Live Report
GOJIRA - Rockstore - Montpellier - 30/4/2012
Ce soir au Rockstore, la scène va vibrer… Les géants Gojira reviennent dans notre chère province pour assourdir nos chers tympans. Ils ne viennent pas seul, un groupe bordelais, des voisins donc, seront de la partie. Le plus connu des groupes français arrive…
Mais avant tout, découverte ce soir de ce groupe Bordelais : Warattah. Pas une grosse claque. Musicalement trop répétitif à mon goût. Le groupe donne néanmoins toute son énergie sur scène dans un set de près de 45 minutes. Mais le public est peu réceptif, clairement venu pour la tête d'affiche. Groupe qui malheureusement ne bénéficie pas d'un bon éclairage, beaucoup trop sombre ou rouge -ce qui est totalement déplaisant si l'on veut faire des photos- mais d'un très bon son. Pas ma tasse de thé donc mais pour les amateurs de pur thrash, Warattah est un groupe à découvrir. A noter que leur premier album "Hatred & Strength" est dans les bacs.
S'en suit 35 minutes de changement de plateau... c'est long !!!
Maintenant on y est… Le public est chaud, hurle, scande « Gojira », décidemment le groupe est plus qu’attendu. Lights off, here we go.
Le Rockstore explose au premier riff de « Space Time ». Le son est lourd, puissant, très puissant. Un déluge de brutalité commandé par les frères Duplantier qui sont en grande forme. Et ce n’est pas la prestation et la forme tenue sur « The Heaviest Matter of the Universe » qui prouvera le contraire.
Le groupe altèrne entre les chansons anciennes comme « Clone » ou « Remembrance » pour revenir à quelque chose de plus récent, notamment tirés de leurs gros succès « From Mars to Sirius » et « The Way of All Flesh », comme "Flying Whales"
Joe Duplantier est très en voix, et Jean-Michel Labadie qui headbang et semble s’en donner à cœur joie. Les lights sont assez sombres, dans le rouge, une ambiance parfaite pour une messe du métal. Gojira cartonne outre atlantique et on sait pourquoi : la puissance pure et franche avec une joie d’être là. Moralité: le public en demande. Circle pit, slams, cinquième membre furtif sur scène, ça reste bon enfant.
Après le vieux « Jam », retour avec des nouveautés !
En effet, le groupe nous livre ici le titre « L’enfant sauvage », nouvel extrait de leur album à venir le 26 juin prochain ! Le moindre qu’on puisse dire c’est que les compos sont toujours autant percutantes, un parpaing de la taille d’un paquebot…
Après de faux adieux, le groupe revient avec deux énormes morceaux pour clore cet évènement : « Vacuity » et « Oroborus » nous achèvent les tympans, les jambes et tout ça dans le sourire…
Maintenant après avoir cherché mon oreille, je rejoins mon acolyte pour boire une bière et bosser un peu. Il me faudra 3 jours pour récupérer de mes acouphènes mais alors mes amis, ce groupe quelle claque en live, quelle claque !!! Ceux qui ne connaissent pas : FONCEZ !!!
Un grand merci à Elo pour sa compagnie à cette soirée et pour sa contribution à ce report ! A bientôt chers lecteurs !
Set List GOJIRA :
1. Space Time
2. The Heaviest matter of the Universe
3. Remembrance
4. Backbone
5. Clone
6. Flying Whales
7. Wisdom Comes
8. Ocean Planet
9. Jam
10. Toxic Garbage Island
11. L’Enfant Sauvage
12. Vacuity
13. Oroborus
Mais avant tout, découverte ce soir de ce groupe Bordelais : Warattah. Pas une grosse claque. Musicalement trop répétitif à mon goût. Le groupe donne néanmoins toute son énergie sur scène dans un set de près de 45 minutes. Mais le public est peu réceptif, clairement venu pour la tête d'affiche. Groupe qui malheureusement ne bénéficie pas d'un bon éclairage, beaucoup trop sombre ou rouge -ce qui est totalement déplaisant si l'on veut faire des photos- mais d'un très bon son. Pas ma tasse de thé donc mais pour les amateurs de pur thrash, Warattah est un groupe à découvrir. A noter que leur premier album "Hatred & Strength" est dans les bacs.
S'en suit 35 minutes de changement de plateau... c'est long !!!
Maintenant on y est… Le public est chaud, hurle, scande « Gojira », décidemment le groupe est plus qu’attendu. Lights off, here we go.
Le Rockstore explose au premier riff de « Space Time ». Le son est lourd, puissant, très puissant. Un déluge de brutalité commandé par les frères Duplantier qui sont en grande forme. Et ce n’est pas la prestation et la forme tenue sur « The Heaviest Matter of the Universe » qui prouvera le contraire.
Le groupe altèrne entre les chansons anciennes comme « Clone » ou « Remembrance » pour revenir à quelque chose de plus récent, notamment tirés de leurs gros succès « From Mars to Sirius » et « The Way of All Flesh », comme "Flying Whales"
Joe Duplantier est très en voix, et Jean-Michel Labadie qui headbang et semble s’en donner à cœur joie. Les lights sont assez sombres, dans le rouge, une ambiance parfaite pour une messe du métal. Gojira cartonne outre atlantique et on sait pourquoi : la puissance pure et franche avec une joie d’être là. Moralité: le public en demande. Circle pit, slams, cinquième membre furtif sur scène, ça reste bon enfant.
Après le vieux « Jam », retour avec des nouveautés !
En effet, le groupe nous livre ici le titre « L’enfant sauvage », nouvel extrait de leur album à venir le 26 juin prochain ! Le moindre qu’on puisse dire c’est que les compos sont toujours autant percutantes, un parpaing de la taille d’un paquebot…
Après de faux adieux, le groupe revient avec deux énormes morceaux pour clore cet évènement : « Vacuity » et « Oroborus » nous achèvent les tympans, les jambes et tout ça dans le sourire…
Maintenant après avoir cherché mon oreille, je rejoins mon acolyte pour boire une bière et bosser un peu. Il me faudra 3 jours pour récupérer de mes acouphènes mais alors mes amis, ce groupe quelle claque en live, quelle claque !!! Ceux qui ne connaissent pas : FONCEZ !!!
Un grand merci à Elo pour sa compagnie à cette soirée et pour sa contribution à ce report ! A bientôt chers lecteurs !
Set List GOJIRA :
1. Space Time
2. The Heaviest matter of the Universe
3. Remembrance
4. Backbone
5. Clone
6. Flying Whales
7. Wisdom Comes
8. Ocean Planet
9. Jam
10. Toxic Garbage Island
11. L’Enfant Sauvage
12. Vacuity
13. Oroborus
Critique : SBM
Date : 30/4/2012
Date : 30/4/2012
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