Chronique
MAJESTICA - ABOVE THE SKY / Nuclear Blast 2019
Autant le dire, les apparences sont trompeuses. Non, Majestica n’est pas un réel nouveau groupe. Son nom l’est, mais parle groupe qui jusqu’en 2013 se nommait Reinxeed et a quand même sortit six albums studios, celui ci étant donc le septième.
Mais on prend les même et on recommence, toujours avec Tommy ‘ReinXeed’ Johansson (Sabaton) au chant et à la guitare.
Alors oui, à la première écoute, on se demande ce que c’est que ce ‘bordel’ avec cette voix haut perchée. Ca surprend, car ce type de pratique vocal est devenue moins conventionnelle comparé aux années 2000 où c ‘était la grande mode. Une première écoute donc assez incisive, tout comme la deuxième. Délaissant un peu cet album pour le coup, c’est à la suite de sa prestation au Hellfest le vendredi soir avec Sabaton en remplacement du groupe du bassiste de mayonnaise (comprendra qui voudra le jeu de mots pourri mais qui m’a fait rire, ndlr) que je me suis dit qu’il fallait quand même reposé une oreille sur cet opus auquel il aura fallu cinq bonnes années pour être produit et distribué.
L’expérience reprenant, et en se penchant un peu plus sur le côté musical que vocal sur le premier titre éponyme « Above The Sky », on se rend compte que le travail est vraiment intéressant. Et dès « Rising Tide » la donne change et on se plonge avec aisance dans cet univers de speed metal mélodique très typé Europe du nord de par son ambiance générale. L’album défilant, et sans prétention aucune, on bloque à chaque écoute / voire même on n’attend avec impatience la fin de « Future Land » pour attaquer la monstrueuse « The Legend ». Son intro au clavier est tout simplement addictive, et ce juste avant de nous plonger dans un mid tempo chevaleresque qui fait son effet, avec une seule idée en tête: Voire, vivre ce titre sur scène en concert pour chanter, sauter, fêter ce moment avec les personnes présentes; car oui au delà de son ambiance on a cette impression d’avoir une chanson fédératrice. Et en parlant de folie, un peu de cabaret endiablé sur « Father Time (Where Are You Now) » donnera un peu plus de pression et de folie à cet album.
La cerise sur la gateau ? Conclure l’album avec une reprise: le titre Spaceballs, reprise des The Spinners et issu du film mythique du même nom réalisé par Mel Brooks. Merci pour ça
Au final, même si le groupe a gardé une base musicale de Reinxeed, on remarque aisément le changement et l’évolution. Certes c’est du speed metal mélodique que l’on pourrait qualifié de basique, mais c’est bien fait, il y a des élans de fraicheur et on l’écoute régulièrement avec plaisir.
Mais on prend les même et on recommence, toujours avec Tommy ‘ReinXeed’ Johansson (Sabaton) au chant et à la guitare.
Alors oui, à la première écoute, on se demande ce que c’est que ce ‘bordel’ avec cette voix haut perchée. Ca surprend, car ce type de pratique vocal est devenue moins conventionnelle comparé aux années 2000 où c ‘était la grande mode. Une première écoute donc assez incisive, tout comme la deuxième. Délaissant un peu cet album pour le coup, c’est à la suite de sa prestation au Hellfest le vendredi soir avec Sabaton en remplacement du groupe du bassiste de mayonnaise (comprendra qui voudra le jeu de mots pourri mais qui m’a fait rire, ndlr) que je me suis dit qu’il fallait quand même reposé une oreille sur cet opus auquel il aura fallu cinq bonnes années pour être produit et distribué.
L’expérience reprenant, et en se penchant un peu plus sur le côté musical que vocal sur le premier titre éponyme « Above The Sky », on se rend compte que le travail est vraiment intéressant. Et dès « Rising Tide » la donne change et on se plonge avec aisance dans cet univers de speed metal mélodique très typé Europe du nord de par son ambiance générale. L’album défilant, et sans prétention aucune, on bloque à chaque écoute / voire même on n’attend avec impatience la fin de « Future Land » pour attaquer la monstrueuse « The Legend ». Son intro au clavier est tout simplement addictive, et ce juste avant de nous plonger dans un mid tempo chevaleresque qui fait son effet, avec une seule idée en tête: Voire, vivre ce titre sur scène en concert pour chanter, sauter, fêter ce moment avec les personnes présentes; car oui au delà de son ambiance on a cette impression d’avoir une chanson fédératrice. Et en parlant de folie, un peu de cabaret endiablé sur « Father Time (Where Are You Now) » donnera un peu plus de pression et de folie à cet album.
La cerise sur la gateau ? Conclure l’album avec une reprise: le titre Spaceballs, reprise des The Spinners et issu du film mythique du même nom réalisé par Mel Brooks. Merci pour ça
Au final, même si le groupe a gardé une base musicale de Reinxeed, on remarque aisément le changement et l’évolution. Certes c’est du speed metal mélodique que l’on pourrait qualifié de basique, mais c’est bien fait, il y a des élans de fraicheur et on l’écoute régulièrement avec plaisir.
Critique : Lionel
Note : 7.5/10
Site du groupe : Page Facebook du groupe
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