Chronique
ARMELLINO - HERITAGE BLEND / May i records 2024
Le grand Yann après une belle aventure avec El Butcho, décide de poursuivre son aventure de groupe. Cette fois ci il s’entoure de Vincent Martinez ex chanteur du groupe Carousel Vertigo (si vous ne connaissez pas foncez c’est de la bombe!!), pour nous offrir sa vision du Hard Rock. Allez prêts pour une nouvelle aventure ?
On débute avec un bon riff et une ambiance Soul pour “Almost scored me” qui nous offre du très bon Hard Rock à la saveur 70’ bien présente. Une entrée en matière qui pose de très bonnes bases. Place à “I’m only me” plus Rock qui passe bien avec son refrain chantant.
On enfonce le clou avec un “Got yourself a loser” sur laquelle Vincent s’arrache les cordes vocales. Un pur délice. Pour “Slice of my pie” on lorgne du côté de Thunder voir The Quireboys pour un bon Rock soutenu.
“Fire” sonne très 60’, une reprise d’Etta James chantée par Jessie Lee Houllier (Merci internet) qui fait le boulot même si je ne peux pas comparer à l’originale. On retrouve ce Blues rock à la The Quireboys voir The Black Crowes le temps d’un endiablé “Hardly yours”. Encore une fois ça fonctionne même si je trouve que l’ensemble manque d’un côté organique plus prononcé.
“Come sing” rappelle pas mal Carousel Vertigo et apporte du bon Rock remuant comme on aime. On enfonce le clou avec “These bones” encore plus rythmé et Rock. Un pur bonheur musical !!!
Du plus mélodique arrive avec un “Bad Enough” aérien. Une bouffée d’air bienvenue avec un sublime solo de Yann. Place à la deuxième reprise avec la génialissime “Dancing in the moonlight” du non moins génial Thin Lizzy reprise ici en version acoustique et qui sonne terrible. Après tout comme le dit Jean Jacques Glodman : ‘quand la musique est bonne’ ! Puis on termine avec “Trouble in the making” un dernier brûlot de Hard Rock Bluesy où la guitare s’en donne à cœur joie. Une super fin qui fout la banane !!
Conclusion : avec son nouveau groupe Yann Armellino cherche à asseoir un nouveau chapitre rendant hommage à ses racines et influences. Cela fonctionne très bien, même s’il faudrait approfondir certains aspects et personnaliser un peu plus le tout.
On débute avec un bon riff et une ambiance Soul pour “Almost scored me” qui nous offre du très bon Hard Rock à la saveur 70’ bien présente. Une entrée en matière qui pose de très bonnes bases. Place à “I’m only me” plus Rock qui passe bien avec son refrain chantant.
On enfonce le clou avec un “Got yourself a loser” sur laquelle Vincent s’arrache les cordes vocales. Un pur délice. Pour “Slice of my pie” on lorgne du côté de Thunder voir The Quireboys pour un bon Rock soutenu.
“Fire” sonne très 60’, une reprise d’Etta James chantée par Jessie Lee Houllier (Merci internet) qui fait le boulot même si je ne peux pas comparer à l’originale. On retrouve ce Blues rock à la The Quireboys voir The Black Crowes le temps d’un endiablé “Hardly yours”. Encore une fois ça fonctionne même si je trouve que l’ensemble manque d’un côté organique plus prononcé.
“Come sing” rappelle pas mal Carousel Vertigo et apporte du bon Rock remuant comme on aime. On enfonce le clou avec “These bones” encore plus rythmé et Rock. Un pur bonheur musical !!!
Du plus mélodique arrive avec un “Bad Enough” aérien. Une bouffée d’air bienvenue avec un sublime solo de Yann. Place à la deuxième reprise avec la génialissime “Dancing in the moonlight” du non moins génial Thin Lizzy reprise ici en version acoustique et qui sonne terrible. Après tout comme le dit Jean Jacques Glodman : ‘quand la musique est bonne’ ! Puis on termine avec “Trouble in the making” un dernier brûlot de Hard Rock Bluesy où la guitare s’en donne à cœur joie. Une super fin qui fout la banane !!
Conclusion : avec son nouveau groupe Yann Armellino cherche à asseoir un nouveau chapitre rendant hommage à ses racines et influences. Cela fonctionne très bien, même s’il faudrait approfondir certains aspects et personnaliser un peu plus le tout.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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