Chronique
I MACHINE - L'ORIGINE / Autoproduction 2015
I-MACHINE est la renaissance de « Indicible Machine » groupe français formé en 2008. Ils livrent ici leur premier opus sous ce nom, « L’origine ». le style se veux rock indus. Le tout en français ? Bah écoute pourquoi pas ! Cocorico power !!
« Carpe Diem » lance les hostilités, avec un son électro et un putain de riff. Le mixage rend hommage à la compo, c’est énorme. Le chant de Fred est vraiment excellent. Imaginé Satan Jokers ou Trust avec le son de Rammstein. Franchement là j’adore !!
Même type pour « Que le meilleur s’exprime ». Intro électro avec riff de ouf ! Putain qua ça file la patate !!! Après on arrive sur un style hard rock, heavy, et la transition se fait avec un naturel déconcertant. Respect !
Première chanson dans la langue de Shakespeare avec « Welcome ». Ça sonne très métal indus voir néo métal. Couplet agressif et refrain aérien, un vrai tour de force. « Criminel » Continu de marteler un son surpuissant, avec un chant toujours aussi prenant. Moi qui sui pas fan du chant français, là je suis plutôt ravi. « L’Origine » commence non pas électro mais plutôt mélodieux et sombre. Le reste du morceau suit cette voix. Moi impactant et plus mid-tempo, mais toujours très mélodieux et attachant.
Retour de l’intro David Guetta euh… électro, avec ? avec ? Un putain de riff !!! (Vous suivez pas…). Bon Fred assure sur le refrain. Grosse vocalise, bonnes lignes, textes inspirés. Bonne recette et ça prouve qui putain de merde nos groupes méritent une place dans le paysage de merde de la musique en France.
Un peu plus de légèreté avec « La Crise ». (Oui LA crise), et là on pense forcément à un autre gros de la scène française : Tagada Jones. Et le résultat est très très bon. Textes inspirés sans être trop misérabiliste ou haineux.
« This Something » ou le retour du ‘Yeah Com’on boy !! » (Private joke). Ça veut juste dire qua ça chante encore en anglais. C’est toujours aussi accrocheur. Très mélodique, le chanteur a une vrai présence, c’est du vrai rock burné qui fait plaisir !
Axé un poil plus électro… et bizarrement ça me dérange vraiment pas vu les grattes assure un max derrière, « Lire en Toi » est confectionné selon la même recette que le reste de l’album. Putain si tous les groupes de rock français sortaient des titres comme ça on vivrait dans un pays plus beau… Si seulement…
« Ni Dieu Ni Maitre », après une intro ambiance passe à la vitesse supérieure, tempo plus soutenu et le retour de ce chant assez militant, très Bernie Bonvoisin sur le couplet. Le refrain est encre une fois plus léger, hyper mélodique, addictif à mort ! Idem pour « Big Brother » qui envoi du lourd militant contre l’omniprésence des surveillances de l’individu. Bon sujet pour un groupe de rock, et ça I-MACHINE l’a bien pigé !
On termine avec « La Mission » comme on a commencé. Electro + basse-batterie + Riff Rammsteinien. Toujours aussi « claque dans ta face » !!! On termine bien !
Alors là je suis sidéré. Un gros mix entre Tagada Jones, Trust et Rammstein, rendu magnifique par une production dantesque. Ce qui en soi soulève des questions quand on voit le mixage bancal et douteux de certains grands groupes… Mais bordel pourquoi avec des groupes comme ça le paysage français est toujours coincé avec La Fouine et Julien Doré !!!?? Moi jveux juste dire merci à I-MACHINE pour m’avoir fait passé un putain de bon moment !!! French powa les gars !!!! Et vu que ça vient de la PACA je dis « A bientôt pour un pastaga !!!?? ».
« Carpe Diem » lance les hostilités, avec un son électro et un putain de riff. Le mixage rend hommage à la compo, c’est énorme. Le chant de Fred est vraiment excellent. Imaginé Satan Jokers ou Trust avec le son de Rammstein. Franchement là j’adore !!
Même type pour « Que le meilleur s’exprime ». Intro électro avec riff de ouf ! Putain qua ça file la patate !!! Après on arrive sur un style hard rock, heavy, et la transition se fait avec un naturel déconcertant. Respect !
Première chanson dans la langue de Shakespeare avec « Welcome ». Ça sonne très métal indus voir néo métal. Couplet agressif et refrain aérien, un vrai tour de force. « Criminel » Continu de marteler un son surpuissant, avec un chant toujours aussi prenant. Moi qui sui pas fan du chant français, là je suis plutôt ravi. « L’Origine » commence non pas électro mais plutôt mélodieux et sombre. Le reste du morceau suit cette voix. Moi impactant et plus mid-tempo, mais toujours très mélodieux et attachant.
Retour de l’intro David Guetta euh… électro, avec ? avec ? Un putain de riff !!! (Vous suivez pas…). Bon Fred assure sur le refrain. Grosse vocalise, bonnes lignes, textes inspirés. Bonne recette et ça prouve qui putain de merde nos groupes méritent une place dans le paysage de merde de la musique en France.
Un peu plus de légèreté avec « La Crise ». (Oui LA crise), et là on pense forcément à un autre gros de la scène française : Tagada Jones. Et le résultat est très très bon. Textes inspirés sans être trop misérabiliste ou haineux.
« This Something » ou le retour du ‘Yeah Com’on boy !! » (Private joke). Ça veut juste dire qua ça chante encore en anglais. C’est toujours aussi accrocheur. Très mélodique, le chanteur a une vrai présence, c’est du vrai rock burné qui fait plaisir !
Axé un poil plus électro… et bizarrement ça me dérange vraiment pas vu les grattes assure un max derrière, « Lire en Toi » est confectionné selon la même recette que le reste de l’album. Putain si tous les groupes de rock français sortaient des titres comme ça on vivrait dans un pays plus beau… Si seulement…
« Ni Dieu Ni Maitre », après une intro ambiance passe à la vitesse supérieure, tempo plus soutenu et le retour de ce chant assez militant, très Bernie Bonvoisin sur le couplet. Le refrain est encre une fois plus léger, hyper mélodique, addictif à mort ! Idem pour « Big Brother » qui envoi du lourd militant contre l’omniprésence des surveillances de l’individu. Bon sujet pour un groupe de rock, et ça I-MACHINE l’a bien pigé !
On termine avec « La Mission » comme on a commencé. Electro + basse-batterie + Riff Rammsteinien. Toujours aussi « claque dans ta face » !!! On termine bien !
Alors là je suis sidéré. Un gros mix entre Tagada Jones, Trust et Rammstein, rendu magnifique par une production dantesque. Ce qui en soi soulève des questions quand on voit le mixage bancal et douteux de certains grands groupes… Mais bordel pourquoi avec des groupes comme ça le paysage français est toujours coincé avec La Fouine et Julien Doré !!!?? Moi jveux juste dire merci à I-MACHINE pour m’avoir fait passé un putain de bon moment !!! French powa les gars !!!! Et vu que ça vient de la PACA je dis « A bientôt pour un pastaga !!!?? ».
Critique : SBM
Note : 8/10
Site du groupe : Facebook Officiel
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