime pas.
Break accordéon acoustique type Paris des années 30 : j’aime. Explosion orchestrale en fin de morceau : j’aime. Le reste m’ennuie. Riff sans cesse répété je me lasse vite. Bon disons que j’ai apprécié 50% du morceau ! C’est pas trop mal !
Que dire… euh… Quelques rares bons moments, certes mais sinon pas mon truc. Les gars sont trop gourmands, ils veulent pondre des chansons d’un quart d’heure mais sans trop de matériel !! C’est comme un couple qui achèterai un une voiture familiale avec les 6 sièges et tut mais sans les gosses… Enfin bref pas ma came, trop peu de mélodies, trop de longueurs, je m’ennuie.
Quand je vois un morceau de 14 minutes je me dis que je vais souffrir, mais juste après j’en vois un de 23… finalement 14 c’est pas si terrible… Allez zou je me lance !
« Abfahrt » sert d’intro, très… hivernal et asiatique. Du vent et une flûte. Rien de méchant.
Le pavé numéro un arrive ! Putain d’entrée de jeu quoi !! Bon ce « Schicksals End’ » commence par un riff appuyé mais pas trop gras, assez rock finalement. Et après 3 minutes, le chant déboule sur un couplet accompagné de pompeuses orchestrations qui passe très bien. Le tout se veut assez lent, assez prog. Après un long break le symphonique revient le temps d’un couplet plus véloce cette fois. Et le schéma se répètera pendant tout le morceau. Seul le énième break à 12 minutes apporte un peu de fraicheur avec sa guitare sèche et son accordéon.
« Zeit Für Hass », long de « seulement » 9 minutes démarre en grande pompe avec de belles orchestrations puis quelques chœurs. Le chant black n’est pas mauvais, bien au contraire, mais trop peu mélodieux par moments. Le refrain en chant clair, tout en chœur offre une bouffée d’air frais même s’il est loin d’être parfait. Bon après c’est du déjà vu, et ça traine donc je passe. Comme toujours il y des idées, mais c’est pas tout le monde qui sait assembler ça sur de longues pistes. Court interlude « Im Auge Des Sturms » reprend un peu le type de sonorités asiatiques de l’intro. Très beau et envoutant, je sens que ça restera un des meilleurs moments de l’album.
« Mach Dich Frei ! » sera plus court et donc direct que ses cousins. Mais malgré tout : Intro plus deux couplets et un refrain sur cinq minutes… TROPLONG PUTAIN !!! Même si le break et pêchu avec ce qui se rapprocherai d’un solo, ça sauve pas un morceau.
« Man Gegen Mensch » sera comme les autres, long, quelques orchestrations sur les couplets, du chant clair sur le refrain, bref déjà entendu. Le solo est, cela dit, bon, mais c’est tout.
Pour « Finsterforst » et ses 23 minutes comment dire… euh… Intro acoustique typé Western : j’aime, surtout avec la gratte, l’orchestre et les chœurs qui déboulent après. Bon ça fait déjà 5 minutes tout ça !!! Ensuite 10 minutes de black prog, assez linéaire : j’aime pas.
Break accordéon acoustique type Paris des années 30 : j’aime. Explosion orchestrale en fin de morceau : j’aime. Le reste m’ennuie. Riff sans cesse répété je me lasse vite. Bon disons que j’ai apprécié 50% du morceau ! C’est pas trop mal !
Que dire… euh… Quelques rares bons moments, certes mais sinon pas mon truc. Les gars sont trop gourmands, ils veulent pondre des chansons d’un quart d’heure mais sans trop de matériel !! C’est comme un couple qui achèterai un une voiture familiale avec les 6 sièges et tut mais sans les gosses… Enfin bref pas ma came, trop peu de mélodies, trop de longueurs, je m’ennuie.
Critique : SBM
Note : 6/10
Site du groupe : Site Officiel
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