Chronique
BRUCE TURGON – OUTSIDE LOOKING IN / FRONTIERS RECORDS 2005
Nouvel album solo pour le chanteur de Foreigner, réalisé avec quelques amis Ronnie Montrose, Ricky Phillips (Styx) etc, Bruce nous propose un rock mélodique qui sur le papier à de sérieux arguments.
D’emblée on est bien accueilli par « Living a lie » un bon titre hard à la Pink Cream 69, mais la voix de Bruce n’a rien en commun avec celle de David Readman ni même celle d’Andi Deris. Bon, mais pas exceptionnel. S’en suit « Any other time » qui se rapprocherait plus d’un Europe, mais la encore, rien de transcendant. La sauce à du mal à prendre et la voix de Bruce n’aide pas beaucoup manquant cruellement d’âmes.
La titre track débute calment un bon début et une suite en demi tente. Il n’y a rien qui fait décoller l’album. Dommage car musicalement il y a de bonnes idées mais pas de musiciens capables de faire vivre tout ça, et « Walk thru fire » reflète encore mon sentiment. Un bon titre de hard qui nous propose un bon refrain mais toujours rien de prenant. Titre calme avec « Faith » peut être le titre le moins malmené de l’album, car c’est celui sur lequel la voix se fond le mieux avec la musique.
« Pleasure dome » commence sur un bon riff bien hard et donne un rythme bien cool. Pour une fois on tient quelque chose de bien intéressant : enfin !! Est ce que cela va durer ?
« These tears must fall » étant calme elle s’en tire plutôt bien mais bon ça manque toujours d’un coup de pied au cul. Intro aux sonorités modernes pour « Weapon of love » une sorte d’indus rock / rock FM qui ne prend pas du tout à vite oublier.
Bon à quand un réel bon titre car ça fait long à force. « On a wing and a prayer » m’a l’air pas mal, oui c’est bien sympa avec toujours ce mal récurant qui poursuit toutes les bonnes idées de ce satané album. « Heart of strong » se fait ballade mais bon, comment prendre par d’un tel morceau vu qu’a chaque essais, le tout est grandement foiré : dommage car je le rappelle, jouer dans d’autres conditions cet album serait sûrement meilleur (hein Dennis Ward tu voudrais pas reprendre ces titres avec ton Place Vendôme ?)
« The last time » bouge plus, un titre qui rock pas mal. Tiens, là ça sonne bien. L’ensemble suit, est cohérent et on a une impression que tout tourne correctement : hein ben il faudra attendre le 11ème titre pour avoir enfin quelque chose de supérieur : ouf !!
Mais bon voici déjà la dernière « When do we go from here » sympa et calme ce qui fini plutôt bien cet album qui aura cruellement manqué de magie avec une voix que je trouve pas adaptée à la physionomie des chansons présentées.
Conclusion : Comme le dit un confrère, un bon line up ne fait pas forcement un bon album la preuve encore avec celui là. Une bonne musique malheureusement pas mit en évidence par les membres présents. Dommage, du beau gâchis !
D’emblée on est bien accueilli par « Living a lie » un bon titre hard à la Pink Cream 69, mais la voix de Bruce n’a rien en commun avec celle de David Readman ni même celle d’Andi Deris. Bon, mais pas exceptionnel. S’en suit « Any other time » qui se rapprocherait plus d’un Europe, mais la encore, rien de transcendant. La sauce à du mal à prendre et la voix de Bruce n’aide pas beaucoup manquant cruellement d’âmes.
La titre track débute calment un bon début et une suite en demi tente. Il n’y a rien qui fait décoller l’album. Dommage car musicalement il y a de bonnes idées mais pas de musiciens capables de faire vivre tout ça, et « Walk thru fire » reflète encore mon sentiment. Un bon titre de hard qui nous propose un bon refrain mais toujours rien de prenant. Titre calme avec « Faith » peut être le titre le moins malmené de l’album, car c’est celui sur lequel la voix se fond le mieux avec la musique.
« Pleasure dome » commence sur un bon riff bien hard et donne un rythme bien cool. Pour une fois on tient quelque chose de bien intéressant : enfin !! Est ce que cela va durer ?
« These tears must fall » étant calme elle s’en tire plutôt bien mais bon ça manque toujours d’un coup de pied au cul. Intro aux sonorités modernes pour « Weapon of love » une sorte d’indus rock / rock FM qui ne prend pas du tout à vite oublier.
Bon à quand un réel bon titre car ça fait long à force. « On a wing and a prayer » m’a l’air pas mal, oui c’est bien sympa avec toujours ce mal récurant qui poursuit toutes les bonnes idées de ce satané album. « Heart of strong » se fait ballade mais bon, comment prendre par d’un tel morceau vu qu’a chaque essais, le tout est grandement foiré : dommage car je le rappelle, jouer dans d’autres conditions cet album serait sûrement meilleur (hein Dennis Ward tu voudrais pas reprendre ces titres avec ton Place Vendôme ?)
« The last time » bouge plus, un titre qui rock pas mal. Tiens, là ça sonne bien. L’ensemble suit, est cohérent et on a une impression que tout tourne correctement : hein ben il faudra attendre le 11ème titre pour avoir enfin quelque chose de supérieur : ouf !!
Mais bon voici déjà la dernière « When do we go from here » sympa et calme ce qui fini plutôt bien cet album qui aura cruellement manqué de magie avec une voix que je trouve pas adaptée à la physionomie des chansons présentées.
Conclusion : Comme le dit un confrère, un bon line up ne fait pas forcement un bon album la preuve encore avec celui là. Une bonne musique malheureusement pas mit en évidence par les membres présents. Dommage, du beau gâchis !
Critique : Guillaume
Note : 6/10
Site du groupe : site officiel de Bruce Turgon
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