Chronique
TWILIGHTNING - PLAGUE-HOUSE PUPPET SHOW / SPINEFARM RECORDS 2004
Quel peut bien être cette chose que voici. Aux vues de leur tronche on dirait des jeunes branleurs du style Guns n Roses mais ces finlandais volant sont à mon avis la futur révélation métal des années 2000.
« Plague-house puppet show » nous fait découvrir ce nouveau groupe dans un style heavy mélodique mais avec un quelque chose en plus difficile à décrire. La voix de H.M.I Poyhia est véritablement énorme dans un esprit à la Sébastian Bach (ex Skid Row). Ce phénomène nous en met plein la vue, de même que la paire de gratteux pas manchots et en plus bien ingénieux.Un véritable déluge.
Intro au synthé façon 80’ pour « into treason » puis la voix de H.M.I arrive fracassant tout : quelle présence. Un titre qui me rappelle Survivor avec ces synthés très en avant, une sorte de mélange entre Sonata Arctica et Abba qui cartonne ; quel pied. « The field » débute une nouvelle fois sur une intro très 80’. Cette fois ci H.M.I se rapproche plus d’un Mikaël Kiske en version sur vitaminée, la batterie électronique donne quelques surprises et le refrain lui est tout bonnement sublime : un must se titre. Le solo bizarrement sonne comme du Brian May et la fin un peu sèche nous envoie sur la speed « victim of deceit » qui te donne des envies de bouger ta tête dans tous les sens. Un titre qui envoie des pieds ; rien à redire : putain ces solos énormes !!
« Painting the blues eyes » commence calmement. La ballade de l’album est sublime avec son refrain magique et tellement prenant. Mr Poyhia excelle, une pure petite bombe pour métalleux avertis, et puis quelle voix sur la fin agrhhh !! « In the fervor’s frontier » commence encore une fois avec le synthé puis se poursuit dans un esprit heavy électro mid tempo un peu comme le ‘Turbo’ de Judas Priest une nouvelle fois aucune faute de goût : agréable et rafraîchissante à l’image du reste de l’album.
« fever pitch » débute cette fois ci sur des guitares un peu space, puis continue en un mid speed tonitruant un titre proche de Sonata Arctica diablement efficace énergique et jeune entraînant et ingénieux à l’image une nouvelle fois des solos tout simplement irrésistibles. « diamond of mankind » ferait penser à la seconde ballade et non certes le début est assez calme mais le refrain plutôt envolé nous trompe complètement dans notre jugement, « riot race » elle fait plutôt gros titre heavy speed une véritable bombe qui se termine tout en chœur : géant.
Pour terminer « lubricious thoughts » continue toujours dans la même veine avec un titre enjoué au refrain bien sympatoche. Une bonne fin pour cet album divin.
Conclusion : un véritable raz de marée. Telle est la description que l’on peut faire de Twilightning. Jeune, énergique et ingénieux, une véritable révélation qui va faire un grand bien au métal si il ne spilt pas dans 3 mois. A découvrir d’urgence !
« Plague-house puppet show » nous fait découvrir ce nouveau groupe dans un style heavy mélodique mais avec un quelque chose en plus difficile à décrire. La voix de H.M.I Poyhia est véritablement énorme dans un esprit à la Sébastian Bach (ex Skid Row). Ce phénomène nous en met plein la vue, de même que la paire de gratteux pas manchots et en plus bien ingénieux.Un véritable déluge.
Intro au synthé façon 80’ pour « into treason » puis la voix de H.M.I arrive fracassant tout : quelle présence. Un titre qui me rappelle Survivor avec ces synthés très en avant, une sorte de mélange entre Sonata Arctica et Abba qui cartonne ; quel pied. « The field » débute une nouvelle fois sur une intro très 80’. Cette fois ci H.M.I se rapproche plus d’un Mikaël Kiske en version sur vitaminée, la batterie électronique donne quelques surprises et le refrain lui est tout bonnement sublime : un must se titre. Le solo bizarrement sonne comme du Brian May et la fin un peu sèche nous envoie sur la speed « victim of deceit » qui te donne des envies de bouger ta tête dans tous les sens. Un titre qui envoie des pieds ; rien à redire : putain ces solos énormes !!
« Painting the blues eyes » commence calmement. La ballade de l’album est sublime avec son refrain magique et tellement prenant. Mr Poyhia excelle, une pure petite bombe pour métalleux avertis, et puis quelle voix sur la fin agrhhh !! « In the fervor’s frontier » commence encore une fois avec le synthé puis se poursuit dans un esprit heavy électro mid tempo un peu comme le ‘Turbo’ de Judas Priest une nouvelle fois aucune faute de goût : agréable et rafraîchissante à l’image du reste de l’album.
« fever pitch » débute cette fois ci sur des guitares un peu space, puis continue en un mid speed tonitruant un titre proche de Sonata Arctica diablement efficace énergique et jeune entraînant et ingénieux à l’image une nouvelle fois des solos tout simplement irrésistibles. « diamond of mankind » ferait penser à la seconde ballade et non certes le début est assez calme mais le refrain plutôt envolé nous trompe complètement dans notre jugement, « riot race » elle fait plutôt gros titre heavy speed une véritable bombe qui se termine tout en chœur : géant.
Pour terminer « lubricious thoughts » continue toujours dans la même veine avec un titre enjoué au refrain bien sympatoche. Une bonne fin pour cet album divin.
Conclusion : un véritable raz de marée. Telle est la description que l’on peut faire de Twilightning. Jeune, énergique et ingénieux, une véritable révélation qui va faire un grand bien au métal si il ne spilt pas dans 3 mois. A découvrir d’urgence !
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de Twilightning
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