Chronique
ZAKK WYLDE - BOOK OF SHADOWS II / Spinefarm records 2016
20 ans après son premier album solo notre bûcheron préféré de la 6 cordes remet le couvert. Un anniversaire bienvenu entre deux opus bien métal de BLS. Prêts pour un nouveau voyage acoustique?
Aller c'est parti avec « Autumn changes » qui nous re-berce dans le monde cool de Zakk. Un premier titre agréable avec son rythme folk qui fonctionne à merveille. « Tears of december » se veut plus intime et la voix si particulière chargée d'émotion fait le reste. Beaucoup de subtilité ici.
On quitte quelques instants le monde 100% acoustique grâce à « Lay me down » une sublime ballade comme notre colosse sait les écrire. Juste magnifique. Un peu de rythme et de saveur 70' avec « Lost prayer » qui fait du bien et évite la dépression. A noter les interventions de génies durant les solos bien souvent électriques et magiques.
Nouveau moment poignant avec « Darkest hour » qui sent la sincérité. Un Zakk des plus touchant loin du personnage invulnérable de BLS. Toujours dans la douceur « The levee » poursuit cet album étonnant.
Un orgue Hammond intronise « Eyes of burden » qui là encore fleure bon les 70' et permet de plonger dans cette période si riche en musicalité. Que du bonheur. « Forgotten memory » reste dans cette période mais avec une ballade toute nostalgique.
« Yesterday's tears » est plus anecdotique et n'apporte pas plus au reste de l'opus. Par contre « Harbors of pity » même si elle est dans ce qu'on a déjà entendu passe mieux.
Malgré les qualités indéniables des compositions on ne peut s’empêcher de trouver que ça tourne un peu en rond et « Sorrowed regrets » en est le parfait exemple, tout comme « Useless apologies ».
Les choses s'améliorent avec « Sleeping dogs » le premier single qui a beaucoup de classe mais aussi de mélancolie. On termine avec la magistrale « The king » une ballade des plus poignante où le piano est roi !! La plus belle chanson que Zakk ait composée !! Je n'ai pas les mots pour en dire plus.
Conclusion : Pour son deuxième opus solo Zakk a repris tout ce qui a fait le succès de son premier méfait. L'expérience en plus y fait gagner en intérêt même si celui-ci reste un cas bien particulier dans la carrière de notre géant blond.
Aller c'est parti avec « Autumn changes » qui nous re-berce dans le monde cool de Zakk. Un premier titre agréable avec son rythme folk qui fonctionne à merveille. « Tears of december » se veut plus intime et la voix si particulière chargée d'émotion fait le reste. Beaucoup de subtilité ici.
On quitte quelques instants le monde 100% acoustique grâce à « Lay me down » une sublime ballade comme notre colosse sait les écrire. Juste magnifique. Un peu de rythme et de saveur 70' avec « Lost prayer » qui fait du bien et évite la dépression. A noter les interventions de génies durant les solos bien souvent électriques et magiques.
Nouveau moment poignant avec « Darkest hour » qui sent la sincérité. Un Zakk des plus touchant loin du personnage invulnérable de BLS. Toujours dans la douceur « The levee » poursuit cet album étonnant.
Un orgue Hammond intronise « Eyes of burden » qui là encore fleure bon les 70' et permet de plonger dans cette période si riche en musicalité. Que du bonheur. « Forgotten memory » reste dans cette période mais avec une ballade toute nostalgique.
« Yesterday's tears » est plus anecdotique et n'apporte pas plus au reste de l'opus. Par contre « Harbors of pity » même si elle est dans ce qu'on a déjà entendu passe mieux.
Malgré les qualités indéniables des compositions on ne peut s’empêcher de trouver que ça tourne un peu en rond et « Sorrowed regrets » en est le parfait exemple, tout comme « Useless apologies ».
Les choses s'améliorent avec « Sleeping dogs » le premier single qui a beaucoup de classe mais aussi de mélancolie. On termine avec la magistrale « The king » une ballade des plus poignante où le piano est roi !! La plus belle chanson que Zakk ait composée !! Je n'ai pas les mots pour en dire plus.
Conclusion : Pour son deuxième opus solo Zakk a repris tout ce qui a fait le succès de son premier méfait. L'expérience en plus y fait gagner en intérêt même si celui-ci reste un cas bien particulier dans la carrière de notre géant blond.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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