Chronique
DR SIN - BRAVO / Dynamo records 2007
Ce groupe Brésilien fort peu connu en France débarque avec son nouvel album : Bravo (à traduire par ‘énerver’ en Portugais), 16 nouvelles compos prêtes à en découdre. Partons à la rencontre de ce combo majeur de la scène Brésilienne.
Intro planante au synthé avant que l’armada débarque. « Drowning in sin » se veut un excellent titre mettant bien en valeur les qualités de ce power trio. Mélangeant un métal percutant et technique à des relents hard à la Extreme / Mr Big on peut y découvrir de supers bons musiciens, les solos de Edu Ardanuy sont terribles, techniques et très personnels, le jeu de Ivan Busic à la batterie est exceptionnel. Un petit break puis un invité fait son apparition : Gus Monsanto (Adagio / Lightseekers) pour un court passage intensif, hargneux et tout bonnement excellent ! « Nomad » continue sur un mid tempo bien dans l’esprit des groupes cités plus haut. Franchement le niveau des musiciens est affolant et surtout super bien mis en valeur dans des passages exquis.
Une très jolie intro au piano pour « Empty room » la première ballade qui permet à Andria Busic de nous éblouir de son chant prenant. Un doux moment court mais fort intense ! Un gros big rock à la Van Halen pour « Freedom » débarque et là on se prend au jeu si facilement que le sourire ne nous quitte plus des lèvres. Une très, très agréable découverte que voici.
« Behind enemy lies » commence après une petite narration sur des bases plutôt prog où la basse de Andria se fait bien entendre! Encore une fois le groupe nous propose un condensé de ses qualités livrées en musique avec un talent fou. Interlude acoustique et orientale avec « Taj Mahal » qui rappelle les exercices de Led Zeppelin avant de filer sur « Celebration song » un titre entre Led Zep et Skid Row qui là aussi fait beaucoup de bien. Le chant de Andria se rapproche de celui de Robert Plant (sans le copier) ce qui donne beaucoup de chaleur.
« Hail ceasar » pourrait rappeller Mr Big par l’association Basse guitare très technique comme Billy Sheehan et Paul Gilbert nous les servaient. A la, la ce Edu quel jeu formidable !!
« Signs » continue sur la même lancée mais en bien plus rythmé. Un titre toujours aussi plaisant où l’ombre des grands du big rock plane.
Un petit titre acoustique histoire de se calmer avec « c’est la vie ». Sympa mais sans grand plus elle respire bien les titres à la Brésilienne. Andria rappelle Geedy Lee (Rush) avec sa voix haut perchée. Le métal reprend ses droits pour un « dream zone » pas très facile d’accès. Un titre pris entre passage prog et calme : pas évident.
Par contre « Life is crazy » se veut plus facile sans pour autant tomber dans le commercial. Un bon refrain mélodique donne des envies de chanter. Un bon single potentiel. « Full throttle » entame un bon riff heavy puis le groupe nous délivre un bon gros titre remuant que n’aurait pas renié David Lee Roth. Là encore un super passage plein d’entrain qui fait plaisir. L’Ecosse s’ouvre au Brésil avec « Wake up call » et son intro folklorique celtique reprise à la guitare. Un énième mid tempo plein de feeling et de technique, pour encore un carton plein !
Le piano se réinvite en l’honneur de « Think it over ». Une deuxième ballade sublime qui nous replonge dans les 80’s avec son refrain plein de chœurs qui fait effet immédiatement. Encore un exercice réussit. On termine cette longue galette avec « Welcome to the show », un hard rock décapant qui finit comme il se doit cet album fort plaisant !
Conclusion : voilà une excellente découverte ! Dr Sin montre un talent et des idées lumineuses qui plairont aux fans d’Extreme, Van Halen et Mr Big. Un album que je conseille grandement à tous ceux qui voudront changer un peu d’air (il devrait sortir en Europe d’ici la fin de l’année). Un véritable bonheur musical !!
Intro planante au synthé avant que l’armada débarque. « Drowning in sin » se veut un excellent titre mettant bien en valeur les qualités de ce power trio. Mélangeant un métal percutant et technique à des relents hard à la Extreme / Mr Big on peut y découvrir de supers bons musiciens, les solos de Edu Ardanuy sont terribles, techniques et très personnels, le jeu de Ivan Busic à la batterie est exceptionnel. Un petit break puis un invité fait son apparition : Gus Monsanto (Adagio / Lightseekers) pour un court passage intensif, hargneux et tout bonnement excellent ! « Nomad » continue sur un mid tempo bien dans l’esprit des groupes cités plus haut. Franchement le niveau des musiciens est affolant et surtout super bien mis en valeur dans des passages exquis.
Une très jolie intro au piano pour « Empty room » la première ballade qui permet à Andria Busic de nous éblouir de son chant prenant. Un doux moment court mais fort intense ! Un gros big rock à la Van Halen pour « Freedom » débarque et là on se prend au jeu si facilement que le sourire ne nous quitte plus des lèvres. Une très, très agréable découverte que voici.
« Behind enemy lies » commence après une petite narration sur des bases plutôt prog où la basse de Andria se fait bien entendre! Encore une fois le groupe nous propose un condensé de ses qualités livrées en musique avec un talent fou. Interlude acoustique et orientale avec « Taj Mahal » qui rappelle les exercices de Led Zeppelin avant de filer sur « Celebration song » un titre entre Led Zep et Skid Row qui là aussi fait beaucoup de bien. Le chant de Andria se rapproche de celui de Robert Plant (sans le copier) ce qui donne beaucoup de chaleur.
« Hail ceasar » pourrait rappeller Mr Big par l’association Basse guitare très technique comme Billy Sheehan et Paul Gilbert nous les servaient. A la, la ce Edu quel jeu formidable !!
« Signs » continue sur la même lancée mais en bien plus rythmé. Un titre toujours aussi plaisant où l’ombre des grands du big rock plane.
Un petit titre acoustique histoire de se calmer avec « c’est la vie ». Sympa mais sans grand plus elle respire bien les titres à la Brésilienne. Andria rappelle Geedy Lee (Rush) avec sa voix haut perchée. Le métal reprend ses droits pour un « dream zone » pas très facile d’accès. Un titre pris entre passage prog et calme : pas évident.
Par contre « Life is crazy » se veut plus facile sans pour autant tomber dans le commercial. Un bon refrain mélodique donne des envies de chanter. Un bon single potentiel. « Full throttle » entame un bon riff heavy puis le groupe nous délivre un bon gros titre remuant que n’aurait pas renié David Lee Roth. Là encore un super passage plein d’entrain qui fait plaisir. L’Ecosse s’ouvre au Brésil avec « Wake up call » et son intro folklorique celtique reprise à la guitare. Un énième mid tempo plein de feeling et de technique, pour encore un carton plein !
Le piano se réinvite en l’honneur de « Think it over ». Une deuxième ballade sublime qui nous replonge dans les 80’s avec son refrain plein de chœurs qui fait effet immédiatement. Encore un exercice réussit. On termine cette longue galette avec « Welcome to the show », un hard rock décapant qui finit comme il se doit cet album fort plaisant !
Conclusion : voilà une excellente découverte ! Dr Sin montre un talent et des idées lumineuses qui plairont aux fans d’Extreme, Van Halen et Mr Big. Un album que je conseille grandement à tous ceux qui voudront changer un peu d’air (il devrait sortir en Europe d’ici la fin de l’année). Un véritable bonheur musical !!
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
Site du groupe : site officiel de Dr.Sin
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