Chronique
THE DISTANCE - RADIO BAD RECEIVER / Wagram 2016
Penchons nous sur le cas précis de nos Français qui se sont formés en 2008 et nous propose aujourd'hui leur deuxième album. Une nouvelle découverte pour le webzine et j'espère bien pour vous aussi.
Tout commence avec un « Thank you for nothing » qui propose un rock teinté de hard US qui me rappelle Velvet Revolver. Un titre fort sympa qui passe très bien avant que ne débarque « Mesmerise » qui accélère le rythme. Voilà une bien bonne surprise que ce groupe.
« How long before the bleeding stops » débute un peu à la manière d'un AC/DC puis retrouve ses influences rock US bien prononcées (un peu comme Loaded de Duff MacKagan), toujours agréable dans son enveloppe plus douce. Place à la title track qui est presque du punk ! « Radio bad receiver » envoie des pieds avec ses faux airs de Nirvana. Avis de tempête en live !!
Une guitare Slashienne débarque avec la mélodique « Nasty light », qui passe bien et poursuit cet opus de la bonne façon. Puis « The unconscious smile » arrive avec un mid tempo plutôt mélodique là aussi qui apporte son lot de bonnes choses.
« Trouble end » se veut plus sombre et dure, elle se rapproche plus du rock anglais que de celui d'outre Atlantique. Sympa. Le rythme revient avec un « More than serious » qui fait son effet. Le refrain simple va sûrement être bien repris en live !
Place à « Perfect things » qui continue notre album sagement avec un bon titre sans plus. « Insomnia » ne va pas vous endormir (je sais elle était facile) avec son rock sauvage qui là encore va être efficace en concert.
Début calme pour « Alone » qui se développe un peu plus, mais j'avoue manque d'accroche. Dommage. On termine avec « Don't try this at home » qui par contre est plus rock malgré son aspect stoner. Une fin surprenante.
Conclusion : Voilà une découverte sympathique. Du bon rock fort (je l'adore celle là!!) qui conviendra bien pour des concerts chauds bouillants. A découvrir.
Tout commence avec un « Thank you for nothing » qui propose un rock teinté de hard US qui me rappelle Velvet Revolver. Un titre fort sympa qui passe très bien avant que ne débarque « Mesmerise » qui accélère le rythme. Voilà une bien bonne surprise que ce groupe.
« How long before the bleeding stops » débute un peu à la manière d'un AC/DC puis retrouve ses influences rock US bien prononcées (un peu comme Loaded de Duff MacKagan), toujours agréable dans son enveloppe plus douce. Place à la title track qui est presque du punk ! « Radio bad receiver » envoie des pieds avec ses faux airs de Nirvana. Avis de tempête en live !!
Une guitare Slashienne débarque avec la mélodique « Nasty light », qui passe bien et poursuit cet opus de la bonne façon. Puis « The unconscious smile » arrive avec un mid tempo plutôt mélodique là aussi qui apporte son lot de bonnes choses.
« Trouble end » se veut plus sombre et dure, elle se rapproche plus du rock anglais que de celui d'outre Atlantique. Sympa. Le rythme revient avec un « More than serious » qui fait son effet. Le refrain simple va sûrement être bien repris en live !
Place à « Perfect things » qui continue notre album sagement avec un bon titre sans plus. « Insomnia » ne va pas vous endormir (je sais elle était facile) avec son rock sauvage qui là encore va être efficace en concert.
Début calme pour « Alone » qui se développe un peu plus, mais j'avoue manque d'accroche. Dommage. On termine avec « Don't try this at home » qui par contre est plus rock malgré son aspect stoner. Une fin surprenante.
Conclusion : Voilà une découverte sympathique. Du bon rock fort (je l'adore celle là!!) qui conviendra bien pour des concerts chauds bouillants. A découvrir.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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