Chronique
ZEBRAHEAD - PHOENIX / Spv Records 2008
Et de trois. C’est ce que nous propose le combo américain de Zebrahead avec ce nouvel et donc troisième opus qu’est Phoenix. Ils renaissent de leurs cendres ? Je ne pense pas, mais musicalement nous avons droit effectivement à un gain de fraîcheur. Pourtant chroniquer ce style de musique sur le site n’est pas à l’ordre du jour mais force est de constater après la première, et les écoutes suivantes que j’ai pris une belle baffe avec cet album.
Pour ceux qui ne le savent pas (ndlr : comme moi avant de recevoir ce promo), Zebrahead évolue dans un univers punk rock, punk ska. Vous me direz « Oula !!! ». Le groupe a quand même de sérieuses références en ayant tourné avec des groupes comme Green Day ou bien encore The Offsprings. Rien que ça.
Ce n’est pas ma tasse de thé habituellement mais dès le début le quintet m’a scotché. Bien évidemment il y a toujours ce petit commercial, mais bon quelle formation actuellement ne l’a pas ? On peut les compter sur les doigts de la main à mon avis. Niveau musique le groupe n’a rien à envier à des groupes comme Powerman 5000, The Offsprings, Green Day, Blink 182 et autres formations américaines tendances adolescence ; car bien au contraire c’est un punk rock bien allumé qui est proposé.
Dès le premier morceau « HMP » on a envie de sauter de partout, pogoter non stop tellement ça pulse. Les gars on certainement pris une surdose de Red Bull. Et avec les morceaux suivants cela ne va pas en s’arrangeant. En riffs très rock et rythme endiablé, le tout appuyé par un chant monstrueux, des chœurs dévastateurs : un vrai régal.
Mais attention, le groupe ne se contente pas de rester dans cette déferlante rythmée et bien savoureuse. Non, ils nous proposent plus avec des titres comme la piste 10 par exemple composée de 3 parties :
Mike Dexter is a God / Mike Dexter is a Role Model / Mike Dexter is an Asshole.
Quoi de plus avec ce morceau ? Et c’est une orientation punk ska qui prend le dessus, ce qui varie grandement les plaisirs avec un chant ‘scrathé ‘ et posé.
Mais ce n’est pas tout, nous avons aussi droit à des titres plus softs et mid tempo comme par exemple avec « Be careful what you wish for » ou « Two wrongs don’t make a right, but three rights make a left ».
Avec tout ça, le groupe ne nous gonfle pas à un seul moment par la répétition du style de musique / riffs de ses 16 pistes que contient ce Phoenix. Un mélange savoureux et particulièrement détonnant qui risque de statisfaire l’appétit de plus d’un d’entre vous, dont le mien qui l’a déjà digéré et qui en redemande. Une pure bombe qui se doit de dynamiter votre chaîne hi-fi et vos oreilles.
Track liste : HMP / Hell Yeah ! / Just the tip / Mental health / The juggernauts / Death by disco / Be careful what you wish for / Morse code for suckers / Ignite / Mike Dexter / The junkie and the halo / Brixton – 13. Hit the ground / Two wrongs don’t make a right, but three rights make a left / All for none and none for all / Sorry, but your friends are hot
Pour ceux qui ne le savent pas (ndlr : comme moi avant de recevoir ce promo), Zebrahead évolue dans un univers punk rock, punk ska. Vous me direz « Oula !!! ». Le groupe a quand même de sérieuses références en ayant tourné avec des groupes comme Green Day ou bien encore The Offsprings. Rien que ça.
Ce n’est pas ma tasse de thé habituellement mais dès le début le quintet m’a scotché. Bien évidemment il y a toujours ce petit commercial, mais bon quelle formation actuellement ne l’a pas ? On peut les compter sur les doigts de la main à mon avis. Niveau musique le groupe n’a rien à envier à des groupes comme Powerman 5000, The Offsprings, Green Day, Blink 182 et autres formations américaines tendances adolescence ; car bien au contraire c’est un punk rock bien allumé qui est proposé.
Dès le premier morceau « HMP » on a envie de sauter de partout, pogoter non stop tellement ça pulse. Les gars on certainement pris une surdose de Red Bull. Et avec les morceaux suivants cela ne va pas en s’arrangeant. En riffs très rock et rythme endiablé, le tout appuyé par un chant monstrueux, des chœurs dévastateurs : un vrai régal.
Mais attention, le groupe ne se contente pas de rester dans cette déferlante rythmée et bien savoureuse. Non, ils nous proposent plus avec des titres comme la piste 10 par exemple composée de 3 parties :
Mike Dexter is a God / Mike Dexter is a Role Model / Mike Dexter is an Asshole.
Quoi de plus avec ce morceau ? Et c’est une orientation punk ska qui prend le dessus, ce qui varie grandement les plaisirs avec un chant ‘scrathé ‘ et posé.
Mais ce n’est pas tout, nous avons aussi droit à des titres plus softs et mid tempo comme par exemple avec « Be careful what you wish for » ou « Two wrongs don’t make a right, but three rights make a left ».
Avec tout ça, le groupe ne nous gonfle pas à un seul moment par la répétition du style de musique / riffs de ses 16 pistes que contient ce Phoenix. Un mélange savoureux et particulièrement détonnant qui risque de statisfaire l’appétit de plus d’un d’entre vous, dont le mien qui l’a déjà digéré et qui en redemande. Une pure bombe qui se doit de dynamiter votre chaîne hi-fi et vos oreilles.
Track liste : HMP / Hell Yeah ! / Just the tip / Mental health / The juggernauts / Death by disco / Be careful what you wish for / Morse code for suckers / Ignite / Mike Dexter / The junkie and the halo / Brixton – 13. Hit the ground / Two wrongs don’t make a right, but three rights make a left / All for none and none for all / Sorry, but your friends are hot
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site officiel de Zebrahead
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