Chronique
CROWNE - KINGS IN THE NORTH / Frontiers Music Srl 2021
S’il y a bien un projet fait maison par Frontiers qui a attiré l’attention en ce mois de juin (voir même depuis l’annonce de la sortie de cet album), c’est bien CROWNE. Super combo suédois, loin des projets menés encore et encore par Alessandro Del Vecchio ou Magnus Karlsson, le groupe se voit être composé de Alexander Strandell (Art Nation) au chant , Jona Tee (H.E.A.T.) à la guitare / synthé / production, John Levén (Europe) à la basse, Christian Lundqvist (The Poodles) à la batterie; et histoire d’agrémenter le tout voilà que Love Magnusson (Dynazty) s’occupe des solos de guitare.
Dès le premier morceau, « Kings in the North », les Targariens mettent les choses au clair avec un titre très « Dynazty » niveau ligne de chant mais en même temps posé façon Europe, le tout avec la fraicheur de H.E.A.T. On saisit rapidement ce qu’il va ce passer pour la suite: une union nordique imposante. Alexander est tout simplement imposant et impression, validant instantanément le titre: ce sont bien les rois. Donc oui ce n’est que le premier titre mais déjà cloué. « Perceval » embrase l’atmosphère via son power mélodique incisif qui une fois sur le refrain prend encore plus d’ampleur. Comme si ça ne suffisait pas, « Sharoline » nous explose tout simplement au visage avec son esprit à la « The Poodles » boosté par une rythmique légère et porteuse comme le groupe H.E.A.T sait le faire.
Premier trio de tête passé, et nous sommes déjà estomaqués.
« Unbreakable » poursuit cette aventure musicale remplie de fraicheur et inspirante, juste avant « Mad World », au premier couplé posé et délicat, qui explose pour devenir un rock mélodique saisissant, tout comme le morceau suivant « One in a Million » et son refrain qui ne demande qu’à être chanté encore et encore. « Sum of all fears » débarque avec énergie, appuyée par un Christian à la batterie, au jeu limpide et précis. Un titre plus rapide que les précédents permettant de ne pas entrer dans une phase de lassitude mais au contraire donner une dynamique constante à ce défilement de chansons, qui jusque là fait un sans faute.
« Set me free » et son intro clavier / chant / batterie. Juste à couper le souffle. Ce mid tempo mélodique s’envole rapidement, permettant de nous évader, portés par cette ligne de clavier impeccable et bien sur la voix d’Alexander des plus captivantes. Après ce moment de légèreté, on reprend les rennes avec « Make a stand » et son rock plus agressif mené par la guitare de Jona, qui comme sur « Cross to bear » sera le maître guide et offrira une nouvelle couleur musicale à ce premier album du combo.
La conclusion de cet album se fera sur « Save me from myself », la ballade de l’album. Une belle manière de quitter ce premier essai, et ce de la plus belle des manières.
Ce premier album est tout simplement impressionnant. Certes les musiciens ont tous leur CV bien rempli, mais unir leur force de cette façon et proposer des chansons dans lesquelles tout le monde y trouve son compte, y met sa touche perso pour au final créer un disque rempli de fraicheur, de légèreté mais aussi d’énergie… Bravo ! Un incontournable, déjà pour cet été, mais aussi pour la suite car on espère que ce « Kings in the North » sera défendu sur scène prochainement !
Dès le premier morceau, « Kings in the North », les Targariens mettent les choses au clair avec un titre très « Dynazty » niveau ligne de chant mais en même temps posé façon Europe, le tout avec la fraicheur de H.E.A.T. On saisit rapidement ce qu’il va ce passer pour la suite: une union nordique imposante. Alexander est tout simplement imposant et impression, validant instantanément le titre: ce sont bien les rois. Donc oui ce n’est que le premier titre mais déjà cloué. « Perceval » embrase l’atmosphère via son power mélodique incisif qui une fois sur le refrain prend encore plus d’ampleur. Comme si ça ne suffisait pas, « Sharoline » nous explose tout simplement au visage avec son esprit à la « The Poodles » boosté par une rythmique légère et porteuse comme le groupe H.E.A.T sait le faire.
Premier trio de tête passé, et nous sommes déjà estomaqués.
« Unbreakable » poursuit cette aventure musicale remplie de fraicheur et inspirante, juste avant « Mad World », au premier couplé posé et délicat, qui explose pour devenir un rock mélodique saisissant, tout comme le morceau suivant « One in a Million » et son refrain qui ne demande qu’à être chanté encore et encore. « Sum of all fears » débarque avec énergie, appuyée par un Christian à la batterie, au jeu limpide et précis. Un titre plus rapide que les précédents permettant de ne pas entrer dans une phase de lassitude mais au contraire donner une dynamique constante à ce défilement de chansons, qui jusque là fait un sans faute.
« Set me free » et son intro clavier / chant / batterie. Juste à couper le souffle. Ce mid tempo mélodique s’envole rapidement, permettant de nous évader, portés par cette ligne de clavier impeccable et bien sur la voix d’Alexander des plus captivantes. Après ce moment de légèreté, on reprend les rennes avec « Make a stand » et son rock plus agressif mené par la guitare de Jona, qui comme sur « Cross to bear » sera le maître guide et offrira une nouvelle couleur musicale à ce premier album du combo.
La conclusion de cet album se fera sur « Save me from myself », la ballade de l’album. Une belle manière de quitter ce premier essai, et ce de la plus belle des manières.
Ce premier album est tout simplement impressionnant. Certes les musiciens ont tous leur CV bien rempli, mais unir leur force de cette façon et proposer des chansons dans lesquelles tout le monde y trouve son compte, y met sa touche perso pour au final créer un disque rempli de fraicheur, de légèreté mais aussi d’énergie… Bravo ! Un incontournable, déjà pour cet été, mais aussi pour la suite car on espère que ce « Kings in the North » sera défendu sur scène prochainement !
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Page Facebook du groupe
Vues : 5752 fois