Chronique
AVENGED SEVENFOLD - LIFE IS BUT A DREAM / Warner 2023
En 2016 sans prévenir le groupe nous sortait ‘The stage’ et 7 très longues années plus tard les voilà de retour avec un opus au chemin particulier. Une voie risquée prise par nos Californiens, inspirée par l’étranger d’Albert Camus, qui me tarde de découvrir.
Intro toute en douceur pour “Game over” qui par la suite envoie un bon gros Métal des familles qui me fait fortement penser à System Of The Down. Un break calme sorti de nulle part nous surprend et montre que le groupe ne veut se laisser aucune limite. “Mattel” continue dans une ambiance là encore bien métal mais avec un coté ‘bordélique’ à la Faith No More. Oui nos amis n’ont pas cherché la facilité !
“Nobody” et sa pesante rythmique électro fait avancer l’histoire sur des territoires étranges et sombres. Un moment bizarre mais entêtant. Rythme frénétique sur des accords Jazzy pour “We love you” qui est un pur bordel musical qui part dans tous les sens. Un titre très difficile d’approche. Malgré les écoutes successives je n’y arrive toujours pas.
Début calme et ambiant pour “Cosmic” qui se met en place et laisse une belle part du gâteau à la guitare de Synyster Gates dans un sacré solo. Là aussi difficile de trouver des repères tant le groupe mélange les genres sans prévenir. Avec “Beautiful morning”, on retrouve du Métal plus ‘conventionnel’ qui permet de se retrouver dans cet océan d’informations. Mais attention ça ne va pas durer.
Ambiance à la Daft Punk pour le tout début de “Easier” qui heureusement voit des guitares bien sauvages venir à notre rescousse. Un moment Heavy et puissant qui fait un gros effet. A noter à nouveau un superbe solo de l’ami Gates ! “G” arrive dans un délire Free Jazz qui apporte une nouvelle couleur à cet édifice musical !
“(O)rdinary” va là au plus loin du plus loin avec cette fois-ci en référence Daft Punk avec ses vocodeurs et esprits funky. J’en connais un paquet qui vont méchamment tirer la gueule... et pourtant ça fonctionne. Avec “(D)eath” on lorgne vers du Franck Sinatra (on est plus à ça près) avec un M Shadow crooner. Et une fois de plus ça marche ! On termine avec “Life is but a dream” une instrumentale classique au piano jouée par Synyster Gates, qui est fort jolie.
Conclusion : Avenged Sevenfold nous met dans une situation dont on a plus l’habitude. Un album sans limite, bourré d’idées et de talent, une énorme prise de risque à applaudir, une liberté artistique totale sans conteste mais comment appréhender une telle œuvre !!!???? Perso aujourd’hui je suis toujours tiraillé entre le fait que le pari est osé mais réussi et le fait que le groupe ne nous a pas offert ce qu’on attendait de lui. Je vous laisse trancher...
Intro toute en douceur pour “Game over” qui par la suite envoie un bon gros Métal des familles qui me fait fortement penser à System Of The Down. Un break calme sorti de nulle part nous surprend et montre que le groupe ne veut se laisser aucune limite. “Mattel” continue dans une ambiance là encore bien métal mais avec un coté ‘bordélique’ à la Faith No More. Oui nos amis n’ont pas cherché la facilité !
“Nobody” et sa pesante rythmique électro fait avancer l’histoire sur des territoires étranges et sombres. Un moment bizarre mais entêtant. Rythme frénétique sur des accords Jazzy pour “We love you” qui est un pur bordel musical qui part dans tous les sens. Un titre très difficile d’approche. Malgré les écoutes successives je n’y arrive toujours pas.
Début calme et ambiant pour “Cosmic” qui se met en place et laisse une belle part du gâteau à la guitare de Synyster Gates dans un sacré solo. Là aussi difficile de trouver des repères tant le groupe mélange les genres sans prévenir. Avec “Beautiful morning”, on retrouve du Métal plus ‘conventionnel’ qui permet de se retrouver dans cet océan d’informations. Mais attention ça ne va pas durer.
Ambiance à la Daft Punk pour le tout début de “Easier” qui heureusement voit des guitares bien sauvages venir à notre rescousse. Un moment Heavy et puissant qui fait un gros effet. A noter à nouveau un superbe solo de l’ami Gates ! “G” arrive dans un délire Free Jazz qui apporte une nouvelle couleur à cet édifice musical !
“(O)rdinary” va là au plus loin du plus loin avec cette fois-ci en référence Daft Punk avec ses vocodeurs et esprits funky. J’en connais un paquet qui vont méchamment tirer la gueule... et pourtant ça fonctionne. Avec “(D)eath” on lorgne vers du Franck Sinatra (on est plus à ça près) avec un M Shadow crooner. Et une fois de plus ça marche ! On termine avec “Life is but a dream” une instrumentale classique au piano jouée par Synyster Gates, qui est fort jolie.
Conclusion : Avenged Sevenfold nous met dans une situation dont on a plus l’habitude. Un album sans limite, bourré d’idées et de talent, une énorme prise de risque à applaudir, une liberté artistique totale sans conteste mais comment appréhender une telle œuvre !!!???? Perso aujourd’hui je suis toujours tiraillé entre le fait que le pari est osé mais réussi et le fait que le groupe ne nous a pas offert ce qu’on attendait de lui. Je vous laisse trancher...
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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