Chronique
VENGEANCE - BACK IN THE RING / Spv 2006
Revoici nos allemands de Vengeance avec ce dernier album, présenté par certains au pays comme étant leur meilleur depuis leurs débuts dans les années 80.
La titre track Back in the ring débute et déjà, on passe aux choses sérieuses, du bon hard 80’s comme l’aiment certains (dont moi), avec une voix qui sait s’arracher quand il le faut, et le petit solo qui va bien, bref, du tout bon quoi, ce qui nous laisse présager du meilleur pour la suite.
Cela se précise avec No mercy, ça me rappelle mes 12 ans au collège, avec cheveux longs et T-Shirts à l’effigie de mes groupes de hard favoris, rien à jeter, toujours du bon hardrock comme les puristes l’aiment. Mind over matter ne change rien à la donne : toutes les cartes en mains pour nous plumer, toujours ce chant -ô combien important dans tout groupe de hard qui se respecte- irréprochable, et cette section rythmique qui l’accompagne excellemment, pour changer, Peter Bourbon alias Slash (tout pour plaire je vous dis !) nous offre un bon petit solo de derrière les fagots.
Captain Moonlight prend sa place pour un mid-tempo qui laisse transpirer un peu d’émotion dans ce monde de brutes. Holy water respecte les règles et ne nous déçoit pas, Leon Goewie utilise sa voix avec expérience, normal, en tant que groupe de hard cuvée 80’s, rares sont ceux qui n’ont pas de bouteille…
Bad Attitude arrive à son tour, retour dans les clichés des années 80 avec ce titre, ce qui personnellement ne me dérange pas, une machine à remonter le temps au prix d’un album, il y a de quoi être heureux. Had enuff déboule à son tour, sans trahir, toujours cette pêche et cette émotion dans le chant, qui me fait penser à David Coverdale par moment, les titres s’enchaînent, et les tubes potentiels également, Now and then confirme.
Un petit cui-cui, suivi d’autres bruits de volailles annoncent Cow-boy style, bon titre, toujours aussi entraînant. Nous arrivons doucement à la fin de l’album, sans véritablement s’en rendre compte, vu le plaisir pris à écouter cette galette, mais Rip it off nous offre encore un bon moment de hard, avant la bonus-track Eveline, sur la même plage, qui se trouve être la ballade de l’album, avec une voix posée, guitare acoustique et tout le toutim, une bien belle façon de clore cet opus.
Conclusion : Nos cousins germains montrent avec cet album ce qu’est un retour excellemment négocié, si les mauvaises langues peuvent prétendre qu’ils sont restés perchés dans les années 80, je leur répondrais peut-être, et c’est tant mieux, c’est ça qui est bon ! Un super album, très agréable à écouter, n’oubliez pas votre cuir !
La titre track Back in the ring débute et déjà, on passe aux choses sérieuses, du bon hard 80’s comme l’aiment certains (dont moi), avec une voix qui sait s’arracher quand il le faut, et le petit solo qui va bien, bref, du tout bon quoi, ce qui nous laisse présager du meilleur pour la suite.
Cela se précise avec No mercy, ça me rappelle mes 12 ans au collège, avec cheveux longs et T-Shirts à l’effigie de mes groupes de hard favoris, rien à jeter, toujours du bon hardrock comme les puristes l’aiment. Mind over matter ne change rien à la donne : toutes les cartes en mains pour nous plumer, toujours ce chant -ô combien important dans tout groupe de hard qui se respecte- irréprochable, et cette section rythmique qui l’accompagne excellemment, pour changer, Peter Bourbon alias Slash (tout pour plaire je vous dis !) nous offre un bon petit solo de derrière les fagots.
Captain Moonlight prend sa place pour un mid-tempo qui laisse transpirer un peu d’émotion dans ce monde de brutes. Holy water respecte les règles et ne nous déçoit pas, Leon Goewie utilise sa voix avec expérience, normal, en tant que groupe de hard cuvée 80’s, rares sont ceux qui n’ont pas de bouteille…
Bad Attitude arrive à son tour, retour dans les clichés des années 80 avec ce titre, ce qui personnellement ne me dérange pas, une machine à remonter le temps au prix d’un album, il y a de quoi être heureux. Had enuff déboule à son tour, sans trahir, toujours cette pêche et cette émotion dans le chant, qui me fait penser à David Coverdale par moment, les titres s’enchaînent, et les tubes potentiels également, Now and then confirme.
Un petit cui-cui, suivi d’autres bruits de volailles annoncent Cow-boy style, bon titre, toujours aussi entraînant. Nous arrivons doucement à la fin de l’album, sans véritablement s’en rendre compte, vu le plaisir pris à écouter cette galette, mais Rip it off nous offre encore un bon moment de hard, avant la bonus-track Eveline, sur la même plage, qui se trouve être la ballade de l’album, avec une voix posée, guitare acoustique et tout le toutim, une bien belle façon de clore cet opus.
Conclusion : Nos cousins germains montrent avec cet album ce qu’est un retour excellemment négocié, si les mauvaises langues peuvent prétendre qu’ils sont restés perchés dans les années 80, je leur répondrais peut-être, et c’est tant mieux, c’est ça qui est bon ! Un super album, très agréable à écouter, n’oubliez pas votre cuir !
Note : 9/10
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