Interview
KARPATHIAN RELICT (2023) - Groupe (Complet)
Les Ukraino-Polonais de Karpathian Relict viennent de sortir leur troisième album « Never be After » un excellent disque de tech/death. Le groupe jouait au Mennecy Metal Fest où nous avons eu l’opportunité de les interviewer.
« Quand et comment est né Karpathian Relict ? »
« Vers 2006 en Ukraine. Les deux membres qui ont fondé le groupe ont ensuite migré en Pologne. Là il y a eu un nouveau line-up. »
« Est-ce que vous vous considérez comme un groupe tech/death ? »
« Nous l’étions à l’origine mais maintenant nous sonnons un peu différemment. Nous sommes un groupe metal, point. »
« Chez vous la technique est au service des morceaux. Ce n’est pas la technique pour la technique comme souvent chez les groupes tech/death. »
« C’est un très beau compliment que tu nous fais. Les morceaux doivent être bons. C’est cela qui compte, pas la technique. »
« Il y a aussi des éléments heavy, thrash, black dans ce que vous faites. »
« Nous aimons plein de styles musicaux différents. Nous les incorporons à notre musique. »
« Vous aimez aussi d’autres choses que le metal ? »
« Oui nous aimons certaines choses dans le jazz, dans la musique électronique. Nous pouvons écouter de la pop aussi. »
« Vous semblez super heureux sur scène. »
« Nous le sommes. Nous ne pourrions pas jouer une musique que nous n’aimons pas. Nous faisons cette musique par passion. Il n’y a rien de plus beau que de voir le public qui s’éclate lors de tes shows. Il y a des groupes en Pologne qui ont l’air très sérieux sur scène et c’est un peu ennuyeux à vrai dire. »
« Il y a une tradition pour le death/black en Pologne. »
« C’est possible. C’est évident que le temps souvent gris joue sur l’atmosphère de ta musique. Tout comme le fait d’être dans un pays post-communiste. Le black est très populaire en Pologne. »
« Vous avez d’autres projets musicaux en dehors du groupe ? »
« Oui des projets black. »
« Le nom du groupe vient j’imagine des Carpathes ? »
« Oui nous vivons dans cette région. Dans cette partie des Carpathes entre la Pologne, l’Ukraine et la Slovaquie. »
« Certains d’entre vous ont encore de la famille en Ukraine. Comment vivez-vous la situation actuelle ? »
« Deux des morceaux de notre nouvel album « Never be after » qui vient tout juste de sortir parlent de l’Ukraine mais pas de la guerre. Forcément ce qui se passe là-bas a un impact sur nous. Nous parlons aussi dans nos textes de comment l’Histoire, malheureusement, se répète. »
« Tous vos albums sont sur le label français MusikÖ_Eye. Comment cela se passe-t-il avec eux ? »
« Nous sommes très contents de ce label. Ils font du super boulot. Nous avons une super relation avec eux. Ils sont comme une famille pour nous. »
« Vous venez de donner vos tous premiers concerts en France au Mennecy metal fest. Vous rejouerez bientôt en France ? »
« On l’espère. »
« Les gens ont vraiment apprécié votre concert. »
« Oui et ce n’est peut-être pas si étonnant que cela car la France est le pays où nous sommes le plus écoutés au Monde après les Etats-Unis. »
« Vous dégagez une vraie unité sur scène. »
« C’est très important pour nous. »
« Vous avez dit être un groupe qui n’a pas d’énormes ambitions. Pourquoi cela ? »
« Nous avons des ambitions et nous aimerions grossir bien sûr mais il y a eu tant de groupes qui faisaient de la super musique et qui ont splitté que cela incite à une certaine modestie. »
« Quand et comment est né Karpathian Relict ? »
« Vers 2006 en Ukraine. Les deux membres qui ont fondé le groupe ont ensuite migré en Pologne. Là il y a eu un nouveau line-up. »
« Est-ce que vous vous considérez comme un groupe tech/death ? »
« Nous l’étions à l’origine mais maintenant nous sonnons un peu différemment. Nous sommes un groupe metal, point. »
« Chez vous la technique est au service des morceaux. Ce n’est pas la technique pour la technique comme souvent chez les groupes tech/death. »
« C’est un très beau compliment que tu nous fais. Les morceaux doivent être bons. C’est cela qui compte, pas la technique. »
« Il y a aussi des éléments heavy, thrash, black dans ce que vous faites. »
« Nous aimons plein de styles musicaux différents. Nous les incorporons à notre musique. »
« Vous aimez aussi d’autres choses que le metal ? »
« Oui nous aimons certaines choses dans le jazz, dans la musique électronique. Nous pouvons écouter de la pop aussi. »
« Vous semblez super heureux sur scène. »
« Nous le sommes. Nous ne pourrions pas jouer une musique que nous n’aimons pas. Nous faisons cette musique par passion. Il n’y a rien de plus beau que de voir le public qui s’éclate lors de tes shows. Il y a des groupes en Pologne qui ont l’air très sérieux sur scène et c’est un peu ennuyeux à vrai dire. »
« Il y a une tradition pour le death/black en Pologne. »
« C’est possible. C’est évident que le temps souvent gris joue sur l’atmosphère de ta musique. Tout comme le fait d’être dans un pays post-communiste. Le black est très populaire en Pologne. »
« Vous avez d’autres projets musicaux en dehors du groupe ? »
« Oui des projets black. »
« Le nom du groupe vient j’imagine des Carpathes ? »
« Oui nous vivons dans cette région. Dans cette partie des Carpathes entre la Pologne, l’Ukraine et la Slovaquie. »
« Certains d’entre vous ont encore de la famille en Ukraine. Comment vivez-vous la situation actuelle ? »
« Deux des morceaux de notre nouvel album « Never be after » qui vient tout juste de sortir parlent de l’Ukraine mais pas de la guerre. Forcément ce qui se passe là-bas a un impact sur nous. Nous parlons aussi dans nos textes de comment l’Histoire, malheureusement, se répète. »
« Tous vos albums sont sur le label français MusikÖ_Eye. Comment cela se passe-t-il avec eux ? »
« Nous sommes très contents de ce label. Ils font du super boulot. Nous avons une super relation avec eux. Ils sont comme une famille pour nous. »
« Vous venez de donner vos tous premiers concerts en France au Mennecy metal fest. Vous rejouerez bientôt en France ? »
« On l’espère. »
« Les gens ont vraiment apprécié votre concert. »
« Oui et ce n’est peut-être pas si étonnant que cela car la France est le pays où nous sommes le plus écoutés au Monde après les Etats-Unis. »
« Vous dégagez une vraie unité sur scène. »
« C’est très important pour nous. »
« Vous avez dit être un groupe qui n’a pas d’énormes ambitions. Pourquoi cela ? »
« Nous avons des ambitions et nous aimerions grossir bien sûr mais il y a eu tant de groupes qui faisaient de la super musique et qui ont splitté que cela incite à une certaine modestie. »
Critique : Pierre Arnaud
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