Chronique
ALICE COOPER - ALONG CAME A SPIDER / Spv 2008
Le légende vivante Alice Cooper revient après 3 ans d’absence nous proposer son 25ème album, ainsi qu’une nouvelle signature chez Spv.
Une petite intro style film d’horreur des 70’s débute l’histoire, puis un riff rock débute. « Prologue / I know where you live » nous permet de nous familiariser avec le nouveau style du maître. Une sorte de rock à l’ancienne saupoudré de modernité qui vient tout gâcher. Heureusement le refrain est extra. Un début des plus mitigé qui me déçoit. « Vengence is mine » paraît un peu mieux, plus lourde elle se rapprocherait plus des albums Brutal planet / Dragontown. Un bon titre sans grand plus tout de même. A noter la présence de Slash pour le solo.
Attention drame en vue « Wake the dead » sonnerait presque comme du rock des 60’s avec un son indus. Une abomination musicale indigne d’un tel artiste. J’en vomirais presque. Malheureusement pour moi la suite ne me réjouit pas plus « Catch me if you can » débute mal, heureusement le refrain la sauve. Mitigé mais ça passe.
« (In touch with) your feminine side », est dans la veine plus rock entamé dans son précédent album. Sans être exceptionnelle, elle fait quand même plaisir. « Wrapped in silk », débute pas trop mal. Toujours pareil un rock dans la ligné de ses albums du début des 70’s mais avec un manque cruel d’inspiration.
Place à la ballade avec « Killed by love » qui ressemblerait presque à du Beatles. Bon j’ai rien contre les Beatles mais quand même… faut pas pousser. Un moment étonnant qui se laisse écouter sans procurer en vous d’immenses sensations. Avec « I’m hungry » on reprend l’ambiance rock dans un mid tempo, bien sympa mais le cœur n’y est pas aujourd’hui tellement je suis déçu d’un tel album.
Passage plus moderne avec la heavy « The one that got away ». Toujours sympa mais toujours pas transcendant. Dommage, bien dommage de la part de cette légende.
Deuxième ballade au piano cette fois ci avec « Salvation ». Bien meilleure que la première elle est peut être même le meilleur titre de l’album tout simplement.
On termine (enfin me dis je avec le cœur serré) avec « I’m the spider / Epilogue ». Un mid tempo dans le style repend qui glace le sang. Un titre plutôt réussit mais bon… bien trop dommage…
Conclusion : est ce l’album de trop ? D’un certain point de vue oui. A l’écoute de cet album Alice Cooper est allé dans une direction des moins réussie. Une énorme décéption qui j’espère va vite être rétablie, on ne peut pas finir sa carrière sur un tel échec !
Une petite intro style film d’horreur des 70’s débute l’histoire, puis un riff rock débute. « Prologue / I know where you live » nous permet de nous familiariser avec le nouveau style du maître. Une sorte de rock à l’ancienne saupoudré de modernité qui vient tout gâcher. Heureusement le refrain est extra. Un début des plus mitigé qui me déçoit. « Vengence is mine » paraît un peu mieux, plus lourde elle se rapprocherait plus des albums Brutal planet / Dragontown. Un bon titre sans grand plus tout de même. A noter la présence de Slash pour le solo.
Attention drame en vue « Wake the dead » sonnerait presque comme du rock des 60’s avec un son indus. Une abomination musicale indigne d’un tel artiste. J’en vomirais presque. Malheureusement pour moi la suite ne me réjouit pas plus « Catch me if you can » débute mal, heureusement le refrain la sauve. Mitigé mais ça passe.
« (In touch with) your feminine side », est dans la veine plus rock entamé dans son précédent album. Sans être exceptionnelle, elle fait quand même plaisir. « Wrapped in silk », débute pas trop mal. Toujours pareil un rock dans la ligné de ses albums du début des 70’s mais avec un manque cruel d’inspiration.
Place à la ballade avec « Killed by love » qui ressemblerait presque à du Beatles. Bon j’ai rien contre les Beatles mais quand même… faut pas pousser. Un moment étonnant qui se laisse écouter sans procurer en vous d’immenses sensations. Avec « I’m hungry » on reprend l’ambiance rock dans un mid tempo, bien sympa mais le cœur n’y est pas aujourd’hui tellement je suis déçu d’un tel album.
Passage plus moderne avec la heavy « The one that got away ». Toujours sympa mais toujours pas transcendant. Dommage, bien dommage de la part de cette légende.
Deuxième ballade au piano cette fois ci avec « Salvation ». Bien meilleure que la première elle est peut être même le meilleur titre de l’album tout simplement.
On termine (enfin me dis je avec le cœur serré) avec « I’m the spider / Epilogue ». Un mid tempo dans le style repend qui glace le sang. Un titre plutôt réussit mais bon… bien trop dommage…
Conclusion : est ce l’album de trop ? D’un certain point de vue oui. A l’écoute de cet album Alice Cooper est allé dans une direction des moins réussie. Une énorme décéption qui j’espère va vite être rétablie, on ne peut pas finir sa carrière sur un tel échec !
Critique : Guillaume
Note : 5/10
Site du groupe : site officiel d'Alice Cooper
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