Chronique
LAST AUTUMN’S DREAM - SATURN SKYLINE / Escape music 2007
Quatrième album pour les Suédois qui poursuivent leur bout de chemin avec leur Hard bien FM que j’avais découvert sur II. N’ayant pas écouté leur troisième opus je me hâte de voir l’évolution apportée depuis.
On débute de fort bonne manière avec « For the young and the wild », un bon hard FM qui fait bien plaisir. La voix de Mikael Erlandsson est toujours aussi bonne et très mise en avant. Le refrain est un modèle du genre qui plaira aux puristes. Andy Malacek malgré le retour de Fair Warning assure avec conviction son poste. Un début ultra prometteur. « After tomorrow’s gone » poursuit de la meilleure des manières. Entraînante et ultra mélodique elle ne choquera pas un brin et fait effet immédiatement.
« Pages » continue toujours dans le bon hard remuant. On note que le groupe a énormément évolué pratiquant une musique beaucoup plus personnelle qu’avant et aussi plus communicative. Quel pied ! Les refrains sont vraiment super agréables à reprendre et faciles à retenir. Première ballade avec « Rock n roll is saving my soul ». Un peu cul-cul au début, elle s’en tire mieux par la suite. Mais bon rien de trop transcendant : passons !
« I know a lot about love » reprend des chemins plus rock soft histoire de pas trop choquer après la ballade (il faudrait pas nous brusquer). Sympa elle se laisse écouter en attendant quelque chose de plus hard. « Critical » apporte ce qu’on demande avec un bon passage rock'n'roll qui te fait bouger. Un titre efficace, c’est ce qu’on demande.
Début calme et « Supersonic » arrive avec dans ses bagages la deuxième ballade. Plus rock que l’autre je lui trouve un côté attachant. Le refrain bien joli rappelle les combos des 80’s. Un moment agréable à écouter. On en redemanderai. « Frozen heart » qui débarque avec son armada d’orchestration sent la ballade, la suite avec la voix pleurnicharde de Mikael confirme. Voilà le moment romantique dépressif que tous les groupes de hard FM pratiquent. Force est de constater que là c’est bien fait et assez prenant.
Bon et si on remettait du bon hard, « American grils » se la joue plus gros tube plein de Synthé, parfait pour les radios et pour frimer l’été à bord de son cabriolet mais heureusement et je ne sais pourquoi, passe bien (peut être que le groupe fait ça tellement bien que ça passe !). Bref encore un bon point tant mieux. Début sur quelques jolies notes de piano pour « Domino » et on part dans un bon hard qui sent bon les remuages de culs lors des concerts. Un carton assuré en live, sur radio, bref de partout où ça passe. Une fois encore Mikael est excellent et donne toujours ce qui faut, un bien bon chanteur.
On finit avec « Still on the run » et son intro à cappella ; puis c’est sur un piano voix que cela se poursuit. Une dernière ballade fort belle qui laisse un arrière goût de mélancolie et des faux air de Queen. Une très, très jolie fin, que voilà sniff.
Conclusion : et bien que d’efforts fournis, voilà et il faut vraiment le remarquer un très bon album de hard FM qui m’a plut. J’avoue ne pas m’être attendu à être tant à la fête, même si quelques passages à vide subsistent, l’ensemble est largement à la hauteur. A conseiller à tous les fans de hard.
On débute de fort bonne manière avec « For the young and the wild », un bon hard FM qui fait bien plaisir. La voix de Mikael Erlandsson est toujours aussi bonne et très mise en avant. Le refrain est un modèle du genre qui plaira aux puristes. Andy Malacek malgré le retour de Fair Warning assure avec conviction son poste. Un début ultra prometteur. « After tomorrow’s gone » poursuit de la meilleure des manières. Entraînante et ultra mélodique elle ne choquera pas un brin et fait effet immédiatement.
« Pages » continue toujours dans le bon hard remuant. On note que le groupe a énormément évolué pratiquant une musique beaucoup plus personnelle qu’avant et aussi plus communicative. Quel pied ! Les refrains sont vraiment super agréables à reprendre et faciles à retenir. Première ballade avec « Rock n roll is saving my soul ». Un peu cul-cul au début, elle s’en tire mieux par la suite. Mais bon rien de trop transcendant : passons !
« I know a lot about love » reprend des chemins plus rock soft histoire de pas trop choquer après la ballade (il faudrait pas nous brusquer). Sympa elle se laisse écouter en attendant quelque chose de plus hard. « Critical » apporte ce qu’on demande avec un bon passage rock'n'roll qui te fait bouger. Un titre efficace, c’est ce qu’on demande.
Début calme et « Supersonic » arrive avec dans ses bagages la deuxième ballade. Plus rock que l’autre je lui trouve un côté attachant. Le refrain bien joli rappelle les combos des 80’s. Un moment agréable à écouter. On en redemanderai. « Frozen heart » qui débarque avec son armada d’orchestration sent la ballade, la suite avec la voix pleurnicharde de Mikael confirme. Voilà le moment romantique dépressif que tous les groupes de hard FM pratiquent. Force est de constater que là c’est bien fait et assez prenant.
Bon et si on remettait du bon hard, « American grils » se la joue plus gros tube plein de Synthé, parfait pour les radios et pour frimer l’été à bord de son cabriolet mais heureusement et je ne sais pourquoi, passe bien (peut être que le groupe fait ça tellement bien que ça passe !). Bref encore un bon point tant mieux. Début sur quelques jolies notes de piano pour « Domino » et on part dans un bon hard qui sent bon les remuages de culs lors des concerts. Un carton assuré en live, sur radio, bref de partout où ça passe. Une fois encore Mikael est excellent et donne toujours ce qui faut, un bien bon chanteur.
On finit avec « Still on the run » et son intro à cappella ; puis c’est sur un piano voix que cela se poursuit. Une dernière ballade fort belle qui laisse un arrière goût de mélancolie et des faux air de Queen. Une très, très jolie fin, que voilà sniff.
Conclusion : et bien que d’efforts fournis, voilà et il faut vraiment le remarquer un très bon album de hard FM qui m’a plut. J’avoue ne pas m’être attendu à être tant à la fête, même si quelques passages à vide subsistent, l’ensemble est largement à la hauteur. A conseiller à tous les fans de hard.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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