Chronique
BEYOND FEAR – BEYOND FEAR / SPV STEAMHAMMER 2006
Cela faisait un petit bout de temps que j’attendais enfin de pouvoir écouter le projet solo de l’ami Tim Owens. Car depuis son arrivée au sein de Judas Priest, Tim n’a pas arrêté de composer, avec malheureusement aucune possibilité de s’exprimer au sein du groupe, chose peu changée depuis son arriver chez Iced Earth où l’Ami Jon Schaffer contrôle tout.
Donc voici enfin ce Beyond Fear véritable hommage au heavy métal pure souche.
On entre dans le vif du sujet avec « Scream machine » un riff de tueur, une voix haut perchée et une énergie démentielle, voici comment Tim et ses amis nous accueillent. Le refrain est énorme, te rentrant dans la tête comme par enchantement. La batterie de Eric Elkins se fait marteler comme c’est pas possible et Tim gère tout ça avec une dextérité qui nous fait encore mieux comprendre le choix de Judas Priest (s’il était encore besoin de la faire) pour remplacer le ‘Métal God’, car avec une telle performance il est à deux doigts de l’atomisé !! Le solo balance méchant et la fine équipe de ce Beyond Fear assure grave même très grave !!
Sans temps mort pour réellement se remettre « And… you will die » nous en remet une couche. Une véritable tornade de heavy qui ferait passer pas mal de groupes dans ce style pour des gonzesses. La puissance de feu est ahurissante, le son bien brut donne encore plus de couille à l’ensemble et la voix naturelle de Tim est tout bonnement impressionnante.
Vous en voulez encore « Save me » va vous rassasier plus lourde avec une voix hargneuse ce titre vous donne des frissons, le charisme de Tim y est pour beaucoup, car oui ici la voix porte la quasi totalité de l’album, mais rassurez vous si vous aimez les bon solos de guitares le compère John Comprix va vous en donnez pour votre argents. Le refrain basique au possible fait un effet bœuf surtout quand Tim monte de plus en plus : monumental !
« The human race » r’attaque fort, avec de ses coups de marteaux digne d’un Thor en furie !! Un titre qui n’aurait pas fait pale figure dans le Jugulator du prêtre. Est il encore besoin de préciser le travail mais surtout le talent de ce putain de chanteur qui atomise tout sur son passage, un maître artificié qui assure comme un dieu !!
Certes les titres sont courts (en général pas plus de 4 minutes) mais l’efficacité est ici préservée avec en plus l’enchaînement quasi sans temps mort, qui vous donne l’impression de faire un combat contre Mike Tyson. Une droite de plus avec « Coming at you » qui poursuit sans rien changer toujours aussi renversant et satisfaisant !!
On calme tout le monde avec une ballade à la Iced Earth. « Dreams come true » est sympa et ne ramollie pas trop l’album, certes pas les meilleurs moments de l’album mais une bonne power ballade couillue avec un passage bien sympathoche ! Le vrai heavy reprend place avec « Telling lies » un gros titres où les guitares s’en donnent à cœur joie, encore une fois la ressemblance avec le groupe de son ‘employeur’ Jon est frappante, sans pour autant y nuire. «I don’t need this » se fait plus un mixte entre Pantera (époque ‘Cowboy from hell’) et Metallica, d’ailleurs la voix au tout début ma fait croire à James Hetfield. Encore un bon titre dédié à la gloire du métal qui ravira les fans les plus ardus. L’accélération à la fin est bien sentie donnant un peu de surprise bien venue.
« Words of wisdom » commence sur un riff jazzy, non je déconne c’est du pur Heavy métal comme peu le faire Primal Fear en Europe (d’ailleurs on pourrait bien les comparer ces deux là). Toujours autant de puissance, d’énergie, de jouissance, un groupe très compétant dans leur domaine et un chanteur extraordinaire l’un des plus grands du circuit, si ce n’est le plus grand (désolé les puristes). On évolue un peu avec « My last words » un titre plus joyeux (oui si on peu dire ça) avec un refrain en accéléré monstrueux l’un des meilleurs titres de cette galette, un cri à la Attila (Iced Earth – The Glorius Burden) pour finir et l’étrange sensation de se sentir serré dans son caleçon.
« Your Time has come » n’apporte rien de plus qu’un super titre de heavy métal en plus, mais c’est déjà pas mal car actuellement des combos qui arrivent à faire un album avec de très bonne compos dans ce genre et en plus sans paraître mille fois entendues ça court pas les rues !!!
A noter une fin bien sympa.
Dernier menhir avec « The faith » qui déboule batterie toute dehors, puis sur un gros mid tempo puissant continu à nous mettre des gifles. Le refrain plus cool calme le jeu et un cri qui sort du fond de l’âme, pour un titre sympa qui clôture cette messe dédiée au pilier du métal : Black Sabbath, Judas Priest, Metallica, Iron Maiden, et tout ceux qui on contribués à faire la joie de cette musique adorée.
