Chronique
METALITE - A VIRTUAL WORLD / AFM Records 2021
Souvenez vous: en 2017 le groupe Metalite sortait son premier album « Heroes In time » et marquait les esprits des fans du groupe Amaranthe avec leur approche musicale similaire. Pour leur nouvel album « A Virtual World », les suédois sortent du bac à sable et confirment qu’ils jouent bien dans la cour des grands.
Pour présenter ce nouvel album, le combo dévoile deux single, à savoir « Peacekeepers » et le titre éponyme, mais aussi premier du tracklisting : « A Virtual World ». Qu’on se le dise immédiatement: si vous n’aimez pas Amaranthe et/ou l’électro metal passez directement votre chemin car cet album n’est pas fait pour vous. A contrario vous allez adorer.
Alors oui, comme je l’avais évoqué dans la chronique du premier album, l’influence est fortement présente, à la seule différence qu’ici il n’y a qu’une chanteuse / meneuse en la personne d’Erica Ohlsson qui remplace l’ancienne chanteuse et fondatrice du groupe Emma Bensing. Bon honnêtement, on ne sent pas du tout la différence vocalement parlant.
Ca en est de même musicalement parlant. Le groupe poursuit son aventure dans cet electro power metal assez constant au niveau de la production, donnant ainsi un ensemble homogène qui s’enchaîne aisément, ne donnant pas de temps mort ni de lassitude. On sent que toutes les chansons sans exception ont été travaillées de manières à pouvoir toutes être interprétées sur scène (quand ils pourront le faire, crise sanitaire oblige…).
Bien entendu en dehors des deux single, il y a d’autres titres qui se démarquent (et que je trouve plus intéressant du fait qu’il se dénotent un peu de la mouvance générale) avec par exemple l’ultra dance metal « Beyond The Horizon », le hit « The Vampire Song » un peu plus posé mais plus accrocheur, ou encore l’électrisante « Artificial Intelligence ».
Par contre si on cherche niveau nouveauté, changement, on passera. Le groupe fait de la musique à la Amaranthe (Un choix délibéré ? Un choix imposé par le label ? Les Deux?) sachant qu’il y a une grosse fanbase et que ça vend.
Ce troisième album est au final bien mené, prenant et se laisse écouter avec plaisir. Mais attention quand même sur le long terme, voir si cette trop grande constance musicale ne va pas lasser le public / les fans.
Pour présenter ce nouvel album, le combo dévoile deux single, à savoir « Peacekeepers » et le titre éponyme, mais aussi premier du tracklisting : « A Virtual World ». Qu’on se le dise immédiatement: si vous n’aimez pas Amaranthe et/ou l’électro metal passez directement votre chemin car cet album n’est pas fait pour vous. A contrario vous allez adorer.
Alors oui, comme je l’avais évoqué dans la chronique du premier album, l’influence est fortement présente, à la seule différence qu’ici il n’y a qu’une chanteuse / meneuse en la personne d’Erica Ohlsson qui remplace l’ancienne chanteuse et fondatrice du groupe Emma Bensing. Bon honnêtement, on ne sent pas du tout la différence vocalement parlant.
Ca en est de même musicalement parlant. Le groupe poursuit son aventure dans cet electro power metal assez constant au niveau de la production, donnant ainsi un ensemble homogène qui s’enchaîne aisément, ne donnant pas de temps mort ni de lassitude. On sent que toutes les chansons sans exception ont été travaillées de manières à pouvoir toutes être interprétées sur scène (quand ils pourront le faire, crise sanitaire oblige…).
Bien entendu en dehors des deux single, il y a d’autres titres qui se démarquent (et que je trouve plus intéressant du fait qu’il se dénotent un peu de la mouvance générale) avec par exemple l’ultra dance metal « Beyond The Horizon », le hit « The Vampire Song » un peu plus posé mais plus accrocheur, ou encore l’électrisante « Artificial Intelligence ».
Par contre si on cherche niveau nouveauté, changement, on passera. Le groupe fait de la musique à la Amaranthe (Un choix délibéré ? Un choix imposé par le label ? Les Deux?) sachant qu’il y a une grosse fanbase et que ça vend.
Ce troisième album est au final bien mené, prenant et se laisse écouter avec plaisir. Mais attention quand même sur le long terme, voir si cette trop grande constance musicale ne va pas lasser le public / les fans.
Critique : Lionel
Note : 7.5/10
Site du groupe : Page Facebook du groupe
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