Chronique
DRAGONY - VERIBUS UNITIS / Napalm Records 2021
Dieu sait que je ne suis pas fan de power-metal et pourtant ce nouvel album de Dragony m’enchante au plus haut point. Il faut dire qu’avec ce quatrième album les Autrichiens ont fait fort : un concept-album autour de Franz Joseph et de Sissi mais sous un angle décalé vampires-zombies-châteaux volants, il fallait oser. Dragony l’a fait.
Et c’est là que les Autrichiens impressionnent autant : ils se permettent tout : se confronter au « Danube Bleu » de Johann Strauss il fallait vraiment oser et le groupe nous en balance une cover d’entrée de jeu. Mais Dragony va bien plus loin que cela dans la prise de risque en s’aventurant vers des territoires ultra pop où le synthé a davantage la part belle que les guitares. C’est d’ailleurs là que le combo s’avère le plus intéressant : des titres comme « Magic », « Golden Dawn » ou « Battle Royale » se révèlent d’une efficacité diabolique. Ces morceaux sont tellement bien foutus, tellement bien produits que l’on ne peut que crier au génie. Et cerise sur le gâteau, la voix de Siegfried Samer qui se marie parfaitement à cette pop-metal.
Quand le groupe verse dans le symphonique c’est tout aussi jouissif : « Made Of Metal » (Cyberpunk Joseph) » est épique à souhait et son intro 80’s une petite merveille. Le refrain est une véritable tuerie. Un vrai tube en puissance.
Le groupe nous offre en sus une reprise d’un tube autrichien des 80’s, le « Haben Sie Wien schon bei Nacht geseh’n » de Rainhard Fendrich qui se révèle un peu différent du reste de l’album mais tout aussi réussi avec cette cover où Dragony a su rester fidèle au côté électro-pop de l’original.
Avec ce « Viribus Unitis », les Autrichiens ont frappé fort, très fort. On a affaire ici à un très grand album de power metal, un disque qui risque de faire basculer la carrière du combo vers un nouveau palier. On ne s’ennuie pas une seconde à son écoute. C’est un album addictif tant une fois terminé on a envie de le rejouer encore et encore. C’est en plus un disque qui fait du bien tant il regorge d’inventivité, de générosité et un disque qui fait du bien en ces temps difficiles c’est déjà énorme. On a vraiment hâte d’entendre ces morceaux live. Cela risque de faire très mal.
Et c’est là que les Autrichiens impressionnent autant : ils se permettent tout : se confronter au « Danube Bleu » de Johann Strauss il fallait vraiment oser et le groupe nous en balance une cover d’entrée de jeu. Mais Dragony va bien plus loin que cela dans la prise de risque en s’aventurant vers des territoires ultra pop où le synthé a davantage la part belle que les guitares. C’est d’ailleurs là que le combo s’avère le plus intéressant : des titres comme « Magic », « Golden Dawn » ou « Battle Royale » se révèlent d’une efficacité diabolique. Ces morceaux sont tellement bien foutus, tellement bien produits que l’on ne peut que crier au génie. Et cerise sur le gâteau, la voix de Siegfried Samer qui se marie parfaitement à cette pop-metal.
Quand le groupe verse dans le symphonique c’est tout aussi jouissif : « Made Of Metal » (Cyberpunk Joseph) » est épique à souhait et son intro 80’s une petite merveille. Le refrain est une véritable tuerie. Un vrai tube en puissance.
Le groupe nous offre en sus une reprise d’un tube autrichien des 80’s, le « Haben Sie Wien schon bei Nacht geseh’n » de Rainhard Fendrich qui se révèle un peu différent du reste de l’album mais tout aussi réussi avec cette cover où Dragony a su rester fidèle au côté électro-pop de l’original.
Avec ce « Viribus Unitis », les Autrichiens ont frappé fort, très fort. On a affaire ici à un très grand album de power metal, un disque qui risque de faire basculer la carrière du combo vers un nouveau palier. On ne s’ennuie pas une seconde à son écoute. C’est un album addictif tant une fois terminé on a envie de le rejouer encore et encore. C’est en plus un disque qui fait du bien tant il regorge d’inventivité, de générosité et un disque qui fait du bien en ces temps difficiles c’est déjà énorme. On a vraiment hâte d’entendre ces morceaux live. Cela risque de faire très mal.
Critique : Pierre Arnaud
Note : 9/10
Site du groupe : Page Facebook du groupe
Vues : 5760 fois