Chronique
THE TEA PARTY – SEVEN CIRCLES / SPV INSIDE OUT 2005
Cette formation canadienne revient après 4 années passées sous silence, nous présenter son 9eme nouvel effort : Seven circles. A noter que l’album est produit par un certain Bob Rock (Metallica, Motley Crue, Bon Jovi)
« Wing’s on the wall » débute parfaitement ce nouvel album. Du rock bien gras un peu à la Audioslave. Un titre plutôt sautillant avec quelques passages mélodiques et une voix différente très hard US actuel. Intro sous forme classique pour « Stargazer » (aucun rapport avec celui de Rainbow) un titre plus aérien très pop actuelle, sympa. Il est étonnant de remarquer le nombre d’influences qui paraissent dans ces titres sans forcément en définir un seul parfaitement.
On poursuit avec « One step closer away » une intro batterie basse puis la voix arrive. Un style qui me rappelle un poil le ‘one second’ de Paradise Lost (surtout au niveau de la voix) pour le reste c’est du rock pas mauvais mais qui manque de décollage. « Oceans » commence calmement, une sorte de ballade limite rock crooner, qui passe bien, la voix passe parfaitement dans ce genre d’exercice : un bien bon titre.
Nouvel intro calme à l’orientation orientale / indus pour « Luxuria » : un titre qui sonne du tonnerre entraînant et envoûtant, un bon gros titre. Ce groupe vous surprend de titre en titre.
« Overload » ne vous fera pas déchanter, un titre bien lourd et puissant qui continue notre voyage à travers tout ce que la musique peu apporter ; un véritable bien fait de la nature.
Autre intro inspirée ‘world music’ mais cette voici c’est du coté de l’Amérique du sud qu’il faut se pencher «Coming back again » varie entre passage acoustique, et moment envolé électrique et rentre dedans. Encore une fois c’est que du bon !
Deuxième ballade avec « The watcher » un titre plus popisant mais toujours très mélodieux et agréable en parfaite union avec l’ambiance rechercher. Les quelques orchestrations discrètes rend que plus mélodique ce très joli morceau qui ravira tout amateur de jolie mélodie.
« Empty glass » fait dans le lourd acoustique en mélangeant de grosses guitares saturées à des guitares acoustiques. Un titre sympa un poils en dessous du reste.
« Wishing you would say » entame un titre mélancolique et prenant tout en restant harmonieux (une marque de fabrique). Etrange mais très réussit ce titre vous glacerai presque le sang. Et toujours cette voix qui on ne sait comment parvient à être parfaite à chaque intervention sans pourtant paraître exceptionnelle et pourtant elle l’est.
Pour terminer ce sublime voyage le titre track reprend ce coté indou sans oublier ses parties rock. Encore un bel exercice qui rappellerait les essais de Led Zeppelin il y a de cela presque 35 ans.
Conclusion : The Tea Party vient de me surprendre grandement avec cet album. Un condensé d’idées diverses mais toujours bien pensées. Emmené par des musiciens sorciers, à la prod en béton armé.
Un album à conseiller à toutes personnes qui veulent du neuf. 11 compos solides signées d’une certaine originalité et accompagnées d’une recherche artistique. Un groupe à découvrir qui donne un bon bol d’air à notre hard préféré.
« Wing’s on the wall » débute parfaitement ce nouvel album. Du rock bien gras un peu à la Audioslave. Un titre plutôt sautillant avec quelques passages mélodiques et une voix différente très hard US actuel. Intro sous forme classique pour « Stargazer » (aucun rapport avec celui de Rainbow) un titre plus aérien très pop actuelle, sympa. Il est étonnant de remarquer le nombre d’influences qui paraissent dans ces titres sans forcément en définir un seul parfaitement.
On poursuit avec « One step closer away » une intro batterie basse puis la voix arrive. Un style qui me rappelle un poil le ‘one second’ de Paradise Lost (surtout au niveau de la voix) pour le reste c’est du rock pas mauvais mais qui manque de décollage. « Oceans » commence calmement, une sorte de ballade limite rock crooner, qui passe bien, la voix passe parfaitement dans ce genre d’exercice : un bien bon titre.
Nouvel intro calme à l’orientation orientale / indus pour « Luxuria » : un titre qui sonne du tonnerre entraînant et envoûtant, un bon gros titre. Ce groupe vous surprend de titre en titre.
« Overload » ne vous fera pas déchanter, un titre bien lourd et puissant qui continue notre voyage à travers tout ce que la musique peu apporter ; un véritable bien fait de la nature.
Autre intro inspirée ‘world music’ mais cette voici c’est du coté de l’Amérique du sud qu’il faut se pencher «Coming back again » varie entre passage acoustique, et moment envolé électrique et rentre dedans. Encore une fois c’est que du bon !
Deuxième ballade avec « The watcher » un titre plus popisant mais toujours très mélodieux et agréable en parfaite union avec l’ambiance rechercher. Les quelques orchestrations discrètes rend que plus mélodique ce très joli morceau qui ravira tout amateur de jolie mélodie.
« Empty glass » fait dans le lourd acoustique en mélangeant de grosses guitares saturées à des guitares acoustiques. Un titre sympa un poils en dessous du reste.
« Wishing you would say » entame un titre mélancolique et prenant tout en restant harmonieux (une marque de fabrique). Etrange mais très réussit ce titre vous glacerai presque le sang. Et toujours cette voix qui on ne sait comment parvient à être parfaite à chaque intervention sans pourtant paraître exceptionnelle et pourtant elle l’est.
Pour terminer ce sublime voyage le titre track reprend ce coté indou sans oublier ses parties rock. Encore un bel exercice qui rappellerait les essais de Led Zeppelin il y a de cela presque 35 ans.
Conclusion : The Tea Party vient de me surprendre grandement avec cet album. Un condensé d’idées diverses mais toujours bien pensées. Emmené par des musiciens sorciers, à la prod en béton armé.
Un album à conseiller à toutes personnes qui veulent du neuf. 11 compos solides signées d’une certaine originalité et accompagnées d’une recherche artistique. Un groupe à découvrir qui donne un bon bol d’air à notre hard préféré.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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