Chronique
PAGAN'S MIND - GOD'S EQUATION / Limb Music 2007
Nouvel album de nos fans de la porte des étoiles, ce God’s Equation arrive après que Jorn Viggo Lofstad soit parti en tournée avec Jorn Lande. Y aura-t-il une évolution dans le style musical?
L’album débute avec « The conception » : battements de cœurs, guitare acoustique et jolie mélodie pour nous attirer dans ce nouvel univers. Immédiatement c’est le title track qui arrive. Ce « God’s equation » se pointe avec force et vigueur dans un esprit prog pur porc, et ce pendant huit minutes. Pas de chichis, le combo envoi la sauce directement mélangeant technique, mélodie et vivacité. Les tempos se mélangent et s’enchainent sans que cela ne choque. Bien vu ! Quelques bruits un peu électroniques et spatiaux pour « United alliance » sur lesquels le batteur vient un peu se faire plaisir. Sans oublier Jorn qui se lâche à la guitare. Niveau chant cela rappelle le rock mélodique des années 80, proche de Survivor. Pour « Atomic firelight » nous avons droit à une déferlante à la batterie et à la basse. Ca pulse un max, le chant se voit appliquer un effet qui embelli ce morceau bien agressif et bien poussé !
Aller, une petite reprise de David Bowie avec la chanson « Hallo spaceboy ». Que dire si ce n’est bon choix. En effet, les morceaux de David Bowie sont connus pour être assez bizarres et allumés ; ce qui colle bien à Pagan’s Mind et à leur musique. De plus la reprise est pas mal du tout. Le début de « Evolution exceed » arrive comme un ovni avec des sons électroniques et des breaks à tout va. La suite ? Un enchainement de tempos et de chants variés, accompagnés de chœurs. A l’écoute cela peut paraître étrange mais la structure du morceau est énorme. Sans parler de la performance au chant qui est énorme.
Rien que le titre donne envie : « Alien Kamikaze ». Et effectivement le morceau balance man ! Un titre bien puissant qui te fera péter un plomb car tu sauteras de partout. Les chœurs guerriers appuyant le chant : ouf ! Sans oublier le duel batterie / guitare qui met une méga claque dans la face. Une bombe ce titre ; sur scène ça risque de faire bobo la tête (héhé). Pour « Painted skies » on clame un peu le jeu et on revient dans un mid tempo progressif. Il le fallait vu le speed du morceau d’avant. Sons électroniques pour lancer le « Spirit starcruiser ». Le voyage est lancé. La ligne de chant une nouvelle fois est monstrueuse.
Petite interlude avec « Farewell ». On a l’impression d’être perdu dans l’immensité de l’espace, admirant ce grand vide rempli d’étoiles. Deux jolies minutes qui annoncent le dernier morceau « Osiris’ triumphant return ». Titre qui arrive d’une manière bien sombre. On pourrait penser que la fin est proche, un peu comme le thème de Darth Vader. La puissance du chant se greffe une nouvelle fois parfaitement à cette musique à l’ambiance lourde et pesante. Mais la vivacité de l’ensemble reste de mise et c’est fort agréable.
Conclusion : un nouvel album bien bon, et qui envoie bien. Les musiciens sont carrés, le chanteur monstrueux. Un album qui ravira les fans du groupe, les fans de prog et les autres comme moi qui ne sont pas fans de prog mais qui aime la bonne musique et qui apprécient le travail et l’efficacité des musiciens.
L’album débute avec « The conception » : battements de cœurs, guitare acoustique et jolie mélodie pour nous attirer dans ce nouvel univers. Immédiatement c’est le title track qui arrive. Ce « God’s equation » se pointe avec force et vigueur dans un esprit prog pur porc, et ce pendant huit minutes. Pas de chichis, le combo envoi la sauce directement mélangeant technique, mélodie et vivacité. Les tempos se mélangent et s’enchainent sans que cela ne choque. Bien vu ! Quelques bruits un peu électroniques et spatiaux pour « United alliance » sur lesquels le batteur vient un peu se faire plaisir. Sans oublier Jorn qui se lâche à la guitare. Niveau chant cela rappelle le rock mélodique des années 80, proche de Survivor. Pour « Atomic firelight » nous avons droit à une déferlante à la batterie et à la basse. Ca pulse un max, le chant se voit appliquer un effet qui embelli ce morceau bien agressif et bien poussé !
Aller, une petite reprise de David Bowie avec la chanson « Hallo spaceboy ». Que dire si ce n’est bon choix. En effet, les morceaux de David Bowie sont connus pour être assez bizarres et allumés ; ce qui colle bien à Pagan’s Mind et à leur musique. De plus la reprise est pas mal du tout. Le début de « Evolution exceed » arrive comme un ovni avec des sons électroniques et des breaks à tout va. La suite ? Un enchainement de tempos et de chants variés, accompagnés de chœurs. A l’écoute cela peut paraître étrange mais la structure du morceau est énorme. Sans parler de la performance au chant qui est énorme.
Rien que le titre donne envie : « Alien Kamikaze ». Et effectivement le morceau balance man ! Un titre bien puissant qui te fera péter un plomb car tu sauteras de partout. Les chœurs guerriers appuyant le chant : ouf ! Sans oublier le duel batterie / guitare qui met une méga claque dans la face. Une bombe ce titre ; sur scène ça risque de faire bobo la tête (héhé). Pour « Painted skies » on clame un peu le jeu et on revient dans un mid tempo progressif. Il le fallait vu le speed du morceau d’avant. Sons électroniques pour lancer le « Spirit starcruiser ». Le voyage est lancé. La ligne de chant une nouvelle fois est monstrueuse.
Petite interlude avec « Farewell ». On a l’impression d’être perdu dans l’immensité de l’espace, admirant ce grand vide rempli d’étoiles. Deux jolies minutes qui annoncent le dernier morceau « Osiris’ triumphant return ». Titre qui arrive d’une manière bien sombre. On pourrait penser que la fin est proche, un peu comme le thème de Darth Vader. La puissance du chant se greffe une nouvelle fois parfaitement à cette musique à l’ambiance lourde et pesante. Mais la vivacité de l’ensemble reste de mise et c’est fort agréable.
Conclusion : un nouvel album bien bon, et qui envoie bien. Les musiciens sont carrés, le chanteur monstrueux. Un album qui ravira les fans du groupe, les fans de prog et les autres comme moi qui ne sont pas fans de prog mais qui aime la bonne musique et qui apprécient le travail et l’efficacité des musiciens.
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
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