Chronique
IRON SAVIOR - MEGATROPOLIS / Dockyard 1 2007
L’ami Piet Sielck, reviens nous présenter son nouvel album, qui comme à son habitude nous plonge dans la science fiction à grand coup de heavy speed teuton. Ayant décroché après le Dark Assault, je suis impatient d’écouter le chemin parcouru depuis.
L’entrée en matière est direct, « Running riot » c’est du pur Iron Savior qui comblera les fans. Piet a gardé ce chant si caractéristique et apporte des passages un poil plus mélodiques. Une véritable tornade de heavy qui fait son effet sans être novateur. Style moins rugueux avec « The omega men » qui rappelle Gamma Ray, là aussi on se laisse prendre par la musique d’Iron Savior qui a toujours eu un petit je ne sais quoi d’accrocheur.
« Flesh » poursuit avec une grosse intention de faire du dégât, la guerre est déclarée et ce mid tempo bien chargé vous le fait savoir. Un super bon passage qui ne laisse pas indifférent. On reprend le speed avec « Megatropolis », qui comme on peu s’y attendre fait headbanger sans arrière pensée. Encore une fois Piet frappe, juste.
Esprit un poil plus hard (un relent d’Accept se fait sentir) pour « Cybernatic queen ». Les couplets calmes avec la grosse rythmique quasi militaire, et la montée en puissance Udo et sa bande ne sont vraiment pas loin. Le refrain est vraiment énorme et ultra mélodique. Malgré tout le passage de l’album. « Cyber hero » sonne trop convenu ; un morceau sans grand plus qui me laisse plutôt indifférent.
Moment plus lourd avec « A tale from down below » qui se laisse écouter elle aussi sans grands plus. Le refrain plus mélodique accroche plus que le reste de cette chanson. « Still i belive » reprend le côté marteau pilon et poursuit l’album tranquillou. Pas de grand changement mais de quoi satisfaire l’auditeur.
On termine par « Farewell and good bye » qui garde un rythme soutenu et très joli passage à la voix travaillée et mélodique qui font plaisir. Un bien bon final.
Conclusion : Iron Savior reste Iron Savior, et le prouve avec un nouvel album qui ne révolutionnera rien mais alors rien du tout. Reste de bon titres et surtout une continuité qui fera plaisir aux fans.
L’entrée en matière est direct, « Running riot » c’est du pur Iron Savior qui comblera les fans. Piet a gardé ce chant si caractéristique et apporte des passages un poil plus mélodiques. Une véritable tornade de heavy qui fait son effet sans être novateur. Style moins rugueux avec « The omega men » qui rappelle Gamma Ray, là aussi on se laisse prendre par la musique d’Iron Savior qui a toujours eu un petit je ne sais quoi d’accrocheur.
« Flesh » poursuit avec une grosse intention de faire du dégât, la guerre est déclarée et ce mid tempo bien chargé vous le fait savoir. Un super bon passage qui ne laisse pas indifférent. On reprend le speed avec « Megatropolis », qui comme on peu s’y attendre fait headbanger sans arrière pensée. Encore une fois Piet frappe, juste.
Esprit un poil plus hard (un relent d’Accept se fait sentir) pour « Cybernatic queen ». Les couplets calmes avec la grosse rythmique quasi militaire, et la montée en puissance Udo et sa bande ne sont vraiment pas loin. Le refrain est vraiment énorme et ultra mélodique. Malgré tout le passage de l’album. « Cyber hero » sonne trop convenu ; un morceau sans grand plus qui me laisse plutôt indifférent.
Moment plus lourd avec « A tale from down below » qui se laisse écouter elle aussi sans grands plus. Le refrain plus mélodique accroche plus que le reste de cette chanson. « Still i belive » reprend le côté marteau pilon et poursuit l’album tranquillou. Pas de grand changement mais de quoi satisfaire l’auditeur.
On termine par « Farewell and good bye » qui garde un rythme soutenu et très joli passage à la voix travaillée et mélodique qui font plaisir. Un bien bon final.
Conclusion : Iron Savior reste Iron Savior, et le prouve avec un nouvel album qui ne révolutionnera rien mais alors rien du tout. Reste de bon titres et surtout une continuité qui fera plaisir aux fans.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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