Chronique
AUSPEX - RESOLUTIO / Thundering records 2007
Fondé en 2001 suite à la rencontre de deux amis passionnés de musique d’orchestre et de metal, voilà que peu de temps après la sortie de leur première démo « Mysteries of the stars » sortie entre 2005 et 2006, le groupe nous propose son premier album de metal symphonique. On notera bien évidemment le fait que ce groupe est français, de Grenoble plus exactement.
L’album débute avec la traditionnelle intro, ici nommée « Subjective architecture ». Une intro avec une voix féminine et une ambiance un peu prog avec une montée qui me rappelle Fairyland et Elisa C. Martin.
Des chœurs et une guitare qui envoient pour un titre rapide qu’est « Time to make a stand ». Ca pulse bien, Frédéric derrière ses fûts se fait bien plaisir. Une petite nappe de clavier vient agrémenter la musique qui se voit être bien porteuse et agréable à écouter. On continue sur la même lancée avec « Theater of pain » qui entre breaks, solos guitares, et passages chantés par Elodie ne nous laisse pas le temps de nous reposer d’un brin. Aller si, sur un passage où la musique se calme 15sec. Pourquoi s’arrêter alors que l’on est lancé. Le trip continu à peu près de la même manière sur « Lost academy », avec un couplet à l’aspect plu progressif ce qui choc un peu à mon goût pour revenir vers un passage beaucoup plus rapide.
Voici le title track de la première démo « Mysteries of the stars ». Je dirai que le morceau évolue entre du Magica et du Edenbridge. Un mélange surprenant au quel on prend goût. C’est original et c’est bien. L’arrivée de « Phantoms » se fait plus agressive que les morceaux précédents. Un nouveau changement qui fait du bien. La musique s’emporte par la suite, suivit du chant d’Elodie que l’on croirait un peu décalé par moments.
Changement de donne avec « Celestia » qui arrive avec douceur et calme. Que c’est agréable après ce déluge de notes. Un morceau plus épique, déjà par sa durée (presque 8min) et aussi par sa structure ; habituelle pour ce style musical.
Un petit titre à ralonge pour « A king’s crown for a wealthy weak ». Petite nouveauté, quelques passages narrés, toujours pas Elodie, et une voix plus posée qui donne un autre mouvement à cette musique toujours aussi remplie et rapide. Pour conclure cette rondelle, c’est « Rise » qui s’en charge. L’intro se fait de façon orchestrale, et c’est superbe ! L’enchaînement se fait sans problèmes, certainement le meilleur morceau de l’album.
Conclusion : un premier album bien sympathique. La production est correcte mais cela sonne un peu trop confus par moments. Niveau musique, c’est du rapide, du mélodique, mais parfois il y en a un peu trop et pour tout apprécier cela n’est pas évident. Un premier essai conclut qui laisse un horizon dégager pour ce groupe français évoluant entre du Rhapsody, du Magica et du Edenbridge. A suivre…
L’album débute avec la traditionnelle intro, ici nommée « Subjective architecture ». Une intro avec une voix féminine et une ambiance un peu prog avec une montée qui me rappelle Fairyland et Elisa C. Martin.
Des chœurs et une guitare qui envoient pour un titre rapide qu’est « Time to make a stand ». Ca pulse bien, Frédéric derrière ses fûts se fait bien plaisir. Une petite nappe de clavier vient agrémenter la musique qui se voit être bien porteuse et agréable à écouter. On continue sur la même lancée avec « Theater of pain » qui entre breaks, solos guitares, et passages chantés par Elodie ne nous laisse pas le temps de nous reposer d’un brin. Aller si, sur un passage où la musique se calme 15sec. Pourquoi s’arrêter alors que l’on est lancé. Le trip continu à peu près de la même manière sur « Lost academy », avec un couplet à l’aspect plu progressif ce qui choc un peu à mon goût pour revenir vers un passage beaucoup plus rapide.
Voici le title track de la première démo « Mysteries of the stars ». Je dirai que le morceau évolue entre du Magica et du Edenbridge. Un mélange surprenant au quel on prend goût. C’est original et c’est bien. L’arrivée de « Phantoms » se fait plus agressive que les morceaux précédents. Un nouveau changement qui fait du bien. La musique s’emporte par la suite, suivit du chant d’Elodie que l’on croirait un peu décalé par moments.
Changement de donne avec « Celestia » qui arrive avec douceur et calme. Que c’est agréable après ce déluge de notes. Un morceau plus épique, déjà par sa durée (presque 8min) et aussi par sa structure ; habituelle pour ce style musical.
Un petit titre à ralonge pour « A king’s crown for a wealthy weak ». Petite nouveauté, quelques passages narrés, toujours pas Elodie, et une voix plus posée qui donne un autre mouvement à cette musique toujours aussi remplie et rapide. Pour conclure cette rondelle, c’est « Rise » qui s’en charge. L’intro se fait de façon orchestrale, et c’est superbe ! L’enchaînement se fait sans problèmes, certainement le meilleur morceau de l’album.
Conclusion : un premier album bien sympathique. La production est correcte mais cela sonne un peu trop confus par moments. Niveau musique, c’est du rapide, du mélodique, mais parfois il y en a un peu trop et pour tout apprécier cela n’est pas évident. Un premier essai conclut qui laisse un horizon dégager pour ce groupe français évoluant entre du Rhapsody, du Magica et du Edenbridge. A suivre…
Critique : Lionel
Note : 7/10
Site du groupe : Site officiel de Auspex
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