Chronique
AXEL RUDI PELL - INTO THE STORM / Spv 2014
Nous y voilà, cela fait deux ans que le dernier opus studio de notre guitariste Allemand est sorti, et après un témoignage live des plus réussi, voici que sans faire attendre ses fans il nous remet le couvert. A noter un changement avec le départ de Mike Terrena (trop occupé) remplacé par l'expérimenté Bobby Rondinelli (Rainbow, Black Sabbath, Blue Oyester Cult, Riot).
Comme d'habitude une intro vient débuter ce nouvel opus, « The inquisitorial prelude » est très classique (comme d'hab là aussi) tout au clavier (là par contre ça change!) et nous envoie sur « Tower of lies » et son bon gros riff de guitare. On note que la production est à nouveau monstrueuse mais surtout bien plus métallique que de coutume !! Une bien bonne nouvelle et puis quand Johnny arrive c'est toujours aussi magique ! Un très bon départ !
« Long way to go » poursuit sur un mid tempo rythmé sans apporter beaucoup de changement mais au moins ça fait plaisir. Un très entraînant « Burning chains » déboule et permet de constater que notre homme nous sert inlassablement la même recette. Alors malgré la qualité indéniable des morceaux force est de reconnaître que c'est vraiment lourd.
Place à la ballade « When truth hurts » trop convenue pour marquer les esprits, elle n'apporte rien du tout et laisse l'auditeur dans l'attente de mieux. « Changing time » accélère à nouveau le rythme pour notre bien, et nous offre du old scholl. Les parties mélodiques mélangées (et son super refrain) apportent beaucoup à ce très bon titre.
C'est au tour de « Touching heaven » de prendre place. Entre début calme, riff tranchant et tempo lourd, cette chanson passe fort bien mais reste trop perceptible. « High above » déboule à fond les ballons mais ne parvient pas à sauver un opus couru d'avance.
Cette fois ci Axel et sa bande nous offre une reprise avec « Hey hey my my » de Neil Young. Un très joli début au piano avec un Johnny irrésistible. Une bonne surprise. Pour finir « Into the storm » et ses 10 minutes au compteur. Intro aux consonances asiatiques qui ensuite nous fait voyager aux confins de l'orient. Épique et intense mais maintes fois entendue.
Conclusion : Toujours pas de miracle avec ce énième opus d'Axel Rudi Pell, qui offre toujours la même chose avec ses qualités et ses défauts. Toujours réservé à ceux qui ne se sont pas encore lassés.
Comme d'habitude une intro vient débuter ce nouvel opus, « The inquisitorial prelude » est très classique (comme d'hab là aussi) tout au clavier (là par contre ça change!) et nous envoie sur « Tower of lies » et son bon gros riff de guitare. On note que la production est à nouveau monstrueuse mais surtout bien plus métallique que de coutume !! Une bien bonne nouvelle et puis quand Johnny arrive c'est toujours aussi magique ! Un très bon départ !
« Long way to go » poursuit sur un mid tempo rythmé sans apporter beaucoup de changement mais au moins ça fait plaisir. Un très entraînant « Burning chains » déboule et permet de constater que notre homme nous sert inlassablement la même recette. Alors malgré la qualité indéniable des morceaux force est de reconnaître que c'est vraiment lourd.
Place à la ballade « When truth hurts » trop convenue pour marquer les esprits, elle n'apporte rien du tout et laisse l'auditeur dans l'attente de mieux. « Changing time » accélère à nouveau le rythme pour notre bien, et nous offre du old scholl. Les parties mélodiques mélangées (et son super refrain) apportent beaucoup à ce très bon titre.
C'est au tour de « Touching heaven » de prendre place. Entre début calme, riff tranchant et tempo lourd, cette chanson passe fort bien mais reste trop perceptible. « High above » déboule à fond les ballons mais ne parvient pas à sauver un opus couru d'avance.
Cette fois ci Axel et sa bande nous offre une reprise avec « Hey hey my my » de Neil Young. Un très joli début au piano avec un Johnny irrésistible. Une bonne surprise. Pour finir « Into the storm » et ses 10 minutes au compteur. Intro aux consonances asiatiques qui ensuite nous fait voyager aux confins de l'orient. Épique et intense mais maintes fois entendue.
Conclusion : Toujours pas de miracle avec ce énième opus d'Axel Rudi Pell, qui offre toujours la même chose avec ses qualités et ses défauts. Toujours réservé à ceux qui ne se sont pas encore lassés.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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