Live Report
ADAGIO - L’ANTIROUILLE Montpellier : 18/09/06
Nous revoilà en compagnie d’un groupe très apprécié (et encore c’est un faible mot) du webzine (beaucoup plus précisément de votre serviteur) qui nous donne un rendez-vous à ne pas louper à Montpellier le fief de Stephan Forté.
Après quelques petits déboires, le groupe a trouvé refuge dans une petite salle, l’Antirouille, et c’est donc là-bas que nous nous dirigeons en cette fin d’après-midi. Nous avons la chance de pénétrer dans la salle juste après les balances d’Adagio, ce qui nous permet de bien pouvoir profiter des membres du groupe avec qui nous échangeons pas mal de paroles.
Les choses sérieuses vont commencer par un jeune groupe local I Wish qui nous délivre une heure de métal électro qui n’est pas sans rappeler les derniers efforts de Paradise Lost (je pense en fait au One second) voire Rammstein. Scéniquement le trio composé d’un batteur, d’un bassiste et d’un guitariste chanteur (qui dit s’appeler Johnny Hallyday !?) tient sa place. Le bassiste super heureux fait plaisir à voir, jouant décontracté et tout souriant, contrastant avec le guitariste chanteur plus carré et ‘froid’. La musique de ce trio est sympa mais malheureusement à force devient un peu lourde car trop souvent pareil. On ne pourra pas dire que tout cela fut mauvais mais une heure qui au final sera assez longue (surtout quand on attend avec énormément d’envie Adagio !!).
Maintenant finie la rigolade car là c’est du gros qui arrive. Une petite intro bien sombre ouvre la mise à mort, avant que le groupe débarque sur scène avec un « Dominate » d’emblée dévastateur. Le son n’est pas si mauvais pour une petite salle comme celle-ci, le groupe semble en grande forme (malgré la fatigue de certains) et poursuit avec « Terror Jungle » surpuissant.
Un petit tour d’horizon pour dire que Kévin assure toujours aussi divinement bien aux synthés, Eric déchaîné en fait des tonnes et tape sur ses fûts comme si sa vie en dépendait, Frank toujours aussi discret mais diablement efficace, Stephan fort à l’aise assure comme une bête voix black et guitare virtuose et mon ami Gus chante fort bien et n’hésite pas une seconde à faire participer le public qui même s’il est fort peu nombreux répond présent à chaque demande.
Un petit « Second sight » ravi les fans, moi le premier qui n’arrête pas de chanter et de crier au risque d’en perdre la voix (ce qui serai bête car le lendemain j’ai une interview avec la grand Kiko Loureiro), suivi d’un « Fire forever » qui démonte sur scène. Un passage très speed qui fait plaisir au headbanger. On pourra remarquer une chose assez rare mais qui fait un grand plaisir c’est la joie qui ce lit sur leurs visages, leur complicité et aussi la déconne qui règne sur scène.
Moment calme pour mettre en valeur Kévin et Gus avec la ballade « Kissing the crow » fort belle. « Panem & circence » continu ce combat. Quelle puissance délivrée par le groupe et ce Gus qui assure vraiment des parties de chant très loin d’être évidentes (chapeau mon ami).
Moment égoïste avec cette fois un Stephan qui se la joue bluesman avec classe et brio avant un « Seven land of sin » toujours aussi orgasmique (même si je n’est toujours pas cette montée vocale en fin, mais bon je sais maintenant pourquoi !!) interprété comme il se doit avec vraiment beaucoup de virtuosité qui me comble.
Maintenant place à un des hauts moments du groupe oublié à Bellegarde (bouh !!) « From my sleep... to someone else” toujours aussi exquise très bien interprétée par Stephan et Gus.
J’ai bien fait de mettre un caleçon renforcé car là ça devient très dur. Frank prend le devant de la scène pour écœurer quelques personnes de son solo de basse toujours aussi impressionnant.
Maintenant place à une fin très ‘Dominate’ avec « Children of the dead lake » monstrueuse et un « Fame » d’anthologie qui met une dernière gifle au public réellement ravi et comblé.
Vous croyez vraiment que c’est fini… mais non allons il en manque, tout d’abord « In nomine » qui dévaste elle aussi tout sur son passage et bien sûr la reprise du groupe Le « Immigrant song » de Led Zeppelin, qui met le public à terre.
Bref voilà encore un super concert d’Adagio pour moi le meilleur que j’ai vu. Un groupe soudé, uni qui s’est donné à fond avec un plaisir communicatif réel et sincère.
Décidément en plus d’être un grand du métal français Adagio prouve ce soir qu’ils sont aussi grands sur scène (et on n’oublie pas super sympas en dehors). Voilà quelques dernieres discutions avec le groupe avant de repartir sur notre bonne vieille ville d’Arles et encore merci pour ce très bon moment et votre sympathie toute entière.