Conclusion : un très bon album qui arrache tout sur son passage, avec cet opus Tim prouve au dernier réfractaire son talent et son charisme mais aussi nous montre un song writting très intéressant, qui en éblouira plus d’un. Bien sur conseillé aux fans de heavy métal mais à tout fan de métal énergique en général : Beyond Fear du travail de pro !!
Donc voici enfin ce Beyond Fear véritable hommage au heavy métal pure souche.
On entre dans le vif du sujet avec « Scream machine » un riff de tueur, une voix haut perchée et une énergie démentielle, voici comment Tim et ses amis nous accueillent. Le refrain est énorme, te rentrant dans la tête comme par enchantement. La batterie de Eric Elkins se fait marteler comme c’est pas possible et Tim gère tout ça avec une dextérité qui nous fait encore mieux comprendre le choix de Judas Priest (s’il était encore besoin de la faire) pour remplacer le ‘Métal God’, car avec une telle performance il est à deux doigts de l’atomisé !! Le solo balance méchant et la fine équipe de ce Beyond Fear assure grave même très grave !!
Sans temps mort pour réellement se remettre « And… you will die » nous en remet une couche. Une véritable tornade de heavy qui ferait passer pas mal de groupes dans ce style pour des gonzesses. La puissance de feu est ahurissante, le son bien brut donne encore plus de couille à l’ensemble et la voix naturelle de Tim est tout bonnement impressionnante.
Vous en voulez encore « Save me » va vous rassasier plus lourde avec une voix hargneuse ce titre vous donne des frissons, le charisme de Tim y est pour beaucoup, car oui ici la voix porte la quasi totalité de l’album, mais rassurez vous si vous aimez les bon solos de guitares le compère John Comprix va vous en donnez pour votre argents. Le refrain basique au possible fait un effet bœuf surtout quand Tim monte de plus en plus : monumental !
« The human race » r’attaque fort, avec de ses coups de marteaux digne d’un Thor en furie !! Un titre qui n’aurait pas fait pale figure dans le Jugulator du prêtre. Est il encore besoin de préciser le travail mais surtout le talent de ce putain de chanteur qui atomise tout sur son passage, un maître artificié qui assure comme un dieu !!
Certes les titres sont courts (en général pas plus de 4 minutes) mais l’efficacité est ici préservée avec en plus l’enchaînement quasi sans temps mort, qui vous donne l’impression de faire un combat contre Mike Tyson. Une droite de plus avec « Coming at you » qui poursuit sans rien changer toujours aussi renversant et satisfaisant !!
On calme tout le monde avec une ballade à la Iced Earth. « Dreams come true » est sympa et ne ramollie pas trop l’album, certes pas les meilleurs moments de l’album mais une bonne power ballade couillue avec un passage bien sympathoche ! Le vrai heavy reprend place avec « Telling lies » un gros titres où les guitares s’en donnent à cœur joie, encore une fois la ressemblance avec le groupe de son ‘employeur’ Jon est frappante, sans pour autant y nuire. «I don’t need this » se fait plus un mixte entre Pantera (époque ‘Cowboy from hell’) et Metallica, d’ailleurs la voix au tout début ma fait croire à James Hetfield. Encore un bon titre dédié à la gloire du métal qui ravira les fans les plus ardus. L’accélération à la fin est bien sentie donnant un peu de surprise bien venue.
« Words of wisdom » commence sur un riff jazzy, non je déconne c’est du pur Heavy métal comme peu le faire Primal Fear en Europe (d’ailleurs on pourrait bien les comparer ces deux là). Toujours autant de puissance, d’énergie, de jouissance, un groupe très compétant dans leur domaine et un chanteur extraordinaire l’un des plus grands du circuit, si ce n’est le plus grand (désolé les puristes). On évolue un peu avec « My last words » un titre plus joyeux (oui si on peu dire ça) avec un refrain en accéléré monstrueux l’un des meilleurs titres de cette galette, un cri à la Attila (Iced Earth – The Glorius Burden) pour finir et l’étrange sensation de se sentir serré dans son caleçon.
« Your Time has come » n’apporte rien de plus qu’un super titre de heavy métal en plus, mais c’est déjà pas mal car actuellement des combos qui arrivent à faire un album avec de très bonne compos dans ce genre et en plus sans paraître mille fois entendues ça court pas les rues !!!
A noter une fin bien sympa.
Dernier menhir avec « The faith » qui déboule batterie toute dehors, puis sur un gros mid tempo puissant continu à nous mettre des gifles. Le refrain plus cool calme le jeu et un cri qui sort du fond de l’âme, pour un titre sympa qui clôture cette messe dédiée au pilier du métal : Black Sabbath, Judas Priest, Metallica, Iron Maiden, et tout ceux qui on contribués à faire la joie de cette musique adorée.
Conclusion : un très bon album qui arrache tout sur son passage, avec cet opus Tim prouve au dernier réfractaire son talent et son charisme mais aussi nous montre un song writting très intéressant, qui en éblouira plus d’un. Bien sur conseillé aux fans de heavy métal mais à tout fan de métal énergique en général : Beyond Fear du travail de pro !!
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de Tim Owens
Vues : 5743 fois