Chronique
THE POODLES - SWEET TRADE / Afm records 2007
Et bien pour du rapide c’est du rapide à peine plus de 6 mois après la sortie de son premier album en nos terres, voici que nos caniches Suédois reviennent nous présenter leur deuxième opus. Petit rappel, je l’attendais avec impatience car leur premier essai était bon mais un peu trop pop par moment, allons voir dans quelle direction, le groupe s'est lancé.
On entre dans le vif du sujet avec une ambiance plutôt sombre mais très jolie. Chorale façon chœurs de l’armée rouge plus accordéon, puis ambiance guerrière et c’est partie « Flesh and blood » donne droit à un bien bon titre assez rythmé qui se laisse écouter plus qu’agréablement. Le refrain est simple et efficace, bref un bon single. « Steets of fire » accélère le rythme, pour un hard pop rock plutôt efficace. Cette fois ci encore le refrain est un vrai régal à reprendre en cœur. Je suis rassuré car le groupe a opté pour une musique plus hard qui lui va mieux que ces relents pop mièvres que l’on avait pu avoir dans ‘Metal will stand still’. « Seven seas » poursuit avec toujours cette bien bonne musique rythmée ce qu'il faut et commerciale à souhait. La voix de Jakob Samuel sied à merveille à ce style. Le refrain comme les autres est calibré pour faire de l’effet directement. On poursuit toujours avec autant de plaisir pour « Walk the line » qui va faire remuer des culs. Le bien bon riff de Pontus Norgens accompagné par la voix de Jakob donne un duo exemplaire. Encore un single potentiel.
Intro à la AC/DC pour « Thunderball ». Un titre très moderne gavé de synthé et qui comme ses devancières fait un effet bœuf direct. La talk box fait son apparition avec « Reach the sky » et donne des airs de Bon Jovi. Il est fort étonnant de constater que chaque refrain est une vraie pépite qui fait un effet monstre.
Voilà enfin la première ballade « We are one », qui comme on peut s’y attendre, fait très ballade rock FM comme on a pu en écouter durant les 80’s. Malgré tout le résultat est à la hauteur, certes ce n’est pas transcendent mais fort agréable. Petite ambiance à la Scorpions pour « Without you » un mid tempo mélodique, qui devrait plaire au plus grand nombre. Le refrain est magique, un vrai tube, une puissance prête à cartonner sur les ondes.
On reprend le rock plus rythmé avec un « Band of brothers » certes assez conventionnel mais efficace lui aussi. On pourrait croire que c’est un sans faute tant chaque morceau est accrocheur et donne la pêche, car ce n’est pas « Heaven’s closing in » qui me fera dire le contraire. Quel titre ! Jakob réalise une jolie performance : encore réussit.
« Kiss goodbye » va vous faire bouger, avec son rythme endiablé. Un enchaînement de singles potentiels, je n’avais plus entendu ça depuis Pink Cream 69. Ce ‘Sweet Trade’ est du bonheur en galette. Pour finir rien de tel qu’une ballade. « Shine » se veut elle aussi assez 80’s, comme les maîtres du genre nous en on pondu durant leurs heures de gloires. Une bien bonne façon de finir un album extraordinaire.
Conclusion : avec ce deuxième album The Poodles réinvente le hard FM. Une galette qui peut être appréciée par les fans de hard comme la plus large tranche d’un public lambda rock.
Vous avez aimé Bon Jovi, Def Lepards, voilà enfin leurs dignes remplaçants !!
On entre dans le vif du sujet avec une ambiance plutôt sombre mais très jolie. Chorale façon chœurs de l’armée rouge plus accordéon, puis ambiance guerrière et c’est partie « Flesh and blood » donne droit à un bien bon titre assez rythmé qui se laisse écouter plus qu’agréablement. Le refrain est simple et efficace, bref un bon single. « Steets of fire » accélère le rythme, pour un hard pop rock plutôt efficace. Cette fois ci encore le refrain est un vrai régal à reprendre en cœur. Je suis rassuré car le groupe a opté pour une musique plus hard qui lui va mieux que ces relents pop mièvres que l’on avait pu avoir dans ‘Metal will stand still’. « Seven seas » poursuit avec toujours cette bien bonne musique rythmée ce qu'il faut et commerciale à souhait. La voix de Jakob Samuel sied à merveille à ce style. Le refrain comme les autres est calibré pour faire de l’effet directement. On poursuit toujours avec autant de plaisir pour « Walk the line » qui va faire remuer des culs. Le bien bon riff de Pontus Norgens accompagné par la voix de Jakob donne un duo exemplaire. Encore un single potentiel.
Intro à la AC/DC pour « Thunderball ». Un titre très moderne gavé de synthé et qui comme ses devancières fait un effet bœuf direct. La talk box fait son apparition avec « Reach the sky » et donne des airs de Bon Jovi. Il est fort étonnant de constater que chaque refrain est une vraie pépite qui fait un effet monstre.
Voilà enfin la première ballade « We are one », qui comme on peut s’y attendre, fait très ballade rock FM comme on a pu en écouter durant les 80’s. Malgré tout le résultat est à la hauteur, certes ce n’est pas transcendent mais fort agréable. Petite ambiance à la Scorpions pour « Without you » un mid tempo mélodique, qui devrait plaire au plus grand nombre. Le refrain est magique, un vrai tube, une puissance prête à cartonner sur les ondes.
On reprend le rock plus rythmé avec un « Band of brothers » certes assez conventionnel mais efficace lui aussi. On pourrait croire que c’est un sans faute tant chaque morceau est accrocheur et donne la pêche, car ce n’est pas « Heaven’s closing in » qui me fera dire le contraire. Quel titre ! Jakob réalise une jolie performance : encore réussit.
« Kiss goodbye » va vous faire bouger, avec son rythme endiablé. Un enchaînement de singles potentiels, je n’avais plus entendu ça depuis Pink Cream 69. Ce ‘Sweet Trade’ est du bonheur en galette. Pour finir rien de tel qu’une ballade. « Shine » se veut elle aussi assez 80’s, comme les maîtres du genre nous en on pondu durant leurs heures de gloires. Une bien bonne façon de finir un album extraordinaire.
Conclusion : avec ce deuxième album The Poodles réinvente le hard FM. Une galette qui peut être appréciée par les fans de hard comme la plus large tranche d’un public lambda rock.
Vous avez aimé Bon Jovi, Def Lepards, voilà enfin leurs dignes remplaçants !!
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de The Poodles
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