Chronique
ATREYU - CONGREGATION OF THE DAMNED / Roadrunner Records 2009
La première chose qui m’est venue à l’idée quand j’ai entendu le nom de ce groupe c’est : ces mecs là sont fans du film L’histoire sans fin (ndlr : c’est le nom du héro). En me penchant un peu plus sur cette formation je me rends compte qu’elle n’en est pas à son premier essai et à déjà vendu plus de 1,5 millions d’albums et a tourné avec des groupes comme Korn, Alice in Chains, Wolfmother, Slipknot ou encore Linkin Park. Pas mal non ?!
Pour cette nouvelle rondelle, la production a été faite par Bob Marlette (Airbourne, Ozzy Osbourne) et mixé par Rich Costley (System of Down et Rage Against The Machine). Ce qui est assez prometteur il faut le dire.
L’album débute avec « Stop ! Before it’s too late » qui lance une machine bien huilée avec une déferlante à la guitare. Une voix hardcore se met en place sur cette musique heavy rock dans la veine d’un Bullet For My Valentine (BFMV). Avec « Bleeding is a luxury » on entre dans une ambiance percutante, toujours dans la lignée de la première chanson mais avec des chœurs et un refrain au chant plus clair, pour entrer dans un univers musical plus mélodique. Au tour du titre éponyme de retentir dans nos oreilles. Ce « Congregation of the damned » déchire et te fait secouer ta tête à tout va. Ca va faire mal en concert. Prévoyez les minerves ! Une intro un peu à la Muse pour « Coffin nails » avant de se lancer dans un mid tempo à l’ambiance rock alternatif : chant clair, chœurs gutturaux ; un sacré bon mélange.
Arrivée lourde et agressive pour « Black days » qui revient dans une veine proche de BFMV. Un rock macabre et mélodique à la fois. Montée en puissance de la batterie puis de la guitare pour entrer dans un morceau rapide et racé sur « Gallows ». Ici encore, la sauce est parfaitement huilée et se digère avec aisance tout en gardant le côté épicé qui fera titiller nos sens. Un peu de calme pour débuter « Storm to pass », et c’est parti pour du bon rock avec un super refrain. Sons électriques, batterie frappée et cris guerriers pour lancer « You were the king now you’re unconcious ». Un petit break marqué à la batterie et on entre dans un rythme lent et annonciateur de bataille. Un riff lourd et c’est parti pour un peu de rock hardcoresque prenant. Un super titre !
« Insatiable » arrive doucement mais surement avant de nous coller une nouvelle baffe sur la joue de par sa qualité et son dynamisme omniprésent. Un peu de mélodie dans cet univers brutal avec « So wrong ». Un poil d’accalmie ne fait de mal à personne bien au contraire, et ici c’est un mid tempo agressif et mélodique qui est soumis. « Ravenous »… du Arch Enemy ? Non, mais du bon hardcore bien bourrin se met en place au point de faire vibrer la moumoute et les poils du corps. Un peu de metal melodique pour changer de style et continuer à accrocher l’écoute avec « Lonely ». Grosse surprise pour le final, on ne s’y attendait pas du tout, mais voilà que le groupe propose « Wait for you », une super ballade avec deux chanteurs. Que dire si ce n’est quelle est magnifique.
Un sacrée bonne surprise qu’est ce groupe et cet album. Les styles musicaux sont variés, les compos sont bonnes, le son énorme… J’adore !
Pour cette nouvelle rondelle, la production a été faite par Bob Marlette (Airbourne, Ozzy Osbourne) et mixé par Rich Costley (System of Down et Rage Against The Machine). Ce qui est assez prometteur il faut le dire.
L’album débute avec « Stop ! Before it’s too late » qui lance une machine bien huilée avec une déferlante à la guitare. Une voix hardcore se met en place sur cette musique heavy rock dans la veine d’un Bullet For My Valentine (BFMV). Avec « Bleeding is a luxury » on entre dans une ambiance percutante, toujours dans la lignée de la première chanson mais avec des chœurs et un refrain au chant plus clair, pour entrer dans un univers musical plus mélodique. Au tour du titre éponyme de retentir dans nos oreilles. Ce « Congregation of the damned » déchire et te fait secouer ta tête à tout va. Ca va faire mal en concert. Prévoyez les minerves ! Une intro un peu à la Muse pour « Coffin nails » avant de se lancer dans un mid tempo à l’ambiance rock alternatif : chant clair, chœurs gutturaux ; un sacré bon mélange.
Arrivée lourde et agressive pour « Black days » qui revient dans une veine proche de BFMV. Un rock macabre et mélodique à la fois. Montée en puissance de la batterie puis de la guitare pour entrer dans un morceau rapide et racé sur « Gallows ». Ici encore, la sauce est parfaitement huilée et se digère avec aisance tout en gardant le côté épicé qui fera titiller nos sens. Un peu de calme pour débuter « Storm to pass », et c’est parti pour du bon rock avec un super refrain. Sons électriques, batterie frappée et cris guerriers pour lancer « You were the king now you’re unconcious ». Un petit break marqué à la batterie et on entre dans un rythme lent et annonciateur de bataille. Un riff lourd et c’est parti pour un peu de rock hardcoresque prenant. Un super titre !
« Insatiable » arrive doucement mais surement avant de nous coller une nouvelle baffe sur la joue de par sa qualité et son dynamisme omniprésent. Un peu de mélodie dans cet univers brutal avec « So wrong ». Un poil d’accalmie ne fait de mal à personne bien au contraire, et ici c’est un mid tempo agressif et mélodique qui est soumis. « Ravenous »… du Arch Enemy ? Non, mais du bon hardcore bien bourrin se met en place au point de faire vibrer la moumoute et les poils du corps. Un peu de metal melodique pour changer de style et continuer à accrocher l’écoute avec « Lonely ». Grosse surprise pour le final, on ne s’y attendait pas du tout, mais voilà que le groupe propose « Wait for you », une super ballade avec deux chanteurs. Que dire si ce n’est quelle est magnifique.
Un sacrée bonne surprise qu’est ce groupe et cet album. Les styles musicaux sont variés, les compos sont bonnes, le son énorme… J’adore !
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site de Atreyu
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