Après quelques petits déboires, le groupe a trouvé refuge dans une petite salle, l’Antirouille, et c’est donc là-bas que nous nous dirigeons en cette fin d’après-midi. Nous avons la chance de pénétrer dans la salle juste après les balances d’Adagio, ce qui nous permet de bien pouvoir profiter des membres du groupe avec qui nous échangeons pas mal de paroles.
Les choses sérieuses vont commencer par un jeune groupe local I Wish qui nous délivre une heure de métal électro qui n’est pas sans rappeler les derniers efforts de Paradise Lost (je pense en fait au One second) voire Rammstein. Scéniquement le trio composé d’un batteur, d’un bassiste et d’un guitariste chanteur (qui dit s’appeler Johnny Hallyday !?) tient sa place. Le bassiste super heureux fait plaisir à voir, jouant décontracté et tout souriant, contrastant avec le guitariste chanteur plus carré et ‘froid’. La musique de ce trio est sympa mais malheureusement à force devient un peu lourde car trop souvent pareil. On ne pourra pas dire que tout cela fut mauvais mais une heure qui au final sera assez longue (surtout quand on attend avec énormément d’envie Adagio !!).
Maintenant finie la rigolade car là c’est du gros qui arrive. Une petite intro bien sombre ouvre la mise à mort, avant que le groupe débarque sur scène avec un « Dominate » d’emblée dévastateur. Le son n’est pas si mauvais pour une petite salle comme celle-ci, le groupe semble en grande forme (malgré la fatigue de certains) et poursuit avec « Terror Jungle » surpuissant.
Un petit tour d’horizon pour dire que Kévin assure toujours aussi divinement bien aux synthés, Eric déchaîné en fait des tonnes et tape sur ses fûts comme si sa vie en dépendait, Frank toujours aussi discret mais diablement efficace, Stephan fort à l’aise assure comme une bête voix black et guitare virtuose et mon ami Gus chante fort bien et n’hésite pas une seconde à faire participer le public qui même s’il est fort peu nombreux répond présent à chaque demande.
Un petit « Second sight » ravi les fans, moi le premier qui n’arrête pas de chanter et de crier au risque d’en perdre la voix (ce qui serai bête car le lendemain j’ai une interview avec la grand Kiko Loureiro), suivi d’un « Fire forever » qui démonte sur scène. Un passage très speed qui fait plaisir au headbanger. On pourra remarquer une chose assez rare mais qui fait un grand plaisir c’est la joie qui ce lit sur leurs visages, leur complicité et aussi la déconne qui règne sur scène.
Moment calme pour mettre en valeur Kévin et Gus avec la ballade « Kissing the crow » fort belle. « Panem & circence » continu ce combat. Quelle puissance délivrée par le groupe et ce Gus qui assure vraiment des parties de chant très loin d’être évidentes (chapeau mon ami).
Moment égoïste avec cette fois un Stephan qui se la joue bluesman avec classe et brio avant un « Seven land of sin » toujours aussi orgasmique (même si je n’est toujours pas cette montée vocale en fin, mais bon je sais maintenant pourquoi !!) interprété comme il se doit avec vraiment beaucoup de virtuosité qui me comble.
Maintenant place à un des hauts moments du groupe oublié à Bellegarde (bouh !!) « From my sleep... to someone else” toujours aussi exquise très bien interprétée par Stephan et Gus.
J’ai bien fait de mettre un caleçon renforcé car là ça devient très dur. Frank prend le devant de la scène pour écœurer quelques personnes de son solo de basse toujours aussi impressionnant.
Maintenant place à une fin très ‘Dominate’ avec « Children of the dead lake » monstrueuse et un « Fame » d’anthologie qui met une dernière gifle au public réellement ravi et comblé.
Vous croyez vraiment que c’est fini… mais non allons il en manque, tout d’abord « In nomine » qui dévaste elle aussi tout sur son passage et bien sûr la reprise du groupe Le « Immigrant song » de Led Zeppelin, qui met le public à terre.
Bref voilà encore un super concert d’Adagio pour moi le meilleur que j’ai vu. Un groupe soudé, uni qui s’est donné à fond avec un plaisir communicatif réel et sincère.
Décidément en plus d’être un grand du métal français Adagio prouve ce soir qu’ils sont aussi grands sur scène (et on n’oublie pas super sympas en dehors). Voilà quelques dernieres discutions avec le groupe avant de repartir sur notre bonne vieille ville d’Arles et encore merci pour ce très bon moment et votre sympathie toute entière.
Critique : Guillaume
Date : 2006-09-21 10:38:32
Date : 2006-09-21 10:38:32
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