Chronique
ROSE TATTOO - BLOOD BROTHERS / Armageddon Music 2007
Nouveau Line-up, et nouvel album pour cet illustre groupe de hard Australien qui a véritablement laissé une trace dans le paysage musical, influençant un nombre considérable de groupes plus « modernes ». Les photos de la pochette ne trompent pas, mais ce n’est pas parce que l’on voit certains membres trahis par leurs rides que les papys sont impotents pour autant…La preuve ? Okay, let’s go !
Nous commençons par « Black eyed bruiser», le single, bonne reprise du titre de Steve Wright, écrit par Harry Vanda et George Young. Tiens, un Australien du nom de Young, ça ne vous dit rien ? Si bingo, il s’agit du frère des deux gratteux d’AC/DC… Puis vient «Slipping away » titre très bluesy, qui me fait légèrement penser à George Thorogood (celui du « Bad to the bone » de Terminator 2, mais qui a fait tellement de bonnes choses !). Nous continuons avec "Once In A Lifetime", tantôt bluesy, rock et groovy, tout ce qu’il faut quoi ! Cela sonne très 70’s et c’est un régal. « 1854 » relève le défi avec son refrain parfait et accrocheur, à la tendance très AC/DC (décidemment…). « City Blues » nous laisse le temps de souffler un peu et de ralentir le rythme, puis « Sweet meat » déboule, avec des riffs qui, bien que sonnant rétro, se montrent terriblement efficaces…On penserait parfois à du Hendrix, avec sa façon de faire sonner sa Fender comme personne. « Man About Town » sonne franchement 70’s, c’est crasseux, c’est lourd, c’est old school, et qu’est-ce que c’est bon ! Moment plus lent, et encore plus blues avec « Creeper ». Le morceau « Stand over man », très hard rock me transporte une bonne douzaine d’années en arrière lorsque j’ai découvert cette musique (avec un grand M !). « Nothin’ to lose » déroule dans un style plus rock n’ roll, la voix me rappelant cette fois celle de John Fogerty, chanteur-guitariste de Creedence Clearwater Revival. Apparemment, encore et toujours la même chose ; ça tourne autour du rock n’roll, on en explore toutes les déclinaisons du blues au hard, on apporte sa petite touche et…Ca fracasse tout avec succès ! On enchaîne avec « Lubricated », titre plutôt rapide et entraînant, puis…Ah non, c’est déjà fini, cet album est tellement agréable qu’on ne voit pas le temps passé.
Conclusion : Un super album, si l’on sait que Rose Tatoo a influencé nombre de groupes, il rend hommage également encore une fois à ses influences, sans jamais les plagier pour autant, et avec classe. Ah si, le seul et unique point négatif de l’album : il est trop court !!!
Nous commençons par « Black eyed bruiser», le single, bonne reprise du titre de Steve Wright, écrit par Harry Vanda et George Young. Tiens, un Australien du nom de Young, ça ne vous dit rien ? Si bingo, il s’agit du frère des deux gratteux d’AC/DC… Puis vient «Slipping away » titre très bluesy, qui me fait légèrement penser à George Thorogood (celui du « Bad to the bone » de Terminator 2, mais qui a fait tellement de bonnes choses !). Nous continuons avec "Once In A Lifetime", tantôt bluesy, rock et groovy, tout ce qu’il faut quoi ! Cela sonne très 70’s et c’est un régal. « 1854 » relève le défi avec son refrain parfait et accrocheur, à la tendance très AC/DC (décidemment…). « City Blues » nous laisse le temps de souffler un peu et de ralentir le rythme, puis « Sweet meat » déboule, avec des riffs qui, bien que sonnant rétro, se montrent terriblement efficaces…On penserait parfois à du Hendrix, avec sa façon de faire sonner sa Fender comme personne. « Man About Town » sonne franchement 70’s, c’est crasseux, c’est lourd, c’est old school, et qu’est-ce que c’est bon ! Moment plus lent, et encore plus blues avec « Creeper ». Le morceau « Stand over man », très hard rock me transporte une bonne douzaine d’années en arrière lorsque j’ai découvert cette musique (avec un grand M !). « Nothin’ to lose » déroule dans un style plus rock n’ roll, la voix me rappelant cette fois celle de John Fogerty, chanteur-guitariste de Creedence Clearwater Revival. Apparemment, encore et toujours la même chose ; ça tourne autour du rock n’roll, on en explore toutes les déclinaisons du blues au hard, on apporte sa petite touche et…Ca fracasse tout avec succès ! On enchaîne avec « Lubricated », titre plutôt rapide et entraînant, puis…Ah non, c’est déjà fini, cet album est tellement agréable qu’on ne voit pas le temps passé.
Conclusion : Un super album, si l’on sait que Rose Tatoo a influencé nombre de groupes, il rend hommage également encore une fois à ses influences, sans jamais les plagier pour autant, et avec classe. Ah si, le seul et unique point négatif de l’album : il est trop court !!!
Note : 9/10
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